Parla suite, comment apprendre à un chien à rouler ? Passez la main tenant la friandise sur le côté du chien. Il va la suivre du regard et tourner la tête. Dites-lui « roule », tout en descendant la friandise dans sa direction pour le pousser à se coucher sur le flanc en suivant votre geste (et surtout la friandise).Défense de son territoire, attitude de dominant, situation de peur
DébutPage précedentePage suivanteFin OMG la vidéo Deakon_Frost Posté le 27 mai 2011 à 231731 Est ce que quelqu'un connait bien ce chien, j'entends par là qu'il en a 1 ou qu'il en a deja cotoyer? J'en avais déjà cotoyer un et il était super gentil comme chien !! Donc en faite, encore une fois ça dépend du maitre. "Parle pour tes chats, les miens ne sont pas comme ça du tout " Je sais que mon chat est très bête , mais même faut pas être de mauvaise foi non plus, un chien est largement plus futé. L4444eR Oui, j'ai deja entendu dire que ça n'avait qu'un maître j'adore les montagnes des pyrenées aussi mais bon, bcp trop grand titantho Voir le profil de titanthoPosté le 27 mai 2011 à 232649 Avertir un administrateurj'adore les montagnes des pyrenées aussi mais bon, bcp trop grand Heu oui mais c'est adorable comme toutou. j'ai une chatte aussi elle est enceinte et je pense que c'est pour bientot cackounette ===> et bien sur mes trois chats, deux sont plutot intelligents, plus intelligents que mon chiens en tout cas. ça dépend des chats, après il ne faut pas confondre connerie et manque d'intelligence. On peut être du genre à avoir la connerie mais être futé quand même. De toute façon les félins sont en général relativement intelligents Je sais que mon chat est très bête , mais même faut pas être de mauvaise foi non plus, un chien est largement plus futé. Mon chien sait - ouvrir/fermerun peu plus de mal les portes - reconnais son nom quand on l'appelle heursement - donner sa patte - faire la belle - quand je tape sur mon torse elle vient me faire un calin - elle demande à aller jouer en m'apportant sa peluche dans mes mains Et j'en passe, j'aimerai bien lui apprendre à faire des roulades sur le dos mais c'est plus difficile si le père etait le chartreux des voisins ça donnerait des chatons magnifiques C'est exactement ça, quand il était petit, si quelqu'un dautre que moi lui donnait a manger, il n'y touchait pas. Il fallait qu'il me voit lui mettre ses croquettes. Je n'ai jamais su pourquoi. La confiance ? Oui c'est vrai mais c'est mon avis ça n'empêche pas que j'aime énormément mon gros chat titantho Voir le profil de titanthoPosté le 27 mai 2011 à 233004 Avertir un administrateursi le père etait le chartreux des voisins ça donnerait des chatons magnifiques Dans une portée il peut y avoir plusieurs pères Il n'obéit à personne d'autres qu'a son maître j'aime mieux les furets c'est hyperactif et ça sent pas très bon les furets non? Le miens -reconnait son nom -fait le beau quand je tend mon bras -se couche quand je dis coucher ! -quand je sifle une fois il vient au pieds -quand je sifle 3 fois il ne bouge plus, et quand je dis aller ! Il rapplique. -quand je fais une sorte de vrille avec mon bras il roule sur le dos -il fait le mort quand je lui dit de faire le mort C'est déjà pas mal, la je suis entrain de lui apprendre a ramper "Et j'en passe, j'aimerai bien lui apprendre à faire des roulades sur le dos mais c'est plus difficile " je pense ouai Et les furets bordel, je bosse en animalerie, et un m'a mordu jusqu'au sang il voulait pas lâcher mon doigt depuis ce jour j'ai du mal à les apprécier , mais ça a une jolie frimousse. Le miens -reconnait son nom -fait le beau quand je tend mon bras -se couche quand je dis coucher ! -quand je sifle une fois il vient au pieds -quand je sifle 3 fois il ne bouge plus, et quand je dis aller ! Il rapplique. -quand je fais une sorte de vrille avec mon bras il roule sur le dos -il fait le mort quand je lui dit de faire le mort C'est déjà pas mal, la je suis entrain de lui apprendre a ramper Ca doit être terrible de lui apprendre à ramper DébutPage précedentePage suivanteFin Victime de harcèlement en ligne comment réagir ?
Àlire plus tard. Ha Wenjin a tout abandonné pour l’amour de ses animaux. Au total, ce sont 1 500 chiens et 200 chats qui rythment désormais la vie de cette Chinoise. Tout a commencé avec
L'importance de la hiérarchie au sein d'une meute de chiens Le chien est un animal social, qui vit traditionnellement en meute, avec une hiérarchie clairement établie. Ce fonctionnement permet à chaque membre de la meute de savoir où est sa place et quel est son rôle, ce qui limite fortement le nombre de conflits internes et permet à chacun de se consacrer à des tâches essentielles à la survie du groupe la chasse, la reproduction, la protection contre les prédateurs, etc.. Au sein d'une meute de chiens, les individus n'ont pas les mêmes droits ni les mêmes comportements selon qu'ils se trouvent plutôt en haut de la hiérarchie ou plutôt en bas de l'échelle. Les chiens les plus hauts placés disposent d'un grand nombre de prérogatives ils mangent en premier, prennent des décisions, surveillent leurs congénères, etc. À l'inverse, les chiens inférieurs passent systématiquement en dernier et ne peuvent prendre aucune initiative s'ils tentent de déroger à ces règles, ils se font immanquablement rappeler à l'ordre par leurs congénères. Cette hiérarchie canine peut évoluer avec le temps si un chien de rang inférieur estime être meilleur que son supérieur, il peut le défier. Certains chiens à tendance dominante sont davantage enclins à remettre en cause l'autorité des congénères placés au-dessus d'eux, et laissent rarement passer une occasion erreur, défaillance, hésitation, etc. pour essayer de prendre leur place. À l'inverse, les chiens au tempérament soumis ne sont pas faits pour être des leaders ils défient très rarement leurs supérieurs et se complaisent dans leur poste de non-décideurs. Au sein d'une famille, le fonctionnement du chien est exactement le même il identifie les autres humains du foyer comme des membres de sa meute. Si ses maîtres le laissent agir comme bon lui semble sans jamais le corriger, il est enclin à penser qu'il occupe le poste de chef. Si à l'inverse ce sont les maîtres qui décident de tout et qui passent systématiquement avant lui, il comprend qu'il occupe le dernier rang hiérarchique de la famille. L'autorité familiale est essentielle pour le chien La question de l'autorité et de la hiérarchie est tellement fondamentale pour le chien qu'elle influence la plus grande partie de ses interactions, non seulement avec ses congénères, mais aussi avec son maître et les humains de façon générale. À partir de l'âge de 6 mois, certains chiens commencent d'ailleurs à tester l'autorité de leur propriétaire. Or, ceux qui pensent rendre leur compagnon heureux en le laissant agir à sa guise se trompent lourdement, car ils le placent ainsi en position de chef, alors même qu'à d'autres moments, ils exigent de lui qu'il obéisse comme un subordonné. Ces deux situations sont incompatibles, ce qui engendre chez lui incompréhension et frustration. Un chien qui fugue souvent ou qui détruit tout n'agit parfois de la sorte que pour soulager l'inconfort qui résulte de cette situation. Il est vrai que l'autorité fait peur à beaucoup de gens, qui l'assimilent à de la brutalité morale. Or, faire preuve d'autorité, à condition que cela soit à bon escient, n'est pourtant pas faire preuve d'irrespect, de méchanceté, de brutalité ou de violence. L'autorité n'interdit pas l'affection et la tendresse. Son bon usage est même une preuve d'amour à l'égard de ceux auxquels elle s'applique. Par exemple, est-ce être méchant avec son chien que de faire preuve d'autorité pour lui interdire de courir librement dans une rue où circulent de nombreuses automobiles ? Si on aime son chien, il faut assumer d'en être le chef et d'exercer sur lui l'autorité qui en découle. En effet, pour être heureux, un chien a besoin de savoir où est sa place dans le groupe. L'autorité que son maître exerce gentiment mais fermement le rassure en la lui indiquant. On a alors un compagnon calme, heureux, sachant où est sa place, qui est par conséquent équilibré et bien intégré dans la famille, et sait aussi se comporter de manière appropriée envers les étrangers, notamment les invités. C'est d'autant plus gagnant-gagnant qu'un chien heureux rend son bonheur au centuple, car c'est un animal capable d'amour, de reconnaissance, et qui contrairement à l'humain, ne trahit jamais. Des marques d'autorité de la part du maître sont donc indispensables et doivent être manifestées en permanence, a fortiori face à un animal ayant tendance à être dominant. Quelle place pour le chien au sein de la famille ? Pour être équilibré, un chien doit connaître sa position dans la meute à laquelle il appartient. Or, dans une meute, le rapport d'égalité n'existe pas tous les rapports sociaux sont hiérarchisés, et il ne peut y avoir que des dominants et des dominés. Si l'on transpose la hiérarchie d'une meute à la famille, on obtient que les parents, qui décident de tout, jouent le rôle du couple alpha ; les enfants, qui obéissent aux parents mais peuvent donner des ordres aux chiens, sont les bêta ou les gamma ; le chien, qui ne décide de rien, est tout en bas de l'échelle il est l'omega. Instaurer cette hiérarchie est possible quel que soit le tempérament de l'animal et quelle que soit la structure familiale, car l'organisation hiérarchique d'une famille d'humains est assez proche de celle d'une meute de chiens. C'est d'ailleurs pour cela qu'une telle harmonie entre les deux espèces est possible et que la domestication du chien par l'Homme est un succès. Toutefois, selon qu'on ait plutôt à faire à un dominant ou à un soumis, l'éducation du chien ainsi que sa gestion au quotidien nécessitent plus ou moins de fermeté. Intégrer un chien dominant au sein de la famille Un chien au caractère dominant a besoin d'un leadership clair son maître ne peut pas être hésitant ou faire la moindre faute, car toute faiblesse serait vue par son compagnon comme une chance de remettre en cause son autorité et monter de rang. Il faut donc toujours être sur ses gardes avec un tel chien, car il aimerait obtenir la position de leader à la place de son maître. Pour cette raison, un dominant est fortement déconseillé aux gens qui n'ont pas beaucoup d'autorité. La difficulté vient aussi du fait que le maître n'est pas la seule personne qu'un dominant cherche toujours à commander. Il essaye en effet d'établir son autorité sur tout le monde non seulement son maître, mais aussi son conjoint, ses enfants, ses parents, ses amis ou encore les autres animaux du foyer qu'il s'agisse de congénères ou de représentants d'autres espèces chats, chevaux, etc.. Cela ne signifie pas pour autant qu'il soit nécessairement difficile à vivre un tel chien peut parfaitement s'avérer un chien facile à éduquer, du moins pour qui sait comment y faire et a l'autorité nécessaire. La considition est de sans cesse rappeler au chien qui commande, et où est sa place. Pas question donc d'hésiter ou de donner des ordres contradictoires les règles doivent être clairement édictées, ne pas supporter d'exceptions, et l'ensemble des membres du foyer doit veiller à ce qu'elles soient respectées avec constance. Intégrer un chien soumis au sein de la famille Un chien au tempérament soumis a par nature besoin d'autorité c'est essentiel à son équilibre. Il lui faut donc un leader pour jouer ce rôle, et c'est là que le maître entre en jeu. Malheureusement, il peut arriver que du fait d'un manque d'autorité ou de son comportement hésitant ou indulgent, il ne soit pas identifié comme un leader par le chien, qui est alors contraint d'endosser ce rôle pour pallier l'absence de chef. Or un tel chien n'est pas fait pour être chef. Cette inadéquation entre son tempérament et le rang qu'il se retrouve contraint d'occuper lui fait prendre de mauvaises décisions il peut par exemple se mettre à protéger son territoire de manière fanatique, au point de ne plus laisser entrer son maître. Un tel leader par accident » est souvent décrit comme faux, parce qu'il peut faire montre à tout moment de comportements indésirables, voire d'agressivité infondée. Heureusement, les problèmes avec un dominé qui a obtenu le rôle de chef de meute sans le vouloir peuvent être résolus sans trop de difficulté en remettant en place les règles de la meute. En dehors du cas particulier où il se retrouve leader contre son gré, un toutou soumis est généralement une bonne pâte, un compagnon facile à vivre, qui se contente de ce qu'on lui donne et accepte sans broncher les règles qu'on lui impose. Une fois que la hiérarchie est bien établie ce qui ne pose généralement pas de problème particulier, on peut éventuellement envisager un assouplissement des règles, voire accorder certains privilèges à son chien, comme par exemple lui permettre de passer les portes en premier. En effet, il n'y a normalement pas de risque qu'il prenne cela pour une marque de prédominance, contrairement à un dominant qui serait aussitôt tenté d'en abuser. Instaurer la hiérarchie familiale avec son chien n'est pas aussi difficile que ce que l'on pourrait penser, à condition de s'y prendre correctement et de partir sur de bonnes bases. Ne pas utiliser la force pour dominer son chien Il arrive que certains propriétaires de chien confondent la notion de hiérarchie ou d'autorité avec celle de rapport de force ou d'agressivité. Ils peuvent alors avoir tendance par exemple à crier constamment après leur compagnon, le punir exagérément, voire pire encore le frapper pour l'obliger à obéir. Dans les faits, cette façon de "casser" le chien, préconisée par certains mauvais éducateurs aux méthodes aussi dépassées qu'inappropriées, est non seulement cruelle, mais aussi néfaste, tant pour l'animal que pour la relation avec son maître. Elle peut notamment engendrer un comportement agressif, de la prostration, ou même une dépression. De fait, être un bon maître pour son chien, ce n'est pas le dominer par la force. Cette manière de montrer - ou tenter de montrer - qu'on est le chef peut en plus s'avérer très dangereuse face à un chien qui a accédé au titre de leader un individu supérieur n'accepte en effet jamais qu'un individu plus bas dans la hiérarchie le réprimande. La violence peut ainsi conduire en réponse à de l'agressivité, voire à une morsure si le maître persiste à s'opposer à lui malgré les signes d'avertissement. De toute façon, un chien a souvent la possibilité d'être plus fort ou plus rapide que son maître en particulier s'il s'agit d'une race de gros chiens, si bien que la confrontation physique peut au final s'avérer pour lui un moyen d'obtenir ou de confirmer sa position de leader - soit l'exact inverse de l'effet recherché. Enfin, dans une meute, domination n'est pas synonyme de crainte ou d'humiliation. À ce titre, une longue tirade ou pire, un déferlement de décibels, est bien moins efficace pour se faire respecter qu'un "non !" ferme, sans élever la voix. D'ailleurs, à l'état sauvage, un chien ne force jamais sa position en terrorisant ou en criant sur ses congénères. Un individu se soumet parce qu'il le veut bien et parce qu'il reconnaît la supériorité de l'autre il s'agit d'une marque de respect, et non de crainte. À tous points de vue, le recours à la force, qu'elle soit physique ou verbale, n'est donc pas la bonne méthode pour se faire obéir par son chien. Utiliser la domination passive avec son chien Une bonne relation entre le chien et l'être humain passe plutôt par des règles cohérentes et respectées, et donc par une autorité établie et correctement exercée c'est ce qu'on appelle la domination passive. Comme le chien n'est pas capable d'assimiler les règles complexes des humains, il faut utiliser avec lui les règles du langage canin, qu'il connaît de manière innée. Le message que les chiens font passer à leurs congénères via ce langage, c'est tout simplement je suis supérieur ou inférieur à toi ». Ainsi, certaines manières de faire et d'agir qui mange avant qui, qui franchit les portes et les passages en premier, etc. indiquent clairement quel individu est dominé et quel individu est dominant. Cet ensemble de codes constitue ce qu'on appelle les règles de la meute. Il faut toutefois être bien conscient du fait qu'apprendre les positions assis, couché et au pied à son chien, même si cela est essentiel, n'est absolument pas suffisant pour l'éduquer correctement et lui faire comprendre où se trouve sa place dans la famille. En effet, une race intelligente et douée pour apprendre des tours avec son maître peut très bien avoir une tendance naturelle à remettre en cause la hiérarchie familiale, ce qui se traduit à plus ou moins long terme par l'apparition de problèmes de comportement. Pour imposer son autorité face à son chien, le maître ne doit donc pas se contenter de quelques tours réussis il doit plutôt montrer que c'est lui qui prend les décisions et qui définit le cadre de vie. Bien sûr, contrairement à la situation dans une meute, il n'est pas ici question de survie du groupe, mais de vie en bonne harmonie et en sécurité entre les membres de la famille-meute » et avec le reste de la société voisins, invités à la maison, rencontres dans l'espace public, etc.. La meilleure façon d'y parvenir est d'utiliser la méthode d'éducation canine positive, en récompensant l'animal chaque fois qu'il a le comportement souhaité, par exemple en le caressant ou en lui donnant une friandise pour chiens. Les enfants ont aussi leur rôle à jouer dans l'instauration de la hiérarchie non seulement le chien doit être habitué à leur présence, leurs cris et leurs pleurs dès son plus jeune âge, mais en plus, lorsqu'ils s'occupent de lui, ils doivent systématiquement l'habituer à être en position de soumission l'allonger pour le brosser, lui donner à manger puis lui retirer sa gamelle, le récompenser lorsqu'il se comporte bien, etc. Quoi qu'il en soit, nul besoin de violence ou d'agressivité pour se faire obéir par son chien ! Quelques astuces pour instaurer la hiérarchie familiale Pour bien instaurer la hiérarchie dans la famille, le maître doit suivre quelques règles simples, basées sur le langage du chien il doit lui donner un nom court et facilement reconnaissable, et de manière générale, communiquer par des phrases brèves, mais sans jamais hausser le ton ; il ne doit pas faillir dans l'application des règles qu'il met en place, en tout cas tant que la hiérarchie n'est pas claire pour le chien. Pas question donc d'autoriser l'accès au canapé un jour et de le refuser le lendemain ; il doit anticiper les mauvais comportements du chien pour les empêcher, et non pas réprimander ce dernier une fois qu'il a mal agi c'est bien plus efficace pour se faire respecter. Et s'il est nécessaire de le punir, cela doit être fait immédiatement après la faute, car un chien fait rarement le lien entre une mauvaise action et une punition plusieurs minutes plus tard ; il doit punir son chien seulement lorsqu'il est certain que celui-ci a commis une faute, et jamais "au cas où". En se montrant ferme avec son animal, mais sans user de la force ou de la brutalité, le maître se verra rapidement reconnaître le rang de leader, ce qui lui permettra de se faire obéir plus facilement et rendra de fait la cohabitation sereine et apaisée.. 53 721 169 295 725 164 555 701