Nousnous trouvons dans un des pays les plus pauvres de la planète, qui se relève après une guerre civile longue et barbare, une épidémie mortelle celle d'Ébola et les inondations catastrophiques. Par conséquent, l'obligation de donner aux pauvres à manger devient un impératif de la pratique réligieuse de notre Mission
Conseils de Jésus au Père Migliorini et à de Jésus portant la croixLe 13 août 1943 Jésus dit “Je vais répéter ce que j’ai déjà dit [1] à propos d’une âme que tu dois m’aider à amener à la Lumière. Comme cela, le Père aussi saura comment se comporter. De plus, je le répète en réponse à des questions du Père qui, il peut en être sûr, est bien dans son champ d’apostolat [2] et aura à y travailler encore beaucoup parce que les païens sont là et il est mon missionnaire. Qu’il s’arme donc de force, de patience et de constance, et qu’il travaille les cœurs pour moi, ces cœurs plus sourds que les pierres, pour que ma Voix entre en eux. 224> Qu’elle y entre. Si, une fois qu’elle est entrée, les cœurs ne veulent pas la transformer en vie, tant pis pour eux. Moi, ma petite porteuse et mon missionnaire, serons justifiés auprès du Père [3]. En ce qui concerne les cœurs, ils auront à en répondre, puisqu’ils se seront fermés à la miséricorde de Dieu qui utilise tous les moyens, de son Fils bien-aimé aux serviteurs fidèles du Fils, pour apporter un secours surnaturel aux créatures. Que le Père utilise donc tout ce qu’il juge utile dans ce que je te dis. Ce sont des perles que je lui donne gratuitement. Mais de toutes les perles, j’en garde une, la perle maîtresse pour ainsi dire. Je te garde toi, dont je suis jaloux et sur qui j’exerce un pouvoir absolu de possession. Tu n’es pas Maria, et on ne doit pas te connaître en tant que Maria. Tu es un soupir que pousse mon cœur, un vent qui souffle et rafraîchit les fronts sans qu’on sache d’où il vient ni quel nom il porte. Ta personnalité est anéantie. En tant que créature, tu dois être un rien. Tu dois ne pas être. Si tu cesses d’être, personne ne te connaîtra comme l’écrivain de ma pensée, personne en dehors de deux ou trois personnes privilégiées, qui le sont par ma volonté. Tu es la respiration de Jésus et c’est tout. Plus tard, quand je le voudrai et personne ne pourra te nuire, on connaîtra le nom de ma petite voix. Mais alors, tu seras ailleurs, là où la mesquinerie humaine n’arrive pas et la méchanceté ne peut agir. En ce qui concerne cette âme et beaucoup d’autres comme elle, il faut exercer une charité super-parfaite, comme moi je l’ai souvent fait dans ma vie terrestre. Ce sont des âmes à peine ébauchées. Tout en elles, aspire ardemment, d’instinct, à un perfectionnement, tend à plus de forme, comme le nouveau-né qui se nourrit, s’agite, vagit, aspire à savoir se nourrir avec de vrais aliments, à se déplacer avec de vrais pas, à s’exprimer avec de vraies paroles. Et il faut les traiter comme des nouveau-nés, sans gestes d’impatience et de répugnance. Mais sais-tu, ma chère âme, combien de fois j’ai senti ma chair frémir d’un dégoût si vif qu’il affleurait de mon cœur à ma chair quand je devais approcher des êtres de péché ? Et pourtant, si je ne les avais pas approchés, aurais-je pu les attirer à moi ? J’aurais pu le faire par la violence de Dieu. Mais pourquoi utiliser la violence quand il y a l’Amour; le plus cher des aimants ? J’ai débuté ma vie publique par des noces [4], où j’ai dû écouter les habituels discours et les habituelles allusions de ce genre de fête. Je n’ai pas refusé l’invitation de Matthieu, et il y eut des censeurs, entachés par la faute même qu’ils me reprochaient, qui me critiquèrent pour être entré dans cette maison [5]. Je n’ai pas repoussé la pécheresse qui gaspillait sur ma chair ses derniers artifices de séduction et annulait sa dette envers la Grâce par un acte d’amour généreux et contrit [6]. Je n’ai pas dédaigné de parler à la Samaritaine qui n’était à personne et se donnait à tous [7]. Je ne me suis pas tu parce qu’à la foule qui m’écoutait se mêlaient les païens ou les pécheurs. Au contraire, c’est à eux que j’adressais mes regards, mes paroles, mes sourires les plus doux d’amour. Je suis venu et je viens pour rassembler toutes mes brebis dans ma bergerie [8]; pour les brebis qui se sont éloignées ou écartées du droit chemin, je vais, bon Pasteur infatigable, parmi les ronces et les épines, ruisselant de pleurs et de sang, jusqu’à ce que je les aie trouvées et rassemblées. Si j’en appelle d’autres pour m’aider dans mon œuvre, ils doivent agir de concert avec moi. Je sais qu’il y a une sainte pudeur et une jalousie instinctive qui font souffrir quand on les force. Mais il faut surmonter la sainte pudeur et l’orgueil coupable et laisser que "les petits viennent à moi [9]" pour qu’ils entendent ma voix à travers ton œuvre. Agir devant eux avec beaucoup d’amour et en toute liberté comme s’ils étaient convaincus de ma Loi. Ne pensez pas que ce que vous dites soit peine perdue [10]. Non. Une terre aride sur laquelle il pleut après des années de sécheresse ne semble pas se mouiller si l’eau tombe du ciel; en effet elle s’imbibe plus difficilement qu’une terre bien entretenue. Mais elle se mouille néanmoins. Il en est de même pour les cœurs. Il faut les arroser, les mettre en contact avec l’eau vive qui descend du ciel et qui conduit au ciel. Ensuite, je fais le reste. Les miracles de la grâce dans les cœurs arrivent à travers un ensemble d’agents, dont la racine est en moi. Je pourrais agir seul. Mais j’aime associer mes disciples à mon œuvre de Rédemption pour qu’ils partagent avec moi ma gloire au Ciel. J’ai souhaité prendre place avec vous, mes amis, au banquet céleste où seront célébrées mes gloires de Rédempteur [11]; je l’ai ardemment désiré avant même que le temps n’existe, puisque rien n’est inconnu à l’intelligence éternelle. Je connais le nom des convives, je sais lesquels, après s’être nourris de moi sur terre, recevront de moi, au Ciel, le pain rompu par mes propres mains aux agapes fraternelles qui uniront pour toujours Maître et disciples [12], sans le cauchemar imminent de la Passion et de la sale trahison [13]. Courage, donc. Si tu te sens choquée par des idées dont ma Lumière te fait comprendre l’erreur, ne te retire pas. Comme une mère, tiens sur ton cœur ces enfants de l’esprit, même s’ils sont recouverts de saletés. Offre tes souffrances pour ce choc à ma Lumière pour qu’elle descende illuminer de la vraie foi l’esprit qui aspire ardemment à la Foi sans encore être capable d’aller vers elle. Je voulais finir de te parler de la perle [14], mais j’ai parlé d’autre chose pour guider le Père dont l’œuvre n’a pas été futile auprès de toi. Son rôle d’enfant de Marie [15] a mis en fuite ceux qui paralysaient ta vue et ton ouïe spirituelles et excitaient en toi ta partie inférieure. Tu es comme ça parce que tu as eu l’aide du Père. Je vous ai pris à deux points de la terre et je vous ai conduits l’un vers l’autre parce qu’il devait en être ainsi [16]. Moi, je sais pourquoi. Souviens-toi toujours dans mon prêtre, c’est moi que tu dois voir. Et lui doit me voir en toi. Je lui ai réservé, non des miettes, mais tout le pain, parce que c’est justement à lui, à l’encontre de ta propre volonté, que j’ai réservé la mission d’être une aide fraternelle pour toi, et toi, une aide fraternelle pour lui. Je sais quelles pierres il faut unir pour ériger les murailles de ma cité. Elles semblent agir pour elles-mêmes. En réalité, chacune sert à l’autre en épousant parfaitement sa forme. Moi, je sais. Ce n’est pas lui qui dessert la table et ramasse les miettes. Il est plutôt Lazare qui prépare la maison pour le Maître; la maison, c’est toi et tu es aussi Marie... Mais Marie aurait-elle pu rester à écouter le Maître si Lazare n’avait pas préparé la maison pour l’invité et si Marthe n’avait pas vaqué aux tâches domestiques ? J’ai fait une sainte de Marie. Ai-je fait moins de Lazare et de Marthe ? Ceux qui me servent me sont tous également chers, quelle que soit l’œuvre qu’ils accomplissent. L’important, c’est de faire ce que je veux."Voilà la réponse à votre lettre, là où il a jugé bon vous répondre. Je vois Jésus avec sa croix sur l’épaule droite; il avance, avance et personne ne le suit. Il me regarde avec des yeux d’une immense douleur. ”[1] Dans les catéchèses du 28 juin et du 29 juin 1943. Selon Jésus, il ne s’agit pas d’une âme consacrée dont la foi vacille, mais "une créature faible que j’avais élue, mais qui a écouté les voix des créatures plus que la mienne et qui, pour de mesquines considérations humaines, a perdu le trône dans la maison de l’Époux. Maintenant, elle en souffre. Mais elle n’a pas la force de faire réparation. Je lui ouvrirais encore mes bras". Il conviendrait donc d’examiner les mystiques défaillantes de cette époque, mais qui se ressaisirent.[2] Le Père Migliorini, alors âgé de 59 ans, était un missionnaire des Servites de Marie, notamment en Afrique du sud. En 1941, des problèmes de santé l’avaient ramené en Italie comme prieur du couvent San Andrea di Viareggio.[3] Dieu le Père. Toutes les autres fois que sera nommé le “Père” dans cette dictée, il s’agit du père Migliorini.[4] Voir EMV 52. Voir aussi Jean 2, 1-11.[5] Voir EMV 97. Voir aussi Matthieu 9, 9-13 – Marc 2, 14-17 – Luc 5, 27-32.[6] Marie Madeleine se repentant lors du banquet chez Simon EMV 236 – Luc 7, 36-50 après avoir provoqué Jésus lors du Sermon sur la montagne EMV 174. Voir aussi le chemin parcouru par Aglaé,[7] EMV 143. Voir aussi Jean 4, 5-26.[8] Cf. par exemple Jean 10, 16.[9] Cf. Marc 10, 14.[10] Cf. Isaïe 49, 4 Et moi, je disais Je me suis fatigué pour rien, c’est pour le néant, c’est en pure perte que j’ai usé mes forces. » Et pourtant, mon droit subsistait auprès du Seigneur, ma récompense, auprès de mon Dieu.[11] Cf. La dernière Cène en Luc 22, 15-16.[12] Cf. les noces de l’Agneau Apocalypse 19, 7-9.[13] Remarque qui s’applique aux deux temps le passé de la vie publique du Christ et au futur de l’Église.[14] Dans la catéchèse du soir du 12 août.[15] Le Père Migliorini appartient aux Servites de Marie comme tous les religieux au plus proche de Maria Valtorta. Celle-ci est d’ailleurs enterrée dans leur chapelle de Florence la Santissima Annunziata[16] Le Père Migliorini était en Afrique du communion des saintsLe 14 août 1943 Jésus dit “Je t’ai dit [1] que tu es comme çà grâce à l’aide du Père Migliorini. Il ne doit en tirer aucun orgueil, et toi aucun abattement, et personne ne doit s’étonner de cette suis Dieu et je n’ai pas besoin d’intermédiaires, c’est vrai. Mais justement parce que je suis parfait en tout, dans l’intelligence comme dans l’amour, je sais combien cela vous est nécessaire pour vous encourager et vous faire sentir à quel point je vous aime. Ainsi, le fait de demander votre collaboration pour accomplir mes prodiges n’est pas un signe de faiblesse de ma part ou d’incapacité à opérer seul, mais une preuve d’amour et d’intelligence [2]. Je vous aime tant que je m’abaisse à demander votre aide. Je vous comprends si bien que je sais que cette requête vous encourage plus que toute autre chose. Pour devenir aliment qui nourrit votre esprit, je n’aurais besoin de personne. Je demande néanmoins des mains sacerdotales pour opérer le miracle du pain qui se transforme en Corps de l’Homme-Dieu. Et il en est ainsi de l’élévation réciproque. J’ai fondé une vraie société dont les membres vivent, dans ma pensée, l’un pour l’autre, dont l’un est le soutien de l’autre. Du plus grand au plus petit, vous avez tous une raison de faire partie de la splendide équipe de mon Église, une dans l’essence, et trine dans la forme, comme son Roi et Pontife divin, à la fois Un et Trin avec le Père et l’Esprit. La Communion des saints unit les catholiques du passé avec ceux du présent, les catholiques qui peinent avec ceux qui luttent et ceux qui jouissent du bonheur. Le ciel, la terre et le purgatoire s’entraident et se complètent mutuellement, et de la même façon, les membres de l’Église militante doivent s’entraider et se compléter mutuellement. Oh ! Sublime charité qui est née de mon cœur déchiré par la trahison avant d’être déchiré par la lance, signe vivant de l’appartenance à moi ! Si vous pouviez voir la valeur que possède, aux yeux des êtres célestes, l’amour que vous avez les uns pour les autres comme pour des frères et sœurs, selon mon commandement d’amour [3], personne d’entre ceux qui sont dotés d’intelligence ne voudrait ne pas aimer son prochain avec pureté, avec une vision spirituelle et une spirituelle ardeur. Ainsi s’aimaient mes premiers disciples et c’est leur façon de s’aimer qui a convaincu le monde de la vérité du Christ. Mais maintenant... Le monde peut-il encore en être convaincu alors que la haine s’est substituée à l’amour et l’intelligence sert à nuire, la parole à mentir, le cœur à trahir, les mains à tuer ? Priez... Vous pouvez bien prier. Mais est-ce qu’une plante peut vivre appuyée contre un granit brûlant ? Non. Elle meurt parce que sa racine ne trouve point le suc de vie. Ainsi meurt votre prière qui n’est pas nourrie par l’amour. Et dire que ce serait la grande fête au Ciel si ce grand pécheur, l’être humain, revenait au Père qui l’attend pour le pardonner et le couvrir de dons ! Je vais portant la croix, ramassant les croix que Satan abat et que vous ne savez monde a rejeté l’Église et les églises tombent. Mais malheur à ce jour où le Fils de l’Homme n’aurait plus d’autels pour répéter le Sacrifice et plus de ciboires pour le Sacrement de mon amour." [1] Dans la catéchèse du 13 août 1943.[2] "Selon le plan de miséricordieuse sagesse de mon Père, dit Jésus à Amélie de Gibergues Cum Clamore Valido, 38, je ne puis, — Moi, le tout-puissant Seigneur, — Je ne puis tout seul sauver le monde. Il me faut des associés, des collaborateurs ! J'ai besoin d'aides ! Comme Dieu a donné aux hommes d’être "causes intelligentes et libres pour compléter l’œuvre de la Création et en parfaire l’harmonie pour leur bien et celui de leurs prochains CEC § 307", de même il les associe à la diffusion des mérites qu’Il a acquis sur la Croix. L’Homme peut décider d’entrer consciemment dans le plan divin par ses actions, ses prières, mais aussi ses souffrances. Il peut décider d’être coopérateur de la Rédemption et devenir ce que saint Paul appelle un "collaborateur de Dieu 1 Corinthiens 3, 9" .[3] Cf. Jean 13, 34-35. Voir aussi 1 Jean 1, 6-7. Source de la prière pour la paix par les intérêts égoïstes des belligérants Le 15 août 1943 Jésus dit “Tes écrits doivent être utilisés de la façon partie qui est de toi aura l’habituelle valeur informative pour la curiosité humaine qui veut toujours sonder les secrets des partie qui est de moi, et qui doit être séparée de la tienne, aura une valeur formative, car il y a en elle la voix évangélique, et cette voix évangélique possède toujours une valeur de formation spirituelle, quelle que soit la façon dont elle vous parvienne. Même quand la façon ou les façons dont elle est parvenue à la portée des âmes ne sont plus de cette terre, elle reste ce qu’elle est et ne perd pas sa à donner la nouvelle formule de prière pour aujourd’hui parce que je sais qu’elle est encore moins sentie que celle de juin [1]. Alors on demandait que les bombes épargnent les maisons et les personnes de Viareggio. Aujourd’hui, la requête est plus élevée, plus universelle mais, chose douloureuse à constater, elle n’est pas universellement souhaitée, même pas par la totalité du petit noyau de guerre signifie la ruine pour beaucoup, mais aussi un gain pour beaucoup d’autres, et devant son propre intérêt, l’homme néglige l’intérêt collectif. Vous vous aimez si peu les uns les autres que vous vivez chacun enfermé dans son propre égoïsme et armé d’aiguillons pour le voisin. Si la première prière était donc peu sentie par l’esprit, mais sentie seulement par la chair qui tremblait de peur pour soi et pour ses propriétés, celle-ci est dite avec un esprit encore plus n’est pas ainsi qu’on obtient ce qu’on demande. La trêve dans les hostilités viendra, parce qu’elle doit venir, mais ce ne sera qu’une trêve. Et une trêve est une chose, la paix en est une autre. Paix signifie concorde extérieure et intérieure, concorde recherchée et voulue avec une vision et une affection vous saviez venir à moi, les lèvres et l’âme pures et enflammées de vraie charité, je vous donnerais cette paix. Je vous la donnerais contre tous les obstacles que le mal y mettrait pour l’empêcher car je suis le Vainqueur éternel. Mais même parmi le petit nombre qui aujourd’hui priera dans les églises pour cela, peu, très peu auront les qualités qui rendent la prière puissante. C’est une douloureuse et épouvantable vérité, mais il ne sert à rien de la cacher parce que le mal qu’elle cause demeure, même hommes, que vous êtes méchants ! Si je tonnais cette vérité des cieux, vous en seriez offensés comme les pharisiens quand je les dénonçais en découvrant leurs vices les choses sont comme je le dis. Tous ne désirent pas la paix sainte et véritable. Vous êtes si obtus et pétris de mauvaises tendances que vous ne réussissez même pas à entendre le ton de la vérité que Quelqu’un de supérieur à vous vous dévoile. Mais c’est bien la vérité, il ne peut y avoir d’autre vérité puisqu’il n’y en a qu’une en revient toujours à la même idée S’il y avait dix justes…’ [2] Mais il y a peu de justes contre la masse des impies. Satan a un nombre infini d’enfants et de serviteurs. Le Fils de Dieu n’a qu’un nombre insignifiant de vrais enfants et de vrais serviteurs. Et la cause de votre ruine réside dans ce déséquilibre.”[1] Le 5 juin.[2] Voir le 11 juin. Source primogéniture humaine et divine du ChristLe 16 août 1943 Jésus dit “Je suis le Premier-né d’entre les morts’ selon l’ordre humain et l’ordre selon l’ordre humain parce que je suis, du côté de ma Mère, fils d’Adam, le premier engendré, de la lignée d’Adam, qui naquis comme auraient dû naître tous les enfants de ceux qui furent créés par mon pas les yeux. Marie est née sans tache par la volonté de Dieu et sa préservation a été justement voulue pour préparer ma venue. Mais sans une volonté spéciale, Marie, qui était née d’un homme et d’une femme unis selon la loi de la nature, n’aurait pas été différente de toutes les autres créatures issues de la racine contaminée d’Adam. Elle aurait été une grande juste’ comme beaucoup d’autres hommes et femmes de l’antiquité, mais rien de plus. La Grâce, vie de l’âme, aurait été tuée en Elle par le péché moi qui ai vaincu la mort et la mort. Moi qui ai rappelé à la vie les morts des Limbes. Ils dormaient. Tels que Lazare, dont la résurrection voile celle-ci, plus vraie. Je les ai appelés. Et ils sont ressuscités. Moi, qui suis né d’une femme fille d’Adam, mais sans tache originelle, c’est-à-dire comme auraient dû être tous les enfants d’Adam, je suis donc, dans l’ordre naturel, le premier-né d’Adam, né vivant au milieu de ceux qu’Adam a engendrés suis le Premier-né’ selon l’ordre divin parce que je suis le Fils du Père, Engendré et non créé par veut dire produire une vie. Créer veut dire former. Je peux créer une nouvelle fleur. L’artiste peut créer une nouvelle œuvre. Mais seuls un père et une mère peuvent engendrer une suis donc le Premier-né’ car né de Dieu, je suis à la tête de tous ceux qui sont nés selon la grâce de ma Mort j’ai secoué violemment les portes de l’au-delà et j’en ai tiré ceux qui dormaient pour les ressusciter, j’ai aussi ouvert les écluses des lacs mystiques dans les eaux desquels se nettoie le signe qui tue, meurt la mort de l’esprit, la vraie mort, et naît la vie de l’esprit, la vraie je suis le Premier-né’ parmi les morts, car ma Chair entra la première dans le Ciel où entreront, à la dernière résurrection, les chairs des saints dont les esprits attendent dans la Lumière la glorification de leur moi complet, comme il est juste que ce soit, puisqu’ils se sanctifièrent en dominant leur chair et en la martyrisant pour la mener à la victoire ; comme il est juste que ce soit parce que les disciples sont semblables au maître, par la volonté aimante du maître, et moi, votre Maître, je suis entré dans la Gloire avec ma chair qui fut martyrisée pour la gloire de tard, je te parlerai des résurrections, que vous voyez toujours en termes humains, alors qu’il faut les voir avec une vision fait d’être le premier-né dans l’ordre divin et dans l’ordre humain me donne donc des droits souverains, puisque c’est toujours le premier-né d’un roi qui hérite de la couronne. Et y a-t-il un roi qui soit plus roi que mon Père ?Roi éternel dont le règne n a ni commencement ni fin, et contre lequel aucun ennemi n’a de pouvoir. Roi unique sans rivaux, lequel m’élève en m’engendrant à la même souveraineté que lui, car je suis Un avec le Père, consubstantiel à lui, inséparable de lui, partie vivante, active, parfaite de lui. Roi saint, saint, saint d’une telle perfection qu’elle est inimaginable à l’esprit humain. La sainteté glorieuse de mon Père resplendit dans le Ciel, sur la terre et sur les abîmes, se répand sur les montagnes, investit d’elle-même tout ce qui est ; nous adorons sa sainteté parce qu’elle nous engendre et que nous procédons d’ gloire, gloire au Père, Maria, gloire toujours car tout bien vient de lui et le premier bien, c’est moi, ton sauveurMon royaume n’est pas de cette terre, selon ce que signifie régner sur terre. Mais il est Royaume de la terre. Car je régnerai sur la terre. Mon Royaume sera manifeste et réel, non seulement spirituel comme maintenant et pour un petit nombre. L’heure viendra où je serai le seul vrai roi de cette terre que j’ai achetée avec mon Sang et dont j’ai été fait Roi par le Père, avec tous les pouvoirs sur elle. Quand viendrai-je ? Qu’est-ce que l’heure face à l’éternité ? Et que t’importera l’heure quand tu seras dans l’éternité ?Je viendrai. Je n'aurai pas une nouvelle chair puisque la mienne est déjà parfaite. J’évangéliserai, non pas comme je le fis autrefois, mais avec une force nouvelle, parce qu’alors les bons ne seront pas humainement bons comme l’étaient les disciples lors de ma première venue, mais ils seront spirituellement bons, et les méchants seront spirituellement méchants, sataniquement mauvais, parfaitement forme sera donc conforme aux circonstances, car si j’utilisais la forme d’il y a vingt siècles, elle serait dépassée pour ceux qui sont parfaits dans le bien, et ce serait offrir aux sataniques le moyen de porter une offense qu’il n’est pas permis de porter au Verbe glorifié. Comme un filet aux mailles fines, je traînerai derrière ma Lumière ceux qui auront atteint la subtilité spirituelle, mais ceux que l’union de la chair avec Satan rend lourds, les morts de l’esprit que la pourriture de l’âme tient enfoncés dans la boue, n’entreront pas dans ma Lumière et finiront de se corrompre dans l’union avec le Mal et les le moment, je prépare les temps futurs en employant en particulier la Parole qui descend des cieux pour donner la lumière aux âmes prêtes à la recevoir. Je fais de vous les radiotéléphonistes occupés à écouter attentivement l’enseignement qui est parfait et que j’avais déjà donné et que je ne change pas, car il n’y a qu’Une Vérité,enseignement qui a été oublié ou dénaturé, trop oublié et trop dénaturé parce que cela arrangeait de l’oublier et de le le fais car j’ai pitié de l’Humanité qui se meurt sans le pain de l’esprit. Ainsi que je me suis donné comme Pain de votre âme, je vous offre maintenant ma Parole comme pain de votre esprit. Et je répète Bienheureux ceux qui écoutent la parole de Dieu et l’observent’. ”Source spirituel de l’humain après la chuteLe 16 août 1943 Le soirJésus dit “J’ai dit que ma nouvelle venue aura une forme et une force nou¬velles, conformes aux circonstances, et je t’ai expliqué comment seront les humains d’alors. Le temps de l’esprit doit humain est parti de ténèbres profondes et d’un énorme poids de fange, après avoir perdu la Lumière divine de sa propre volonté, obéissant à la séduction de l’Ennemi dont la vraie nature se dissimule dans le fruit qui enseigne le Bien et le Mal, c’est-à-dire qu’il a dévoilé aux humains ce que Dieu avait caché, pour leur bien, à la matière, à l’esprit, au cœur. Vous seriez restés comme cela, purs, pacifiques, honnêtes, pieux si vous n’aviez pas mordu dans la triple concupiscence, laquelle est douce à la bouche, mais plus amère à l’esprit que le mélange de fiel et de vinaigre qui me fut offert sur la croix !Tombé de sa demeure paradisiaque sur terre, écrasé par la révélation de sa chair profanée par la luxure, tourmenté par le remords d’avoir provoqué la colère du Dieu créateur, l’humain n’était plus qu’un pauvre être animal en qui se débattaient et montaient toutes les forces déjà attiré [1] ton attention sur la différence entre les préceptes donnés à Moïse et les miens, préceptes qui étaient nécessaires, dans leur choquante crudité, pour freiner les tendances de l’être humain, morceau de chair qu’animait à peine un mouvement psychique insufflé par une âme blessée à mort et assommée dans un coma spirituel. Le souvenir de la Lumière perdue, qui vivait au fond de l’âme, poussait les pas vers la lumière. Cheminement très pénible, car la matière pèse plus que l’esprit et entraîne vers le bas. De temps en temps, la bonté de l’Éternel donnait à l’humanité des phares’ pour la traversée orageuse vers la vraie Lumière. Les patriarches et les prophètes voilà les phares de l’humanité en quête du port de vint Celui que Jean, le bien-aimé, appelle la vraie Lumière qui illumine chaque être humain’.Je suis venu, Lumière du monde et Verbe du Père, et je vous ai rapporté la paix avec le Père, l’étreinte qui fait de vous de nouveau les enfants du moi qui ai rallumé la vie languissante de votre moi qui vous ai enseigné la nécessité de naître dans l’ moi qui ai recueilli en ma Personne toute la Lumière, la Sagesse, l’Amour de la Triade et qui vous les ai moi qui, par mon sacrifice, ai renoué la chaîne, là où elle s’était brisée, vous reliant de nouveau au Père et à l’Esprit de moi qui, prenant mon échafaud pour levier, ai soulevé votre esprit qui gisait dans la boue et lui ai donné une puissante impulsion pour qu’il puisse procéder vers la Lumière de Dieu, vers moi-même qui vous attends au peu en ce monde et au cours des siècles en ont profité car le monde a toujours préféré les ténèbres à la Lumière. Par ma mort atroce, je vous ai obtenu la venue de l’Esprit parfait ; mais dans les siècles, l’humanité l’a repoussé toujours davantage, comme elle m’a repoussé, moi, comme elle a repoussé le dans une liqueur qu’on épure, ce qui est lourd tombe au fond et la partie pure flotte au-dessus, ainsi il en fut de l’humanité au cours des siècles. Ceux qui ont voulu rester de chair et de sang ont sombré toujours plus bas, tandis que ceux qui, aristocratie de mon troupeau, ont voulu vivre dans l’esprit sont devenus de plus en plus spirituels. Entre les deux, au milieu, les tièdes sans nom. Ce sont les deux mouvement opposés de la partie, malheureusement la plus vaste, absorbe Satan de plus en plus et s’abaisse au-dessous du niveau des brutes. L’autre partie, exiguë celle-là, absorbe le Christ de plus en plus, se nourrissant de sa Parole, qui ne s’est pas tue depuis vingt siècles, et devient toujours plus apte à comprendre l’ j’emploie des moyens extraordinaires, c’est pour accélérer, puisque le temps presse, la pleine leçon de la Parole et la pleine formation spirituelle des vrais disciples, des vrais sujets du Roi Jésus Christ. Non roi des juifs, comme le dit et l’écrit ironiquement un homme faible qui se croyait fort de son pauvre pouvoir, mais roi du monde avant le jugement du avançant vers l’heure dernière, l’être humain doit parvenir à la spiritualité. Mais comprends-moi. Dieu est esprit, Satan est esprit. Le premier est Esprit de perfection, le second est esprit de péché. Chacun dans la masse, scindée en deux par sa propre volonté, que Dieu respecte, suit la partie choisie. Les enfants du Très-Haut et mes frères choisissent le côté de Dieu et, par amour pour nous, spiritualisent la chair ; les serviteurs de Satan et enfants de la Bête choisissent le côté de Lucifer et, dans un esclavage qu’ils ont eux-mêmes voulu, ils étouffent l’esprit sous la luxure, font de leur esprit une chair et un sang corrompus et je régnerai sur et dans les esprits parvenus à cette maturation qui est maintenant le propre de quelques individus et qui le sera alors de toute la masse des vrais chrétiens, je ne m’adresserai qu’à cette partie-là, la perfectionnant de la dernière instruction par une nouvelle évangélisation, point différente dans le sens, qui ne peut changer, mais dans la force qu’ils pourront alors comprendre, alors qu’aujourd’hui ils ne le pourraient pas. La preuve en est que je dois choisir des créatures spéciales, dignes d’une si grande faveur grâce à leur propre effort ou rendues dignes par un miracle d’ y a vingt siècles, j’ai parlé à tous. Quand le temps viendra, je ne parlerai qu’à ces créatures-là, convaincu que je suis de l’inutilité de parler aux autres. Ainsi commencera la sélection des élus et des pauvre Maria, tu fais partie de ces âmes rendues dignes par ma volonté. Tu n’as qu’une bonne chose ta bonne volonté d’aimer. Mais c’est tout ce qu’il me faut. Sur elle, je peux poser ma chaire de Maître pour faire de la petite âme un piédestal, pour dire, redire et redire encore les paroles d’amour et d’invitation à l’Amour, qui guide et viendrai avec ma Chair piqué ta curiosité en disant cela. Tu ne serais pas femme si tu n’étais pas curieuse. Mais je dis ce qu’il me semble utile de dire pour votre bien, et non ce qui serait pâture à votre vaine curiosité. S’il ni est cher d’être le Maître, je sais choisir dans la Vérité ces vérités qu’il vous est utile de connaître et c’est donc de savoir qu’il est juste qu’au royaume de l’esprit, dont les sujets auront spiritualisé la chair, le Roi soit Celui qui habilla son Esprit parfait de chair pour racheter et sanctifier toute chair, et qui sanctifia la sienne d’une double sainteté, car il était chair innocente, parfaitement innocente, et chair immolée dans le sacrifice d’ viendrai, avec ma Chair glorifiée, rassembler les créatures pour la dernière bataille contre l’Ennemi; je jugerai, splendidement revêtu de ma Chair glorifiée, les corps revenus à la vie pour le jugement; je retournerai pour toujours au Ciel après avoir condamné à la mort éternelle les chairs qui ne voulurent pas devenir des esprits; et je vous reviendrai, Roi éclatant d’un peuple éclatant en qui l’œuvre du Père, du Fils, de l’Esprit sera glorifiée par la création du corps humain parfait, tel que le Père l’avait créé en Adam, beau d’une indescriptible beauté, grâce à la rédemption de la semence d’Adam par l’œuvre du Fils et la sanctification opérée par l’Esprit.”[1] Dans la dictée du 9 lumière fulgurante de son retour, les pécheurs contempleront les blessures du ChristLe 17 août 1943 Jésus dit “Lorsque je fais dire par la bouche du Bien-aimé que même ceux qui me transpercèrent’ me verront, je ne fais pas allusion à ceux qui me transpercèrent il y a vingt je viendrai sera venu le temps du triomphe de mon royaume. Je t’ai expliqué [1] ce que seront ce royaume et ses sujets. Ce sera le temps du témoignage de l’esprit, partie divine enfermée en vous qui vous rend semblables à Dieu et à son image. Par conséquent, ce sont les parties spirituelles qui seront en cause lors du jugement qui séparera les maudits des bénis. Et parmi les maudits, il y aura ceux qui, avec leur esprit sacrilège qui a recherché la Bête, adoré la Bête et s’est prostitué avec la Bête, ont transpercé, dans les siècles, l’esprit divin du Fils de Dieu après avoir, à travers les souches de la série maudite, transpercé les chairs du Fils de l’ de l’Homme. As-tu jamais réfléchi au fait que dans ces mots se trouve la vérité expliquée hier ? Je suis, par ma lignée humaine, le Fils premier-né d’ légions de ceux qui m’ont transpercé sont nombreuses comme les grains de sable sur les plages de la mer. Ils ne se comptent les crimes, tous les péchés commis contre moi, qui suis désormais imperméable à la souffrance humaine, mais encore susceptible d’être blessé par les offenses à mon Esprit, sont consignés dans les livres qui rappellent les œuvres des les trahisons après mes bienfaits, toutes les abjurations, tous les dénis de la Vérité et les fautes contre elle, cette vérité que j’ai apportée, tous les péchés contre l’Esprit Saint qui a parlé par ma bouche et qui, par mon mérite, est venu éclairer la parole du Verbe, toutes ces blessures que m’a faites au cours des siècles la race que j’ai voulu sauver, tout en la sachant si rétive au bien, seront présents à l’intérieur des esprits rassemblés dans la lumière resplendissante de mes éclairs, ils reconnaîtront ce qu’ils firent avec leur volonté obstinée à contester ce qui fut dit et fait par celui qui ne peut mentir, ni faire des œuvres sans utilité selon la loi de l’amourLes négateurs de l’amour sont ceux qui m’ont transpercé et, avec moi, ont frappé Celui qui m’a engendré et Celui qui procède de notre amour de Père et de Fils. Tout jugement est remis au Fils, mais le Fils jugera aussi les fautes commises contre le Père et l’ porteur de Vie, le Vivant éternel et l’éternel Immolé dont le monde voulut la mort, la mise à mort comme dans le cas d’un délinquant qui nuit alors que j’étais le Saint qui pardonnait, le Bon qui faisait du bien, le Puissant qui guérissait, le Savant qui instruisait est celui qui ouvrira les portes à la vraie mort et y introduira les corps et les âmes de ceux qui l’ont transpercé. Le porteur de la Vie que l’on vit au Ciel fermera les portes de l’Enfer sur le nombre intouchable des maudits, lesquels ont préféré la Mort à la le ferai parce que moi, Jésus Christ, Fils de Dieu, votre Seigneur et Sauveur, Juge éternel, j’ai les clés de la Mort et de l’Enfer.”[1] Dans la dictée du 16 vainqueurs de la chair et du démonLe 18 août 1943 Jésus dit “Je continue à t’expliquer les passages qui me semblent est dit Au vainqueur, je donnerai à manger de l’arbre de la vie...’. Et cette pensée s’est appliquée à je suis l’arbre de vie éternelle et je me donne à vous comme nourriture dans l’Eucharistie, et ma vue sera la nourriture joyeuse des vainqueurs dans l’autre vie. Mais cette phrase a un autre sens que beaucoup ignorent, justement parce que beaucoup de ceux qui me commentent ne sont pas des vainqueurs’.Qui est vainqueur ? Que faut-il pour l’être ? Des œuvres retentissantes d’héroïsme ? Non. Les vainqueurs seraient alors trop peu nombreux. Les vainqueurs sont ceux qui vainquent en eux-mêmes la bête qui voudrait avoir raison d’eux. En vérité, entre le martyre atroce mais bref, aidé par des coefficients surnaturels et naturels, et la lutte secrète, obscure et continue, cette dernière a plus de poids sur les balances de Dieu, ou du moins un poids d’un autre genre, mais n’y a pas de plus grands tyrans que la chair et le démon. Et ceux qui savent vaincre la chair et le démon, et faire un esprit de la chair, et du démon un vaincu sont les vainqueurs’.Mais pour l’être il faut s’être donné totalement à l’Amour. Totalement celui qui aime de toutes ses forces ne garde rien pour soi et, ne gardant rien pour soi, il ne garde rien pour la chair et le démon. Il donne tout à son Dieu et Dieu donne tout à celui qui l’ Parole descend nourrir les âmes entièrement données à leur Seigneur Dieu. Ma Parole vient pour vous servir de prêtre et de guide, à vous qui cherchez le guide véritable et qui en voyez de si faibles pour les foules qui périssent sans guide véritable. Vous qui avez compris la vérité, vous savez qu’une seule chose est nécessaire vivre de ma Parole, croire à ma Parole, marcher selon ma penses-tu de quelqu’un qui veut vivre de friandises, de liqueurs et de fumée ? Tu dis qu’il en mourra parce ce n’est pas là la nourriture nécessaire à une vie saine. Il en va de même pour celui qui se fatigue à poser mille gestes extérieurs et ne fait pas attention à ce qui constitue le noyau de toute la vie de l’âme ma la Messe, pourquoi l’Eucharistie, pourquoi la Confession ne vous sanctifient-elles pas comme elles le devraient ? Parce que ce sont pour vous des choses que vous faites pour la forme, vous ne les rendez pas fécondes par l’attention à ma Parole. Pis encore vous étouffez ma Parole, que je lance du haut du ciel pour vous appeler et vous illuminer, sous la tiédeur, l’hypocrisie, la faute plus ou moins ne m’aimez pas, voilà tout. Aimer ne veut pas dire faire de temps en temps une visite mondaine de courtoisie, toute superficielle. Aimer veut dire vivre avec son âme unie, allumée, fondue à un feu unique qu’alimente une autre âme. Dans la fusion, la compréhension survient parle, non plus de loin, du haut des cieux, mais j’établis ma demeure — et avec moi le Père et l’Esprit, parce que nous sommes une seule chose — j’établis ma demeure dans le cœur qui m’aime et ma parole n’est plus un murmure, mais pleine voix; elle n’est plus isolée mais continue. Je suis alors le vrai Maître’. Je suis celui qui, il y a vingt siècles, parlait aux foules infatigablement et qui maintenant trouve ses délices à parler à ses enfants préférés qui savent l’écouter et dont je fais les canaux de ma vous donne tant de vie ! Vraie vie, sainte vie, vie éternelle, vie joyeuse avec ma Parole qui est la Parole du Père et l’Amour de l’ en vérité, je donne à manger au vainqueur’ le fruit de l’arbre de vie. Je vous le donne sur cette terre par ma doctrine spirituelle que j’apporte de nouveau parmi les humains afin qu’ils ne périssent pas tous. Je vous le donne dans l’autre vie par ma présence parmi vous pour l’ suis la vraie Vie. Restez en moi, mes bien-aimés, et vous ne connaîtrez pas la mort.”Source manne cachée de la ParoleLe 19 août 1943 Apocalypse 2, 17"Au vainqueur je donnerai de la manne cachée, je lui donnerai un caillou blanc, et, inscrit sur ce caillou, un nom nouveau que nul ne sait, sauf celui qui le reçoit." Jésus dit “Toujours en regardant les paroles du Bien-aimé avec mes yeux, on comprend que la manne cachée’ est aussi ma Parole. Manne parce qu’elle contient toute la douceur d’amour de notre Trinité, qui est le Père, le Frère et l’Époux de l’âme, et qui vous aime des trois plus hautes amours. Cachée parce qu’elle est dite dans le secret du cœur à ceux qui méritent de la goûterJe voudrais bien pouvoir la faire pleuvoir sur tous et en nourrir tous. Mais il est dit Ne jetez pas les perles aux pourceaux et les choses saintes aux chiens’. Et beaucoup, qui ont pourtant été lavés dans mon baptême et rachetés par mon sang, sont plus abjects que des pourceaux et plus chiens que les as lu que la manne du désert se gâtait pour les anciens Hébreux indignes de la posséder. Ils déméritaient par leur manque de foi et leurs soucis humains. Puis-je avoir moins de respect pour ma Parole que j’en eus pour la manne destinée à nourrir le ventre, alors 19août que la Parole est destinée à nourrir l’esprit ?Je donne donc la manne à ceux qui vainquent leur partie inférieure avec toutes ses tendances à l’incroyance, à la sensualité, aux préoccupations mesquines et égoïstes. Je donne la manne de ma Parole qui remplit votre esprit de douceur et de lumière. Je donne le petit caillou blanc sur lequel est écrit un nom nouveau, c’est-à-dire dans lequel se révèle une vérité qui est tue à ceux qui en sont indignes. C’est la Vérité qui vous ouvre les portes de la vie éternelle, qui vous en donne les clés et vous met sur la voie pour parvenir à la porte de ma Cité suis la Voie, la Vérité, la Vie. Hors de moi, il n’y a point d’autre voie, vérité et vie. Celui qui surmonte tous les obstacles pour me suivre deviendra colonne de mon temple, et pour la parole qu’il aura gardée et pratiquée, après avoir été sauvé à l’heure terrible de l’épreuve de la tentation qui tue, il aura sa place sur mon propre trône, avec le Père, le Fils, le Saint Esprit.”Il dit encore “Le monde périt car il n’a pas gardé ma Parole, car il l’a négligée et raillée. Aucune force humaine ne servira à arrêter la course du monde vers l’abîme parce qu’il manque au monde et aux forces du monde la chose qui sauve ma s’est fait un vide dans la forêt mystique que j’avais cultivée pour vous, pour que vous ayez votre demeure à l’ombre de mon prévoyant amour. Ce sont vos fautes qui l’ont fait, et dans ce vide s’est installé en maître l’éternel serpent qui vous empoisonne de son haleine et vous tue de sa morsure, empêchant que ma Loi soit en vous un agent de vous et autour de vous, il n’y a que fumée, poison, horreur, désespoir. Et vous auriez pu avoir Lumière, Paix, Espérance, Joie. Voilà ce que vous auriez pu avoir si vous aviez suivi ma Parole, car j’avais épuisé toute l’horreur de la vie pour vous en préserver et je l’ai fait par l’atroce agonie que j’ai subie pour vous avez jeté mon don et vous avez appelé Satan pour maître et roi. Et Satan vous dresse et vous régit, vous salit et vous fouette pour vous rendre dignes de son enfer.”Source temps n’est pas encore venu les précurseurs de l’Antéchrist et les signes de la finLe 20 août 1943 Apocalypse 6, 8Alors j’ai vu et voici un cheval verdâtre ; celui qui le montait se nomme la Mort, et le séjour des morts l’accompagnait. Et il leur fut donné pouvoir sur un quart de la terre pour tuer par le glaive, par la famine et par la peste, et par les fauves de la terre. Jésus dit “Si l’on observait attentivement ce qui se passe depuis quelque temps, et surtout depuis le commencement de ce siècle qui précède la fin du deuxième millénaire, on pourrait penser que les sept sceaux ont été ouverts. Jamais comme maintenant me suis-je tant agité pour revenir parmi vous, rassembler par ma Parole les troupes de mes élus, et pour partir avec eux et avec mes anges livrer bataille aux forces occultes qui travaillent pour creuser à l’humanité les portes de l’ famine, épidémies, instruments d’homicide militaire lesquels sont pires que les bêtes féroces mentionnées par le Bien-aimé, tremblements de terre, signes dans le ciel, éruptions des viscères de la terre, appels miraculeux à des voies mystiques de petites âmes mues par l’Amour, persécutions contre mes disciples, grandeurs d’âme et bassesses du corps, rien ne manque des signes, d’où vous pouvez déduire que le moment de ma colère et de ma justice est l’horreur que vous éprouvez, vous vous exclamez Le temps est arrivé; ça ne peut devenir plus terrible que ça !’ Et vous appelez très fort la fin qui vous délivrera. Les coupables l’appellent, se moquant et maudissant comme toujours; les justes l’appellent, car ils ne peuvent plus supporter de voir le Mal triompher sur le mes élus ! Encore un peu de temps et je viendrai. La somme de sacrifice nécessaire à justifier la création de l’être humain et le sacrifice du Fils de Dieu n’est pas encore accomplie. Le déploiement de mes cohortes n’est pas encore terminé et les anges du signe n’ont pas encore mis le sceau glorieux sur le front de tous ceux qui ont mérité d’être élus à la de la terre est tel que sa fumée, peu dissemblable de celle qui jaillit de la demeure de Satan, s’élève jusqu’au pied du trône de Dieu dans un élan sacrilège. Avant l’apparition de ma Gloire, il faut que l’Orient et l’Occident soient purifiés afin d’être dignes que mon visage prières et les souffrances de mes saints, des favoris de mon cœur, de ceux qui portent déjà mon Signe, la Croix bénie, avant que les anges du Signe ne les aient marqués, sont un encens qui purifie et une huile qui consacre le vaste, incommensurable autel où moi, éternel Pontife, servi par tous les saints que le ciel et la terre auront à cette heure-là, je célébrerai la dernière sur la terre que se grave le signe et c’est votre volonté qui le grave. Puis les anges le remplissent d’un or incandescent qui ne s’efface pas et qui fait resplendir comme le soleil votre front dans mon est l’horreur de maintenant, mes bien-aimés; mais de combien, de combien elle doit encore augmenter pour être l’Horreur des derniers temps ! Et si effectivement il semble que l’absinthe se soit mêlée au pain, au vin, au sommeil de l’être humain, beaucoup, beaucoup plus d’absinthe devra encore couler goutte à goutte dans vos eaux, sur vos tables, sur vos grabats avant que vous n’ayez atteint l’amertume totale qui sera la compagne des demies jours de cette race créée par l’Amour, sauvée par l’Amour et qui s’est vendue à la Caïn s’en alla errer par la terre pour avoir versé un sang, innocent, mais néanmoins pollué par la faute originelle, et s’il ne trouva personne pour le soustraire au tourment du souvenir, car le signe de Dieu était sur lui pour son châtiment — et il engendra dans l’amertume, et dans l’amertume il vécut et vit vivre, et dans l’amertume il mourut — quelles ne seront pas les souffrances de la race humaine qui versa réellement et verse par son désir le Sang très innocent qui l’a sauvée ?Vous pouvez donc penser que ce sont bien là les prodromes de la fin, mais l’heure n’est pas encore y a les précurseurs de celui dont j’ai dit qu’il pouvait s’appeler Négation’, Mal fait chair’, Horreur’, Sacrilège’, Fils de Satan’, Vengeance’, Destruction’, et je pourrais continuer à lui donner des noms qui sont une claire et effrayante indication. Mais il n’est pas encore sera une personne très haut placée, comme un astre. Non un astre humain qui brille dans un ciel humain, mais un astre d’une sphère surnaturelle, lequel, cédant à la flatterie de l’Ennemi, connaîtra l’orgueil après l’humilité, l’athéisme après la foi, la luxure après la chasteté, la faim de l’or après la pauvreté évangélique, la soif d’honneurs après une vie est moins effrayant de voir tomber une étoile du firmament que de voir tomber dans les anneaux de Satan cette créature déjà élue, laquelle copiera le péché de son père d’élection. A cause de son orgueil, Lucifer devint le Maudit et l’Obscur. Pour l’orgueil d’une heure, l’Antéchrist deviendra le maudit et l’obscur après avoir été un astre de mon récompense de son abjuration, qui secouera les cieux d’un frémissement d’horreur et fera trembler les colonnes de mon Église dans l’épouvante que suscitera sa chute, il obtiendra l’aide totale de Satan ; celui-ci lui donnera les clés du puits de l’abîme pour qu’il l’ouvre. Qu’il l’ouvre tout grand pour qu’en sortent les instruments de l’horreur qu’au cours des millénaires Satan a fabriqués pour mener les humains au désespoir absolu, afin que d’eux-mêmes ils invoquent Satan roi et courent à la suite de l’Antéchrist ; lui seul pourra ouvrir toutes grandes les portes de l’abîme pour en faire sortir son roi, tout comme le Christ a ouvert les portes des cieux pour en faire sortir la grâce et le pardon, qui rendent les hommes semblables à Dieu et en font les rois d’un Royaume éternel où je suis le roi des le Père m’a donné tous les pouvoirs, ainsi Satan lui donnera tous les pouvoirs, et surtout tous les pouvoirs de séduction, pour entraîner à sa suite les faibles et ceux qui sont rongés par les fièvres de l’ambition, comme l’est l’Antéchrist, leur chef. Mais dans son ambition effrénée, il trouvera encore insuffisante l’aide surnaturelle de Satan et cherchera d’autres appuis parmi les ennemis du Christ; armés d’armes toujours plus meurtrières, telles que leur avidité de mal pouvait les pousser à créer pour semer le désespoir dans les masses, ceux-ci l’aideront jusqu’à ce que Dieu lance son Assez’ et les réduise en cendres par la splendeur de son apparence. [1]Au cours des siècles, on s’est trop creusé les méninges, beaucoup trop sur ce que Jean dit dans le chapitre 10 de l’Apocalypse, trop, beaucoup trop, et non par soif légitime et honnête désir de porter remède au mal qui menace, mais plutôt par curiosité inutile. Mais dis-toi bien, Maria, que je permets qu’on sache ce qu’il est utile de savoir et je voile ce que je juge utile que vous ne sachiez êtes trop faibles, mes pauvres enfants, pour connaître le nom d’horreur des sept tonnerres’ apocalyptiques. Mon ange a dit à Jean Scelle ce qu’ont dit les sept tonnerres et ne l’écris pas’. Moi, je dis que l’heure n’est pas encore venue d’ouvrir ce qui est scellé, et si Jean ne l’a pas écrit, je ne le dirai reste, vous n’êtes pas destinés à goûter l’horreur et par conséquent... Il ne vous reste qu’à prier pour ceux qui auront à la subir, pour que la force ne leur fasse pas défaut et qu’ils ne passent pas du côté de la foule de ceux qui, sous la morsure du fouet, ne feront pas pénitence et blasphémeront Dieu au lieu de l’appeler à leur secours. Un grand nombre de ces derniers sont déjà sur terre et leurs descendants seront sept fois plus démoniaques qu’ et non mon ange, je jure que, lorsque se taira le tonnerre de la septième trompette et que sera accomplie l’horreur du septième fléau, sans que la race d’Adam reconnaisse le Christ, Roi, Seigneur, Rédempteur et Dieu, et ayant invoqué sa miséricorde, son Nom en lequel est le salut, je jure, par mon Nom et par ma Nature, que j’arrêterai cet instant dans l’éternité. Le temps cessera et le Jugement commencera. Le Jugement qui sépare pour l’éternité le Bien du Mal après des millénaires de cohabitation sur la Bien retournera à la source dont il est issu. Le Mal sera précipité là où il a déjà été précipité au moment de la révolte de Lucifer et d’où il est sorti pour troubler la faiblesse d’Adam par la séduction des sens et de l’ s’accomplira le mystère de Dieu. Alors vous connaîtrez Dieu. Tous les hommes de la terre, tous, d’Adam au dernier-né, rassemblés comme grains de sable sur les dunes de la plage éternelle, verront le Seigneur Dieu, Créateur, Juge, vous le verrez ce Dieu que vous aurez aimé, blasphémé, suivi, raillé, béni, vilipendé, servi, fui. Vous le verrez. Vous saurez alors combien il méritait votre amour et combien il était méritoire de le servirOh ! Joie de ceux qui se seront consumés à l’aimer et à lui obéir ! Oh ! Terreur de ceux qui auront été ses Judas, ses Caïns, de ceux qui auront préféré suivre l’Antéchrist et le Séducteur au lieu du Verbe fait homme en qui est la Rédemption, du Christ, Voie du Père; de Jésus, très sainte Vérité; du Verbe, vraie Vie.”[1] Sur une copie dactylographiée, l’auteur note au crayon Défaite de l’Antéchrist, mais pas le Jugement maîtres et les martyrs de la foi. La guerre de Satan derrière la guerre des hommesLe 21 août 1943 Apocalypse 11, 1-1201 Puis il me fut donné un roseau, une sorte de règle, avec cette parole Lève-toi, mesure le sanctuaire de Dieu, l’autel et ceux qui s’y Mais la cour au-dehors du Sanctuaire, tiens-la en dehors, ne la mesure pas, car elle a été donnée aux nations elles fouleront aux pieds la Ville sainte pendant quarante-deux Et je donnerai à mes deux témoins de prophétiser, vêtus de toile à sac, pendant mille deux cent soixante jours. »04 Ce sont eux les deux oliviers, les deux chandeliers, qui se tiennent devant le Seigneur de la Si quelqu’un veut leur faire du mal, un feu jaillit de leur bouche et dévore leurs ennemis ; oui, celui qui voudra leur faire du mal, c’est ainsi qu’il doit Ces deux témoins ont le pouvoir de fermer le ciel, pour que la pluie ne tombe pas pendant les jours de leur prophétie. Ils ont aussi le pouvoir de changer l’eau en sang et de frapper la terre de toutes sortes de fléaux, aussi souvent qu’ils le Mais, quand ils auront achevé leur témoignage, la Bête qui monte de l’abîme leur fera la guerre, les vaincra et les fera Leurs cadavres restent sur la place de la grande ville, qu’on appelle, au sens figuré, Sodome et l’Égypte, là où leur Seigneur aussi a été De tous les peuples, tribus, langues et nations, on vient regarder leurs cadavres pendant trois jours et demi, sans qu’il soit permis de les mettre au Les habitants de la terre s’en réjouissent, ils sont dans la joie, ils échangent des présents ; ces deux prophètes, en effet, avaient causé bien du tourment aux habitants de la Mais, après ces trois jours et demi, un souffle de vie venu de Dieu entra en eux ils se dressèrent sur leurs pieds, et une grande crainte tomba sur ceux qui les Alors les deux témoins entendirent une voix forte venant du ciel, qui leur disait Montez jusqu’ici ! » Et ils montèrent au ciel dans la nuée, sous le regard de leurs ennemis. Jésus dit “Derrière mes deux témoins se cachent tous les maîtres de la foi Pontifes, Evêques, les inspirés, les docteurs de l’Église, les âmes pénétrées de la Voix et de la Lumière. D’une voix épurée de toute sonorité humaine, ils m’ont proclamé, moi et la vérité de ma doctrine, et, en confirmation de leur voix, ils ont apposé le sceau de la sainteté, de la douleur, et du sang comme moi, Maître des maîtres, Saint des saints, ils ont toujours été plus ou moins tourmentés par le monde et le pouvoir, lesquels trouvent en eux ceux qui, par leur propre conduite, disent au monde et aux grands de ce monde Ce que vous faites n’est pas légitime’. Mais quand l’heure du fils de Satan sera venue, l’Enfer, saillie de l’abîme ouvert par l’Antéchrist, leur livrera une guerre impitoyable, et d’un point de vue humain, les vaincra et ce ne sera pas une mort véritable. Au contraire, ce sera la Vie des vies, Vie vraie et glorieuse. Car si ceux qui suivent ma Loi dans les commandements possèdent la vie, quelle infinie plénitude de vie ne posséderont pas ceux qui suivent aussi mes conseils évangéliques de perfection et poussent leur être à ma suite jusqu’au sacrifice total par amour pour leur Jésus, l’éternel Immolé dont ils se font les imitateurs jusqu’au sacrifice de la vie ?Ceux qui se dépouillent de ce que l’humain a de plus cher, la vie, pour pouvoir me suivre, par amour de Jésus et des frères et sœurs, seront appelés à une éblouissante résurrection. Jamais je ne me lasserai de le répéter il n’y a rien de plus grand que l’amour au ciel et sur la terre, et il n’y a pas d’amour plus grand que l’amour de celui qui donne sa vie pour ses frères et sœurs.”Jésus dit encore “Je t’ai dit un jour [1] que dans l’actuelle tragédie sont déjà en branle les forces de Satan, lequel a envoyé ses anges noirs pour soulever les royaumes de la terre l’un contre l’autre. La bataille surnaturelle est déjà commencée. Elle est là. Dans les coulisses de la petite bataille non en fonction de son envergure, mais de ses raisons. Elle n a pas, absolument pas, son origine dans les petites raisons humaines. Pas du tout. Sa raison véritable, laquelle transforme des frères en autant de fauves homicides qui se mordent et se tuent mutuellement, cette raison est tout vous battez avec vos corps. Mais en réalité, ce sont les âmes qui se battent. Vous vous battez par ordre de cinq ou six puissants. C’est ce que vous croyez. Non. Il n’y a qu’un exécuteur de cette ruine. Il est sur la terre parce que vous le voulez, mais il n’est pas de cette terre. C’est Satan qui tire les ficelles de ce carnage par lequel il y a plus d’âmes qui meurent que de est une des premières batailles. Le royaume de l’Antéchrist a besoin d’un ciment de sang et de haine pour se vous, qui ne savez plus aimer, vous le servez consciencieusement et vous vous égorgez les uns les autres, et vous maudissez celui qui n’a aucune responsabilité dans vos malheurs, Dieu, qui lutte avec ses anges pour sauvegarder ce qui est à lui la Foi dans le cœur des chrétiens, la bonté dans le cœur des le moment, ce n’est pas moi qui fais la sélection. C’est vous qui vous sélectionnez, spontanément. Ceux qui, nonobstant l’horreur, comprennent que Dieu est toujours Dieu, c’est-à-dire Bonté et Justice, et que le salut consiste à observer la Loi de Dieu, se séparent de ceux qui nient ces vérités. Les premiers montent vers la Lumière, les autres plongent dans les fait Satan tente, avec ses démons, de monter au Ciel une deuxième fois. Mais repoussé par mon archange, il se précipite sur la terre pour vaincre Dieu à travers le cœur de ses enfants, puisque chaque âme qui se perd est une défaite pour Dieu. Et Satan y réussit facilement parce que le cœur des humains n'a plus la flamme de l’esprit. Il n’a plus la vie de l’esprit. C’est un nœud de péchés dans lequel prospère la triple luxure qui tue l’ ceux qui ont vaincu en vertu du Sang de l’Agneau et sont restés et resteront toujours fidèles. Bienheureux ceux qui auront repoussé Satan et ses flatteries et ne se seront pas souciés de ses triomphes apparents, de ses efforts déployés en cette, heure, dont il sait qu’elle sera brève pour son règne de malédiction; ceux qui resteront fidèles au Christ et à son Eglise, démembrée par la persécution antichrétienne, martyre invaincue comme le grand Martyr son Époux, le Christ crucifié, mais qui renaît encore plus belle après la mort apparente pour entrer glorifiée au Ciel, où le vrai Pontife l’attend pour célébrer les noces.”[1] Dans les dictées des 4 et 19 démons, émules des angesLe 22 août 1943 Apocalypse 1301 Alors, j’ai vu monter de la mer une Bête ayant dix cornes et sept têtes, avec un diadème sur chacune des dix cornes et, sur les têtes, des noms Et la Bête que j’ai vue ressemblait à une panthère ; ses pattes étaient comme celles d’un ours, et sa gueule, comme celle d’un lion. Le Dragon lui donna sa puissance et son trône, et un grand L’une de ses têtes était comme blessée à mort, mais sa plaie mortelle fut guérie. Émerveillée, la terre entière suivit la Bête,04 et l’on se prosterna devant le Dragon parce qu’il avait donné le pouvoir à la Bête. Et, devant elle, on se prosterna aussi, en disant Qui est comparable à la Bête, et qui peut lui faire la guerre ? »05 Il lui fut donné une bouche qui disait des énormités, des blasphèmes, et il lui fut donné pouvoir d’agir pendant quarante-deux Elle ouvrit la bouche pour proférer des blasphèmes contre Dieu, pour blasphémer contre son nom et sa demeure, contre ceux qui demeurent au Il lui fut donné de faire la guerre aux saints et de les vaincre, il lui fut donné pouvoir sur toute tribu, peuple, langue et Ils se prosterneront devant elle, tous ceux qui habitent sur la terre, et dont le nom n’est pas inscrit dans le livre de vie de l’Agneau immolé, depuis la fondation du Si quelqu’un a des oreilles, qu’il Si quelqu’un doit aller en captivité, il ira en captivité ; si quelqu’un doit être tué par l’épée, il sera tué par l’épée. C’est ici qu’on reconnaît la persévérance et la foi des Puis, j’ai vu monter de la terre une autre Bête ; elle avait deux cornes comme un agneau, et elle parlait comme un Elle exerce tout le pouvoir de la première Bête en sa présence, amenant la terre et tous ceux qui l’habitent à se prosterner devant la première Bête, dont la plaie mortelle a été Elle produit de grands signes, jusqu’à faire descendre le feu du ciel sur la terre aux yeux des hommes 14 elle égare les habitants de la terre par les signes qu’il lui a été donné de produire en présence de la Bête ; elle dit aux habitants de la terre de dresser une image en l’honneur de la première Bête qui porte une plaie faite par l’épée mais qui a repris Il lui a été donné d’animer l’image de la Bête, au point que cette image se mette à parler, et fasse tuer tous ceux qui ne se prosternent pas devant À tous, petits et grands, riches et pauvres, hommes libres et esclaves, elle fait mettre une marque sur la main droite ou sur le front,17 afin que personne ne puisse acheter ou vendre, s’il ne porte cette marque-là le nom de la Bête ou le chiffre de son C’est ici qu’on reconnaît la sagesse. Celui qui a l’intelligence, qu’il se mette à calculer le chiffre de la Bête, car c’est un chiffre d’homme, et ce chiffre est six cent soixante-six. Jésus dit “Je t’ai dit un jour [1] que l’éternel envieux cherche à copier Dieu dans toutes ses a ses fidèles archanges, Satan a les siens. Michel, témoignage de Dieu, a son émule infernal, tout comme Gabriel, force de Dieu, a le première bête, sortie de la mer, laquelle, d’une voix de blasphème, fait proclamer aux naïfs Qui est semblable à la bête ?’, correspond à Michel. Vaincue et brûlée par lui dans la bataille entre les troupes de Dieu et celles de Lucifer, au commencement du temps, guérie par Satan, elle porte à Michel une haine mortelle et amour à Satan, si toutefois on peut parler d’amour entre les démons — il vaut mieux dire soumission fidèle de son roi maudit, elle se sert de son intelligence pour nuire à la descendance de l’humain, créature de Dieu, et pour servir son maître. Elle emploie une force sans fin et sans limites pour persuader l’être humain d’effacer de soi mon Signe qui fait horreur aux esprits des ténèbres. Une fois enlevé ce signe, par le péché qui supprime la grâce, le chrisme lumineux sur votre être, la bête peut s’approcher et induire la créature à l’adorer comme si elle était un Dieu et à la servir dans le l’être humain réfléchissait à quoi il s’assujettit en épousant la faute, il ne pécherait pas. Mais il ne réfléchit pas. Il ne regarde que le moment et la joie du moment, et pire qu’Ésaü, il troque le divin engendrement pour un plat de Satan ne se sert pas seulement de ce violent séducteur des humains. Si en général ils réfléchissent peu, il y a encore trop d’humains qui, non par amour, mais par crainte du châtiment, ne veulent pas pécher gravement. Et voilà qu’entre en scène l’autre ministre satanique, la deuxième bête. Sous l’aspect d’un agneau, elle a l’esprit d’un la deuxième manifestation de Satan et elle correspond à Gabriel, parce qu’elle annonce la bête et elle est sa plus grande force celle qui démantèle sans en avoir l’air avec une feinte douceur qui convainc qu’il est juste de suivre dans les traces de la est inutile de parler de pouvoir politique et de pouvoir de la terre. Tout au plus, vous pouvez donner au premier le nom de pouvoir humain et au second celui de science humaine. Et si le pouvoir de par lui-même produit des rebelles, la science, lorsqu’elle est uniquement humaine, corrompt sans susciter la révolte et entraîne à leur perte un nombre infini d’ se perdent par l’orgueil de l’esprit qui leur fait mépriser la Foi et tuer l’âme par l’orgueil qui sépare de Dieu ! Au dernier jour, je moissonnerai les moissons de la terre, mais il y a déjà un moissonneur parmi vous. Et c’est cet esprit du Mal qui vous fauche et fait de vous, non pas des épis de blé éternel, mais de la paille pour les demeures de science, une seule science est nécessaire. Je le répéterai mille fois connaître Dieu et le servir, le connaître par les choses, le voir dans les évènements et savoir le distinguer de ses antagonistes pour ne pas tomber dans la perdition. Au lieu de cela, vous vous préoccupez d’augmenter le savoir humain au détriment du savoir ne condamne pas la science. Je suis même heureux que l’être humain approfondisse par son savoir les connaissances qu’il a accumulées, pour pouvoir me comprendre et m’admirer toujours davantage dans mes œuvres. Je vous ai donné l’intelligence pour cela. Mais vous devez vous en servir pour voir Dieu dans la loi de l’astre, dans la formation de la fleur, dans la conception de l’être, et non vous servir de l’intelligence pour violenter la vie ou nier le humanisme, philosophisme, théosophisme, naturisme, classicisme, darwinisme, vous avez des écoles et des doctrines de tous les genres et vous faites grand cas de toutes, bien que la vérité y soit dénaturée ou supprimée. Il n’y a que l’école du Christianisme que vous ne voulez pas suivre ou du reste une résistance naturelle. En approfondissant la culture religieuse, vous seriez obligés ou de suivre la Loi, ce que vous ne voulez pas faire, ou de confesser ouvertement que vous voulez piétiner la Loi. Et cela aussi, vous ne voulez pas le faire. Par conséquent, vous ne voulez pas devenir savants dans la science pauvres sots ! Que ferez-vous de vos petites écoles et de vos petits mots quand vous aurez à subir mon examen ? Vous avez éteint en vous la lumière infinie de la vraie science et vous avez cru éclairer vos âmes avec des succédanés de lumière, comme de pauvres fous qui prétendraient éteindre le soleil et faire un nouveau soleil avec beaucoup de petites lanternes. Mais même si le brouillard cache le soleil, le soleil est toujours dans le firmament. Mais même si par vos doctrines vous créez des brouillards qui voilent le savoir et la vérité, la vérité et le savoir demeurent puisqu’ils viennent de moi qui suis la vraie sagesse et vous comprendrez la science comme elle doit être comprise. Débarrassez vos âmes de toutes les superstructures artificielles et érigez-y la vraie Foi. Comme les flèches d’une cathédrale spirituelle, la science, la sagesse, l’intellect, la force, l’humilité et la continence s’y élèveront, car le vrai savant sait, non seulement ce qui est humainement connaissable, mais aussi la plus difficile des choses se dominer dans les passions de la chair et faire de sa partie inférieure le piédestal pour élever son âme et lancer son esprit vers les Cieux, à ma rencontre, moi qui viens et suis en chaque chose et qui aime être le Maître véritable et saint de mes frères et sœurs.”[1] Dans la dictée du 19 sept plaies de l'Apocalypse. Le règne de la grande BabyloneLe 22 août 1943 Apocalypse, chapitres 16 et 17Plus tard le même jourJésus dit “Les sept dernières plaies correspondent aux sept tonnerres non décrits [1]. Comme d’habitude, ce sont des descriptions figuratives dont cependant la réalité n’est pas totalement exclue. Je t’explique ce que j’estime opportun de t’en première est l’ l’époque de Moïse, je punis par de répugnantes maladies les créatures qui avaient commis d’impardonnables péchés envers moi. Marie, sœur de Moïse, eut le corps recouvert par la lèpre pour avoir dit du mal de mon serviteur Moïse. Comment n’arriverait-il pas la même chose et plus à ceux qui disent du mal de leur Dieu ? La lèpre, ou l’ulcère le cas échéant, s’étend de plus en plus parce que vous avez étendu vos péchés contre Dieu et contre l’admirable œuvre de Dieu que vous vous vous vautrez dans la luxure, ne pensez-vous pas faire un péché contre Dieu ? Mais bien sûr que vous en faites un, car vous profanez votre corps dans lequel réside l’esprit pour m’accueillir moi l’Esprit suprême. Et à quel point est en train d’arriver la luxure des humains, à laquelle ils se livrent avec une froide et consciente volonté ? Il vaut mieux ne pas sonder cet abîme de répugnante dégradation je te dis qu’on a qualifié d’immondes certains animaux, mais que l’être humain les a déjà dépassés et il les dépassera encore plus, et que si on pouvait créer un nouvel animal en croisant les singes avec les serpents et les porcs, il serait encore moins immonde de certains humains, qui ont l’apparence d’un humain, mais qui à l’intérieur sont plus lubriques et répugnants que le plus sale des je t’ai dit, l’humanité se scinde de plus en plus. La partie spirituelle, exiguë au sommet, monte. La partie charnelle, très nombreuse, descend. Elle descend à d’épouvantables profondeurs de vice. Quand viendra le temps de la colère, l’humanité aura atteint la perfection du tu voudrais que la puanteur des âmes mortes ne transpire pas à l’extérieur et ne corrompe pas les chairs, adorées plus que moi et employées pour toutes les prostitutions ?Et comme vous provoquerez les ulcères, vous remplirez de sang la mer et les eaux des rivières. Vous êtes déjà en train de les remplir par vos carnages, et les habitants des eaux diminuent, tués par vous, contribuant ainsi à votre faim. Vous avez tellement piétiné les dons que Dieu vous a faits pour satisfaire vos besoins matériels que la terre, le ciel et les eaux sont en train de devenir vos ennemis et vous refusent les fruits de la terre et les habitants des eaux, des fleuves, des bois, des tuez, piétinez la loi de l’amour et du pardon, versez le sang fraternel, et surtout le sang des bons, que vous persécutez justement parce qu’ils sont bons. Mais prenez garde qu’un jour Dieu ne vous oblige à satisfaire votre faim et votre soif avec le sang que vous avez versé, contre mon commandement de paix et d’ êtes rebelles aux lois que je vous ai données; rebelles contre vous seront les astres et les planètes qui vous ont jusqu’ici donné la lumière et la chaleur dont vous aviez besoin, obéissant, eux, aux règles que j’ai établies par bonté envers maladies répugnantes comme marque de votre vice; du sang dans l’eau comme témoignage de tout le sang que vous avez voulu verser, et dans celui-ci le mien; le feu du soleil pour vous donner un avant-goût des braises éternelles qui attendent les maudits; ténèbres pour vous avertir que les ténèbres attendent ceux qui détestent la Lumière; tout cela pour vous inciter à réfléchir et à vous cela ne servira à rien. Vous continuerez à tomber Vous continuerez à faire vos alliances avec le mal, préparant le chemin aux rois d’Orient’, c’est-à-dire aux appuis du Fils du semble que ce soient mes anges qui apportent les plaies. En réalité, c’est vous. Vous les voulez et vous les devenus dragons et bêtes vous-mêmes pour avoir épousé le Dragon et la Bête, de vos parties internes corrompues vous accoucherez d’êtres immondes les doctrines démoniaques absolues, lesquelles, en accomplissant de faux prodiges, séduiront les puissants et les entraîneront à lutter contre Dieu. Vous serez si pervertis que vous prendrez pour des prodiges célestes ce qui est création Maria, je te prends par la main pour te conduire au point le plus obscur du livre de Jean. Ses glossateurs ont épuisé leur science en nombre de déductions pour s’expliquer et expliquer aux foules qui est la grande Babylone’. Avec une vision humaine, à laquelle les chocs provoqués par des évènements souhaités ou arrivés n’étaient pas étrangers, ils ont donné le nom de Babylone à plusieurs comment se fait-il qu’ils n’aient pas pensé que la grande Babylone’ est toute la Terre ? Je serais un Dieu Créateur bien petit et limité si je n’avais créé que la Terre comme monde habité ! D’un battement de ma volonté, j’ai suscité des mondes et des mondes du néant et je les ai projetés, poussières lumineuses, dans l’immensité du Terre, dont vous êtes si fiers et si férocement jaloux, n’est qu’une de ces poussières tournant dans l’infini, et pas la plus grande. Mais certainement la plus corrompue. Des vies et des vies pullulent dans les millions de mondes qui font la joie de votre regard dans les nuits sereines, et la perfection de Dieu vous apparaîtra quand vous pourrez voir, avec la vue intellectuelle de l’esprit réuni à Dieu, les merveilles de ces Terre n’est-elle pas la grande prostituée qui a forniqué avec toutes les puissances de la terre et de l’enfer, et les habitants de la Terre ne se sont- ils pas prostitués, corps et âme, pour triompher dans le jour terrestre ?Oui, c’est comme ça. Les crimes de la Terre ont tous des noms de blasphèmes, comme la Bête avec laquelle la Terre et ses habitants se sont alliés pour triompher. Les sept péchés se tiennent comme un horrible ornement sur la tête de la Bête qui transporte la Terre et les terriens aux pâturages du mal, et les dix cornes, nombre métaphorique, illustrent les infinies scélératesses commises pour obtenir, à n’importe quel prix, ce que veut sa féroce Terre n’est-elle pas trempée du sang des martyrs, enivrée de cette liqueur sainte qui, bue par sa bouche sacrilège, s’est muée en elle en philtre d’ivresse maudite ? La Bête qui la porte, résumé et synthèse de tout le mal commis d’Adam à nos jours pour triompher dans le monde et dans la chair, traîne à sa suite ceux qui, en l’adorant, deviendront rois d’une heure et d’un royaume maudit. En tant qu’enfants de Dieu, vous êtes rois, et votre règne est éternel. Mais vous devenez rois d’une heure et d’un royaume maudit lorsque vous adorez Satan, qui ne peut vous donner qu’un triomphe éphémère payé au prix d’une éternité d’ Bête dit Jean fut et n’est pas. Il en sera ainsi à la fin du monde. Fut, parce qu’elle a existé vraiment; n’est pas, parce que moi, le Christ, je l’aurai vaincue et ensevelie, car alors elle ne sera plus nécessaire aux triomphes du Terre n’est-elle pas assise sur les eaux de ses mers et ne s’en est-elle pas servie pour nuire ? De quoi ne s’est-elle pas servie ? Peuples, nations, races, confins, intérêts, aliments, expansions, tout lui a servi à forniquer et à exécuter de vastes homicides et des trahisons comme celle de Judas. Ses propres enfants, qu’elle a nourris du sang du péché, accompliront la vengeance dé Dieu sur elle, la détruisant, se détruisant, portant la somme des crimes contre Dieu et contre l’humanité au nombre parfait qui exige que je tonne mon Assez !’À cette heure-là, le sang des martyrs et des prophètes bouillira, fumant d’une odeur agréable à mon trône, et les mottes de la terre, lesquelles ont recueilli les gémissements de ceux qu’on a tués par haine pour moi et leurs derniers tressaillements, jetteront un grand cri fait de ces saints gémissements et, secouées de convulsions d’angoisse, elles feront trembler les villes et les maisons des humains où l’on pèche, où l’on tue, et rempliront la voûte des Cieux d’une voix qui réclame justice sera faite. Je viendrai. Je viendrai parce que je suis Fidèle et Véridique. Je viendrai donner la paix aux fidèles et saint jugement à ceux qui ont vécu. Je viendrai avec mon Nom dont je suis seul à connaître le sens et dont les lettres contiennent les principaux attributs de Dieu dont je suis Partie et Gesù [Jésus en italien] Grandeur, Éternité, Sainteté, Unité. Écris Cristo Charité, Rédemption, Immensité, Sagesse, Trinité, Omnipotence de Dieu condensée dans le nom du Verbe fait homme. Et s’il te semble qu’il manque quelque attribut, dis-toi que la Justice est comprise dans la sainteté, car celui qui est saint est juste, la Royauté dans la grandeur, la Création dans l’omnipotence. Les louanges de Dieu sont donc proclamées dans mon saint, dont le son terrifie les démons. Nom de vie qui donnes Vie, Force, Lumière à quiconque t’aime et t’ qui est la couronne sur ma tête de vainqueur de la Bête et de son prophète, lesquels seront pris, enfoncés, submergés, ensevelis dans le feu liquide et éternel dont la morsure féroce est inconcevable au sens sera alors le temps de mon Royaume de la Terre. Il y aura donc une trêve dans les crimes démoniaques pour donner le temps aux humains de réentendre les voix du ciel. Une fois écartée la force qui déchaîne l’horreur, de grands courants spirituels descendront comme des chutes de grâce, comme des rivières d’eaux célestes, pour dire des paroles de les hommes resteront sourds, comme ils n’ont pas recueilli au cours des siècles les voix isolées, à commencer par celle du Verbe, qui ont parlé de bien, toujours sourds excepté ceux qui sont marqués de mon signe, mes amis bien-aimés, résolus à me suivre — sourds aux voix de beaucoup d’esprits, aux voix semblables au ruissellement des eaux qui chanteront le nouveau cantique pour guider les peuples à la rencontre de la Lumière et surtout de leur Jésus, Parole éternelle. Lorsque la dernière tentative sera achevée135, Satan viendra pour la dernière fois et il trouvera des disciples aux quatre coins de la terre, et ils seront plus nombreux que les grains de sable de la ! Christ ! Oh ! Jésus qui es mort pour sauver l’humanité ! Seule la patience d’un Dieu peut avoir tant attendu, avoir tant fait et avoir obtenu si peu sans retirer son don aux humains et les faire périr bien avant l’heure établie ! Seule ma patience qui est amour pouvait vous attendre, tout en sachant que, comme du sable qui filtre à travers un crible très fin, quelques rares âmes seraient venues à la gloire parmi la masse qui ne sait pas, qui ne veut pas passer à travers le crible de la Loi, de l’Amour, du Sacrifice pour parvenir jusqu’à à l’heure de ma venue, quand, en qualité de Dieu, de Roi et de Juge, je viendrai pour rassembler les élus et maudire les réprouvés, en les jetant là où l’Antéchrist, la Bête et Satan seront déjà pour l’éternité, après la victoire suprême de Jésus Christ, Fils de Dieu, Vainqueur de la mort et du mal, à mes élus qui ont su rester vivants’ dans la vie, vivants dans l’esprit en attendant notre heure de triomphe, je donnerai la possession de la demeure céleste, je me donnerai moi-même sans cesse et sans dois tendre à cette heure-là, Maria. Appelle-la et appelle-moi de toutes les forces de ton esprit. Voilà, déjà je viens quand une âme m’appelle. Avec le Bien-aimé qui, de cette terre, vit la gloire de l’Agneau,Fils de Dieu, la gloire de son Jésus qui est ton Jésus, dis avec chaque battement de ton cœur Viens, Seigneur Jésus’. ”***Je suis une loque, une pauvre petite loque. Je n’ai que l’âme qui baigne dans la sa dictée, Jésus me fait comprendre que, lorsqu’il dit Terre, il veut dire monde pris au sens, non pas de globe de poussière et d’eau, mais plutôt d’union de personnes. Je ne sais si je m’explique bien. Lorsqu’il dit Terre, il entend, si je peux m’exprimer ainsi, personne morale, et quand il dit terre, il veut dire simplement planète composée de mottes, de monts, d’eau. Coupable la première, innocente la pour cela qu’il peut affirmer sans se contredire que le sang des martyrs est devenu poison pour la Terre qui l’a bu par ses habitants avec une colère sacrilège et l’a versé par ses puissances d’état avec un abus blasphématoire du pouvoir temporel; tandis que la terre-globe, tournant dans l’espace d’éther, a bu avec respect et accueilli avec amour le sang des martyrs et les convulsions de leur agonie, et présente les unes et l’autre à l’Éternel, en lui demandant, maternelle et compatissante, qu’il n’ait pas été versé et qu’elles n’aient pas été souffertes pour rien et que justice leur soit suis contente d’avoir eu l’explication directe du Livre que j’aime tant, mais je vous [2] assure qu’humainement je suis défaite. J’ai l’impression d’être une chose pressée, vidée. Je n’ai plus rien au dedans de moi après avoir tant derniers jours, écrasée par les grandes voix qui résonnaient au fond de moi, je ne pouvais supporter le bruit humain, et j’en ai tant eu autour de moi ! J’ai souffert énormément, prise entre les entraves ordinaires de la vie et les exigences surnaturelles du C’est fait. Et maintenant je dis “Un peu de repos, sinon la pauvre écrivailleuse de Jésus va finir par se briser comme une machine qui a été trop utilisée”. À vous maintenant pour la copie. Cependant, quand vous m’apporterez le fascicule, rapportez-moi aussi ce cahier. J’ai moins de mal à corriger si j’ai le manuscrit sous les yeux. Autrement, comment vais-je faire pour me rappeler et ajouter les mots qui manquent ? Qui se les rappelle ? Je vais vous le rendre après.[1] Voir la dictée du 20 août.[2] Elle s’adresse au père et seconde mort, première et seconde résurrectionLe 22 août 1943 Au lieu de cela, il y a encore à dire. Jésus dit “Avant de clore ce cycle, il faut parler des deux première commence au moment où l’âme se sépare du corps et paraît devant moi pour le jugement individuel. Mais ce n’est qu’une résurrection partielle. Plus qu’une résurrection, on pourrait l’appeler une libération de l’esprit de son enveloppe charnelle et l’attente de l’esprit du moment où il sera réuni à la chair pour reconstruire le temple vivant créé par le Père, le temple de l’humain créé à l’image et à la ressemblance de œuvre à laquelle manque une partie est incomplète et par conséquent imparfaite. L’œuvre-humain, parfaite dans sa création, est incomplète et imparfaite si elle n’est pas unie dans ses diverses parties. Destinés au Royaume lumineux ou au séjour ténébreux, les êtres humains doivent y être pour l’éternité avec leur perfection de chair et d’ parle donc de première et de deuxième résurrection. Mais qui a tué son esprit par une vie terrestre de péché vient à moi, pour son jugement individuel, avec un esprit déjà mort. La résurrection finale fera en sorte que sa chair reprenne le poids de l’esprit mort pour mourir avec lui totalement. Tandis que celui qui a vaincu la chair pendant sa vie sur terre vient à moi, pour son jugement individuel, avec un esprit vivant qui, au Paradis, augmente son potentiel de qui purgent leur peine sont aussi des vivants’. Malades, mais vivants. Une fois obtenue leur guérison par l’expiation, ils entreront dans le lieu qui est la vie. Dans la résurrection finale, leur esprit, vivant de ma vie à laquelle ils seront indissolublement unis, reprendra la chair pour la rendre glorieuse et vivre avec elle totalement, comme moi je vis avec pourquoi on parle de première et de deuxième mort et, par conséquent, de première et de deuxième résurrection. L’être humain doit parvenir à cette éternelle possession de la Lumière puisqu’au Paradis, vous possédez Dieu et Dieu est Lumière par sa propre volonté, tout comme par sa propre volonté il a voulu perdre la Lumière et le Paradis. Moi, je vous donne l’appui nécessaire, mais vous devez le vouloir suis fidèle. Je vous ai créés libres et je vous laisse libres. Et si vous pensez à quel point ce respect de Dieu pour le libre arbitre de l’être humain est digne d’admiration, vous pourrez comprendre qu’il est juste que vous n’en abusiez pas en vous en servant pour faire le mal, et juste que vous donniez au Seigneur Dieu votre respect, votre reconnaissance et votre amour..À ceux qui n’ont point transgressé la Loi divine, je dis Votre demeure au Ciel est prête, et je brûle que vous soyez dans ma béatitude’.”Source au père et à Maria pour les guider dans leur missionLe 23 août 1943 7 h du matin au Père [1] et à moi Jésus dit “Je répète à toi et au Père des mots que j’ai dits il y a vingt siècles et qui sont toujours d’actualité, et qui conviennent maintenant particulièrement à votre situation Si vous observez mes commandements, vous persévérerez dans mon amour... Je vous ai dit ces choses pour que ma joie soit en vous et que ma joie soit complète. Vous êtes mes amis si vous obéissez à mes commandements. Je ne vous appelle plus mes serviteurs, mais mes amis, parce que je vous ai fait connaître ce que j’ai entendu de mon Père. Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, mais c’est moi qui vous ai choisis et qui vous ai destinés à porter des fruits mutuellement et aimez-moi toujours plus. Le monde vous hait parce que je vous ai choisis. Le monde n’aime que lui-même et ses propres œuvres, et il hait ce qui porte mon Nom. Et pourtant, j’ai accompli et continue d’accomplir au monde des œuvres que personne d’autre n’a accomplies. Ceux qui me haïssent n’ont donc pas d’excuse. Mais cela doit arriver, car il est dit Tu me hais sans raison.» Ils n’ont pas d’excuse non plus pour leur obstination dans le mal, parce que si je n’étais pas venu comme Maître, ils pourraient être excusés, mais je suis venu et je viens, et on ne veut pas m’écouter. Ils n’ont donc aucune circonstance atténuante’.Je vous ordonne, avec un commandement d’amour, parce que vous êtes mes amis, de ne pas dissiper ces paroles. Servez-vous-en pour vous-mêmes et pour beaucoup d’autres âmes. Je ne les ai pas dites sans raison. Je vous les ai dites pour votre joie, ô mes amis, à qui il m’est doux de dire mes pensées les plus secrètes et de demander de l’aide afin d’être aimé de ceux qui ne savent plus aimer et qui périssent sans même se rendre compte qu’ils sont en train de veux que vous soyez dans la joie. Mais dans une joie surnaturelle, car à cause de mon amour, vous serez haïs par le monde aux yeux duquel je suis odieux. À ceux qui m’aiment, le monde donne peines et douleur. Mais ça ne fait rien. Je vous dis persévérez dans mon amour. Je serai votre disséminer ma Parole. Allez-y avec discernement et soin. Ne l’appliquez pas à tous de la même façon. Que l’Esprit de Lumière, dont on parlait hier dans la Messe, vous aide dans le choix des passages qu’il faut faire connaître et de ceux qu’il faut garder cachés pour le moment. Mon conseil est que vous fassiez un choix dans ce que j’ai dit. Il y a des passages qui, pour l’instant, ne doivent être qu’un doux entretien entre nous. D’autres ne doivent être transmis qu’à des personnes qui, en raison de leur rôle ou de leur âme, sont déjà en mesure d’être admises à certaines connaissances. D’autres passages peuvent être dits et diffusés au plus grand nombre des paroles sont toutes saintes, mais les foules ne le sont pas. Il est donc essentiel que vous soyez prudents comme des serpents pour éviter les anneaux insidieux du grand serpent qu’est l’esprit du monde, lequel étouffe et empoisonne ce qui est bon, ou le détourne de façon à ce que le bien serve de prétexte au moments que vous vivez, mes pauvres amis, sont encore plus remplis de hargne et d’esprit contraire à Dieu que le temps où je fus jugé par une poignée d’hommes que le péché avait rendus fous. Il importe donc d’être vigilants parce qu’on saisirait immédiatement le prétexte de nuire aux ennemis, d’exciter les foules à des fins impies qui se cachent sous une apparence de bonté, mais qui ne sont en réalité qu’un bouillonnement de passions et d’ambitions Parole de vérité ne doit pas servir le mensonge. Ma Parole de miséricorde ne doit pas servir les vengeances. Donc, Père sait sûrement mieux que toi comment agir. Qu’il prie donc. Priez tous les deux; l’Esprit Saint vous aidera. Rappelez-vous toujours que vous avez entre les mains des remèdes aptes à guérir les âmes, et que ces âmes sont fort mal en point du fait que les passions et les péchés les ont massacrées. Elles sont déchiquetées par les explosions internes du mal, et les coups venant de l’extérieur leur ont fait perdre tout leur sang. Elles ne sont plus qu’une plaie, complètement épuisées. Tels des médecins, vous devez avoir un toucher léger et une suprême patience pour traiter ces grandes blessées et leur transfuser la vie. Je ne peux m’empêcher de dire ce que je dis, et vous ne pouvez vous empêcher de recevoir ce que je vous dis. Néanmoins, il faut du bon sens dans l’usage de mon comme vous l’avez fait avec sœur Benigna138. Non une diffusion ouverte et retentissante, mais une lente expansion toujours plus vaste, et qui reste sans nom. Et cela pour protéger ton esprit que l’orgueil pourrait troubler et ta personne qui n’a pas besoin d’autres agitations. Quand ta main sera immobile dans la paix en attendant sa résurrection dans la gloire, alors, et seulement alors, ton nom sera une gloire que d’être persécuté à cause de mon amour. Mais j’ai si peu d’amis et de si rares porte-parole que je ne veux pas qu’ils soient dérangés ou détruits par la haine du monde. J’ai pitié des âmes et je protège les porteurs de ma parole comme moi-même, plus que pas vous imaginer que vous obtiendrez grand-chose avec mes paroles. Elles tombent sur des âmes presque entièrement mortes. Mais nous devons, jusqu’au bout, tenter de sauver les cœurs. Nous avons été formés à cet effet, mes frères, mes sœurs. Faisons donc respirer l’oxygène pur aux âmes qui succombent à l’asphyxie du inonde, des sens, de l’argent. Nous accomplissons notre œuvre. S’ils restent des rochers sans vie, tant pis pour t’ai parlé avec des mots d’il y a vingt siècles, parce qu’ils sont toujours actuels et doux comme alors, car je suis éternel et fidèle, et vous qui vous succédez dans les siècles êtes toujours mes apôtres du temps présent, mes amis, les exécuteurs de la volonté du Père et de mes vous donne ma Paix, ô mes enfants bénis ![1] Le père Migliorini confesseur de Maria Valtorta Source Curie humanité parfaite et spiritualité imparfaiteLe 24 août 1943 À propos de Madame Curie [1]Jésus dit “Ce sont des créatures humainement parfaites. En elles, tout a atteint à la perfection, excepté leur esprit qui a régressé toujours plus jusqu’à devenir un embryon d’ ont un génie parfait, un sérieux parfait, une honnêteté parfaite, une humilité parfaite. Mais tout est humainement parfait. Leur vertu est une flamme qui ne réchauffe pas. C’est un feu froid. Il n’a pas de valeur pour moi. Je préfère une spiritualité imparfaite à une humanité si grande splendeur de perfection humaine est comme la luminosité de cent, de mille lampes. Elles produisent de la lumière; c’est indéniable. Mais c’est une lumière artificielle, laquelle, advenant une panne du moindre mécanisme, meurt aussitôt, et il n’en reste rien. Tandis que l’esprit, même imparfait, est toujours un petit soleil vivant de sa propre lumière, jaillie de la Grâce qui réside en lui. Je parle de l’esprit vivant, c’est-à-dire qui vit en moi, vivifié par la fait de posséder une intelligence supérieure, qui leur a permis de pénétrer les mystères de la nature, aurait dû aussi les amener à voir la puissance de Dieu et son existence, dont l’être est inscrit dans toutes les choses créées. Mais rien de cela ne s’est produit. Ce sont des êtres pleins de science, mais à qui il manque le fil qui conduit à la connaissance exacte de ce qui est. Inventeurs de nouveau, mais négateurs de l’éternel; découvreurs de forces secrètes, mais indifférents à la Force des forces, Dieu. Ils ne le cherchent pas, mais au contraire, le nient délibérément. Tout au moins, ils le pour cela que la science humaine, indéniablement avancée, ne porte pas de bons fruits, mais des fruits empoisonnés. Il manque dans le cœur et dans l’esprit des scientifiques le feu de l’amour qui fait respecter et aimer Dieu, qui fait respecter et aimer le le cas particulier qui nous intéresse, cette femme ne fit aucun tort à son prochain; au contraire, elle lui fit du bien. C’est déjà beaucoup. Mais réfléchis un peu à l’importance de l’impulsion qu’elle aurait donnée à son école, à ses disciples et aux disciples des disciples si, à la fascination de son moi, elle avait uni une religiosité peux croire, ma chère âme, qu’à l’heure du jugement, de petites créatures illettrées paraîtront plus grandes que les luminaires de la science. Les premières, allumées par l’amour seront des étoiles vivantes dans mon ciel. Même si je ne les condamnais pas à cause du bien qu’elles ont fait sur le plan humain, les autres seront des corps nébuleux dans mon Paradis. Ils seront sauvés par ma miséricorde sans aucun mérite de leur part, sauvés davantage par les prières de ceux à qui ils ont fait du bien que par dis-moi préfères-tu être une petite nullité dans le domaine du savoir et m’appartenir, toute à moi dans cette vie et dans l’autre, ou aurais-tu aimé être un astre ici-bas et opaque nébuleuse là-haut ? Je connais déjà ta réponse et je te dis donc Tu as répondu sagement’Va en paix.”[1] Marie Curie 1867—1934.Source du Seigneur partout où ses frères souffrentLe 25 août 1943 Jésus dit “Pour moi, il n’y a pas de différence entre le grand qui habite ses palais et le berger qui dort sur l’herbe au milieu de son troupeau. Vous êtes tous frères et sœurs et mes enfants, et j’ai versé mon Sang pour les riches et les pauvres, les puissants et les n’applaudis donc pas à certaines différences que l’on est en train d’établir de nos jours. Je n’approuve pas les carnages, en quelque lieu qu’on les fasse. Je ne les approuve pas, car ils sont contraires à la charité et donnent de sérieuses raisons aux faibles de je n’approuve pas non plus que certains, profitant d’une situation privilégiée, se sauvent en laissant d’autres lieux sous la torture cependant que je suis là où les miens souffrent. Je suis donc là où le danger est le plus vif et le malheur imminent. Là où l’on meurt par la main de l’homme se trouve le Rédempteur qui absout et bénit.”Source et immutabilité de la vraie foiLe 26 août 1943 Jésus dit “La beauté, la puissance, la force de la Foi sont telles que vous ne pourrez en connaître la plénitude qu’au ciel. Ici-bas, vous en avez seulement un pâle reflet, même dans les âmes le plus pénétrées de Foi. Mais ce reflet est déjà assez fort pour suffire à orienter toute une vie et à la conduire tout droit à parle de la Foi. De la vraie Foi. De ma Foi. Il n’y a qu’un Dieu, il n’y a qu’un Christ, il n’y a qu’une vraie Foi, née avec l’être humain, habitant de la Terre, seule fleur du désert et de l’exil du premier homme et de la première femme et de leurs descendants; Foi qui s’est perfectionnée au cours des siècles, puisant sa plénitude dans ma venue; sceau, qui ne ment pas et qui ne peut se démentir, de la foi des patriarches et des prophètes; cette Foi dont l’Église, dépositaire des trésors du Verbe, est la gardienne, est immuable, car elle partage les attributs de son Créateur, l’immutabilité et la bien. Qu’est- ce que la Foi assurait aux pères anciens ? Ma venue, acte de charité si sublime qu’il suffit à lui-même à rendre sûrs de la présence d’un Dieu, Père du genre humain. Elle assurait la vie éternelle réservée à tous ceux qui sont morts dans le Seigneur et elle annonçait l’éternelle punition aux transgresseurs de la Loi du assurait notre Entité Une et Trine. Elle assurait l’existence de l’Esprit Saint dont émane toute lumière spirituelle ce que la Foi assure aux chrétiens, depuis vingt siècles et jusqu’à nos jours ? Les mêmes choses. Ai-je modifié la Foi, moi ? Non. Au contraire, je l’ai confirmée et je lui ai construit tout autour la citadelle de mon Église catholique, apostolique, romaine, dans laquelle se trouve la vérité que j’y ai moi-même dernier jour et au dernier humain, la Foi est et reste celle-là’. Il ne peut y en avoir une autre. Et si vous me dites que le monde évolue, je vous réponds que son évolution n’est pas un obstacle à la Foi, mais au contraire, doit vous rendre toujours plus facile de ne veut pas dire être crédule. Croire, c’est accepter et comprendre, selon la lumière de l’intelligence, ce que vous disent ceux qui n’ont jamais menti les saints de Dieu, à commencer par les patriarches. Croire, c’est comprendre à la~ lumière de la Grâce, que je vous ai apportée pleine et surabondante, ce qui reste encore obscur à l’intelligence. Croire, c’est surtout aimer. La crédulité est stupide. Croire est une chose sainte, parce que c’est avoir un esprit obéissant aux mystères du ceux qui ne changent pas leur foi. Bienheureux ceux qui restent fidèles au Seigneur. La Foi dans une créature est la Lumière sur la lumière. Les choses, toutes les choses, qu’elles soient surnaturelles ou naturelles, se dévoilent dans une lumière de vérité qu’ignorent les incrédules, et l’âme monte à des hauteurs d’amour, de vénération, de paix, de on ne peut décrire avec des paroles humaines ce qu’est la Foi dans un cœur. Et ceux qui croient ne peuvent concevoir l’abîme de terreur, de ténèbres, d’anéantissement qu’est un cœur sans la ne juge jamais tes pauvres frères et sœurs incroyants. Crois pour eux aussi. Pour réparer leurs dénis. Moi seul peux juger. Moi seul condamne. Moi seul récompense. Et je suis seul à savoir combien je ne voudrais que récompenser, parce que je vous aime. Je vous aime au point que, pour pouvoir vous sauver, je suis mort pour vous, pour vous tous. Et vous ne pouvez me donner une joie plus grande que celle de sauver votre âme, de me laisser la sauver. Et vous ne pouvez me causer une douleur plus grande que celle de vouloir perdre votre âme en refusant mon don du un peu, Maria, combien souffre ton Jésus. Ton Jésus qui voit périr les âmes comme des fleurs desséchées par un vent de feu qui de jour en jour accélère son œuvre destructrice. En vérité, je te dis que cela m’est beaucoup plus douloureux que la barbarie de la Jésus pleure, Maria. Pleurons ensemble sur les pauvres âmes qui veulent mourir. Si même nos pleurs ne les sauvent pas, les tiens seront toujours un réconfort pour ton Jésus, et pour ce réconfort, sois bénie.”Source sur le déroulement de l’ApocalypseLe 27 août 1943 Apocalypse, chapitre 13 a écritApocalypse, chapitre 1301 Alors, j’ai vu monter de la mer une Bête ayant dix cornes et sept têtes, avec un diadème sur chacune des dix cornes et, sur les têtes, des noms Et la Bête que j’ai vue ressemblait à une panthère ; ses pattes étaient comme celles d’un ours, et sa gueule, comme celle d’un lion. Le Dragon lui donna sa puissance et son trône, et un grand L’une de ses têtes était comme blessée à mort, mais sa plaie mortelle fut guérie. Émerveillée, la terre entière suivit la Bête,04 et l’on se prosterna devant le Dragon parce qu’il avait donné le pouvoir à la Bête. Et, devant elle, on se prosterna aussi, en disant Qui est comparable à la Bête, et qui peut lui faire la guerre ? »05 Il lui fut donné une bouche qui disait des énormités, des blasphèmes, et il lui fut donné pouvoir d’agir pendant quarante-deux Elle ouvrit la bouche pour proférer des blasphèmes contre Dieu, pour blasphémer contre son nom et sa demeure, contre ceux qui demeurent au Il lui fut donné de faire la guerre aux saints et de les vaincre, il lui fut donné pouvoir sur toute tribu, peuple, langue et Ils se prosterneront devant elle, tous ceux qui habitent sur la terre, et dont le nom n’est pas inscrit dans le livre de vie de l’Agneau immolé, depuis la fondation du Si quelqu’un a des oreilles, qu’il Si quelqu’un doit aller en captivité, il ira en captivité ; si quelqu’un doit être tué par l’épée, il sera tué par l’épée. C’est ici qu’on reconnaît la persévérance et la foi des Puis, j’ai vu monter de la terre une autre Bête ; elle avait deux cornes comme un agneau, et elle parlait comme un Elle exerce tout le pouvoir de la première Bête en sa présence, amenant la terre et tous ceux qui l’habitent à se prosterner devant la première Bête, dont la plaie mortelle a été Elle produit de grands signes, jusqu’à faire descendre le feu du ciel sur la terre aux yeux des hommes 14 elle égare les habitants de la terre par les signes qu’il lui a été donné de produire en présence de la Bête ; elle dit aux habitants de la terre de dresser une image en l’honneur de la première Bête qui porte une plaie faite par l’épée mais qui a repris Il lui a été donné d’animer l’image de la Bête, au point que cette image se mette à parler, et fasse tuer tous ceux qui ne se prosternent pas devant À tous, petits et grands, riches et pauvres, hommes libres et esclaves, elle fait mettre une marque sur la main droite ou sur le front,17 afin que personne ne puisse acheter ou vendre, s’il ne porte cette marque-là le nom de la Bête ou le chiffre de son C’est ici qu’on reconnaît la sagesse. Celui qui a l’intelligence, qu’il se mette à calculer le chiffre de la Bête, car c’est un chiffre d’homme, et ce chiffre est six cent soixante-six. Jésus dit “Même dans l’Apocalypse, les périodes semblent se confondre, mais il n’en est rien. Il vaudrait mieux dire qu’elles se reflètent dans les temps futurs sous des aspects de plus en plus sommes maintenant dans la période que j’appelle la période des précurseurs de l’Antéchrist. Puis viendra celle de l’Antéchrist, qui est le précurseur de Satan. Celui-ci sera aidé par les manifestations de Satan, les deux bêtes nommées dans l’Apocalypse. Cette période sera pire que la période actuelle. Le Mal s’accroît toujours plus. Après la défaite de l’Antéchrist viendra une période de paix pour donner aux humains, secoués par la stupeur des sept plaies et de la chute de Babylone, le temps de se rassembler sous mon signe. L’époque antichrétienne atteindra sa puissance maximale dans sa troisième manifestation, c’est-à-dire à la dernière venue de compris ? Il faut croire, et non ergoter. En fait, tu avais compris, justement parce que tu n’ergotes pas. Les dictées ne se contredisent pas entre elles. Il faut savoir les lire avec foi et un cœur quelqu’un qui tient à faire comprendre quelque chose, je vais droit à la chose la plus importante, laquelle est ici mon royaume. Car dans le royaume est la justification de mon Incarnation et de ma Mort. Car dans mon royaume est la preuve de mon infinie puissance, de ma bonté et de ma sagesse. Car dans le royaume est la preuve de la vie éternelle, de la résurrection de la chair, de mon pouvoir de conséquent, lorsque j’ai parlé pour expliquer l’Apocalypse, j’ai presque toujours couronné les points individuels expliqués avec mon jugement, mon triomphe, mon règne, la défaite de Satan en lui-même et dans sa créature et ses bien et vous verrez qu’il n’y a pas de dit ce que j’ai dit.”Source connaissance éternelle de Dieu et l’immolation du Christ de toute éternitéLe 28 août 1943 SpoilerJésus dit “Lorsque je dis que je suis l’éternel Immolé’ [1], je n’exprime pas un nouveau concept. Ceux qui furent le plus près de moi, Pierre et Jean, expriment le même concept. Tous ceux qui méditent sur les œuvres du Père, du Fils et de l’Esprit ne peuvent en avoir un vous vous étonnez que Dieu, sachant toute chose dans son intelligence infinie, ait créé l’homme, et vous vous demandez si Dieu savait ce que l’homme ! Oui, il le savait ! Le Dieu Unique en Trois Personnes n’ignore rien ! Tous les évènements de l’Univers la naissance et la mort des planètes, la formation et la désagrégation des nébuleuses, la vie et la mort sur les astres lancés dans l’espace, les cataclysmes, les déflagrations, tout est connu éternellement par l’Éternel. Et il connaît aussi éternellement tous les évènements de la Terre, un des millions des mondes créés par Dieu, celui que vous connaissez bien car vous en êtes les il connaît éternellement tous les évènements de l’être humain en tant qu’habitant de la Terre. Avant qu’Adam ne fût, Dieu savait qu' Adam pécherait. Et qu’après lui pécherait, pendant des millénaires, la race d’Adam. Pas un péché des humains, pas une vertu ne sont inconnus à notre Sagesse, soit au moment où ils arrivent, soit dans un temps tellement anticipé qu’il n’a aucune commune mesure avec les limites de votre temps, en remontant les siècles des millénaires jusqu’au non-être du temps, à l’ ton regard, ô Maria, dans notre éternité. Plonge-toi dans ce signe de comme si tu fixais le regard sur un ciel très pur et si tu imaginais qu’au-delà de l’azur, qui semble être la limite, il y ait encore et encore de l’espace, espace infini, toujours plus haut... Un tourbillon d’éther, un gouffre d’azur qui, plus tu montes et plus devient profond, un gouffre sans fond. Son azur, qui pourtant est, n’est autre chose que son non-être en tant que substance consistante. Son azur consiste en d’incalculables millions de kilomètres d’éther dans lequel dansent les mondes créés par mon éternité est comme cela. Elle est ! Quand commença-t-elle ? Jamais ! Quand finira-t-elle ? Jamais ! Combien de temps durera-t-elle ? Toujours ! Depuis quand dure-t-elle ? Depuis toujours !Jamais. Toujours. Médite sur l’incommensurable puissance que contiennent ces deux petits mots appliqués à la perfection. Pas votre toujours’ relié à votre courte vie, lequel ne dure même pas le temps d’une vie. Pas votre jamais’ sujet à de si rapides démentis. Mais notre toujours’ et notre jamais’ qui ne connaissent aucune diminution et revêtent notre n’est occulte pour Dieu. Rien. Et alors, direz-vous, pauvres humains, pourquoi Dieu a-t-il créé l’être humain ?Oh ! Quel inutile pourquoi ! Vous voudriez peut-être juger l’œuvre de Dieu ? Faire le procès de ses actions ? Quand vous serez dans la gloire, vous comprendrez tous les pourquoi mystérieux. Vous lirez, avec le regard de l’esprit libre, des pages que vous ignorez maintenant, que vous voulez en vain feuilleter maintenant, tombant ainsi, par votre futile orgueil de fourmis qui veulent percer une montagne de marbre, dans les erreurs les plus de mystères l’Univers a encore pour vous ! Vous êtes plongés dans le mystère. Mystère de Dieu. Mystère des pourquoi de Dieu. Mystère de la seconde vie. Mystère des lois cosmiques. Mystère des rapports entre votre planète et les autres mondes. Mystère des rapports entre les vivants de la terre et ceux qui ont déjà passé à la seconde curiosité humaine et le besoin de votre âme de se joindre de nouveau à ses origines suscitent en vous de saintes inquiétudes et d’autres qui ne le sont lorsqu’elles vous poussent à bien agir par le désir d’approfondir le mystère et l’union avec le surnaturel, afin de vous sentir moins exilés du Royaume de l’esprit et de vous rendre toujours plus aptes à comprendre les paroles spirituelles et à mériter la vie spirituelle qui atteint la perfection dans l’autre vie, dans ma saintes lorsque vous voulez, en écartant la belle et simple Foi, imiter Adam et connaître ce qu’il ne vous est pas utile de connaître pour le moment, violant le secret, forçant des portes célestes, dérangeant les repos paradisiaques, franchissant des barrières est mal, mes enfants. Croyez-le. Laissez à votre Dieu l’initiative de vous instruire sur les mystères de l’au-delà. Il sait jusqu’à quel point il peut vous introduire dans le secret qui réside au-delà de la mort. Fiez-vous à votre Père et Maître. Ne souhaitez pas irrespectueusement aller outre la frontière. Ne souhaitez pas plus que ce que Dieu veut. Ayez du ceci vaille aussi pour tous ceux qui ne se contentent pas de ce que j’ai dit et qui veulent en savoir plus. Croyez-vous que si cela avait été souhaitable pour vous de savoir, j’aurais fait perdre la mémoire aux trois ressuscités de l’Évangile ? Et pourtant, pas un d’entre eux ne dit ce qu’il y a de l’autre côté. Même pas moi, Verbe du Père et sagesse infinie, ne vous ai révélé le mystère de la mort et d’autres dont la connaissance n’est point nécessaire à votre sanctification, mais au contraire lui est plus haut que connaître. Croire, c’est aimer. Je le dis de nouveau [2]. Croyez donc que si Dieu vous a créés, ce fut dans un élan d’amour. Croyez-le avec amour afin de répondre à un tel avec un septuple amour, croyez que je suis justement appelé l’éternel Immolé, car avant même que le temps ne fût, j’étais destiné à être immolé pour vous holocauste n’a pas commencé avec ma vie corporelle. Non. Il était avant que je ne devinsse chair dans le sein de la Vierge. Il n’a pas commencé avec l’expulsion d’Adam. Non. Il était avant qu’Adam n’eût péché. Il n’a pas commencé quand le Père dit Faisons l’être humain’. Non. Il était avant cette pensée holocauste, accompli par la deuxième Personne de Notre Sainte Trinité, est comme une palpitation au centre du cœur éternel de notre Etre, depuis toujours. Depuis toujours, comprends-tu ? Éternel comme nous sommes éternels. Tout prévu et tout pré ordonné, suis l’éternel Immolé, la Victime éternelle, celui qui transfuse son Sang en vous pour vous guérir des maladies des fautes, celui qui, avec ce Sang, vous ressoude à Dieu, celui qui vous donne toutes les certitudes de la foi et de l’espérance et vous nourrit de sa charité pour que puissiez croire, vivre en Dieu, vous sanctifier au moyen de la Parole qui ne meurt pas et qui ne permet pas que meure celui qui se nourrit d’ en moi, mes amis, et demandez-moi la grâce de croire toujours davantage. La lumière de la foi et celle de la charité vous permettront de voir toujours plus clairement votre Dieu, votre Jésus, dès cette vie.”[1] Dans la dictée du 17 août.[2] Déjà dans la dictée du 26 [/color]Valeur méritoire de l'obéissance à DieuLe 29 août 1943 Samuel 15, 22-23Samuel répliqua Le Seigneur aime-t-il les holocaustes et les sacrifices autant que l’obéissance à sa parole ? Oui, l’obéissance vaut mieux que le sacrifice, la docilité vaut mieux que la graisse des révolte est un péché comme la divination ; la rébellion est une faute comme la consultation des idoles. Parce que tu as rejeté la parole du Seigneur, lui aussi t’a rejeté tu ne seras plus roi ! » Jésus dit “Voyons ensemble ce point des Rois L’obéissance vaut plus que les sacrifices, faire attention est plus important que d’offrir le gras des béliers; car la rébellion est comme un péché de magie, ne pas vouloir s’assujettir est comme un péché d’idolâtrie’ I Rois 15, 22L’obéissance. La vertu que vous ne voulez pas pratiquer. Vous naissez et, aussitôt que vous pouvez manifester un sentiment, c’est un sentiment de rébellion contre l’obéissance. Vous vivez dans la désobéissance. Vous mourez encore dans la désobéissance. Le baptême efface le péché originel, mais il n’élimine pas la toxine que laisse le été au fond le péché originel ? Une désobéissance. Adam et Eve voulurent désobéir au Père Créateur, aiguillonnés à ce déni d’amour par le suprême Désobéissant, qui devint démon pour avoir refusé l’obéissance d’amour au Dieu suprême. Ce poison couve dans votre sang, et seule une volonté constante de votre part le rend impuissant à faire un tort mortel à votre ô mes enfants, qu’y a-t-il de plus méritoire que vous puissiez faire ? Regardez est plus facile de faire un sacrifice ou une offrande, de pratiquer une œuvre de miséricorde que d’être constamment obéissants à la volonté de Dieu. Elle se présente à vous de minute en minute comme eau qui coule et passe, apportant d’autres vagues d’eau et d’autres encore. Et vous êtes comme des poissons plongés dans la volonté de Dieu qui vous glisse dessus. Si vous voulez en sortir, vous en mourez, mes enfants. Elle est votre élément vital. Et pas une goutte qui ne provienne d’une raison d’amour. c’est faire la volonté de Dieu. Cette volonté dont je vous ai enseigné à demander l’accomplissement avec le Pater Noster et que je vous ai enseigné à pratiquer par la parole et par l’exemple, jusqu’à la pas obéir et se révolter, c’est commettre un péché de magie, dit le livre. En effet, que faites-vous en ne vous soumettant pas ? Vous repoussez Dieu en repoussant sa volonté. Vous le répudiez en tant que père et Seigneur. Mais comme le cœur de l’être humain ne peut rester sans adorer quelque chose à la place du vrai Dieu que vous repoussez, vous adorez votre moi, votre chair, votre orgueil, votre argent; vous adorez Satan dans ses plus vives manifestations. Vous devenez donc idolâtres. Et de quoi ? De dieux effroyables qui vous gardent esclaves, et esclaves venez, chers enfants de mon amour venez sous le joug paternel qui ne fait point mal, qui n’opprime pas, qui n’avilit pas, mais qui, au contraire, vous soutient et vous guide et vous assure de parvenir au royaume bienheureux où il n’y a plus de monde, qui veut désobéir, ne sait pas que cet acte d’obéissance suffirait à le sauver. Revenir au sillon que nous trace Dieu, suivre sa voix, obéir, obéir, retrouver la maison du Père qu’on a voulu fuir pour une chimère de fausse dignité, retrouver la main du Père qui bénit et guérit, retrouver le cœur du Père qui aime et ô mes enfants, que, pour vous redonner la grâce perdue, deux Etres très bons, très purs, durent consommer l’Obéissance suprême. Le salut du genre humain débuta, dans le temps, par le fiat’ de Marie devant mon archange, et se termina par le consummatum’ de Jésus sur la croix. Les deux actes d’obéissance les plus douloureux et les moins obligatoires, car moi et ma Mère étions au-dessus de la nécessité d’expier le péché par l’ qui n’avons pas péché, avons racheté votre péché en obéissant. Et vous ne voudriez pas, pauvres enfants, imiter votre Maître et obtenir miséricorde par l’obéissance qui est une preuve d’amour et de foi ?Cette fleur spirituelle de l’âme est plus belle et plus appréciée que les églises elles-mêmes que vous m’élevez en remerciement, et que tout autre ex-voto, car cette fleur, née sur terre dans le cœur de l’homme, fleurit éternellement au Ciel pour votre gloire.”Source dépassement des épreuves par la foi et avec l’aide des sacrementsLe 30 août 1943 Tobie 2, 18Nous sommes enfants des saints, et nous attendons cette vie que Dieu doit donner à ceux qui ne lui retirent jamais leur fidélité. Jésus dit “Que ta réponse, que ce soit au prochain qui s’étonne et te fait remarquer l’apparent abandon de Dieu à ton égard, ou au tentateur qui veut te persuader que tout ton sacrifice ne t’obtient aucun soulagement de Dieu, soit la même que celle du vieux leur diras, comme à toi-même Nous sommes enfants de saints et nous attendons cette vie que Dieu donne à ceux qui ne perdent jamais leur foi en lui'.Enfants de saints et appelés à la même pas fille de Dieu, Maria ? Et qui est plus saint que ton Père ? Si lui, qui est le Saint des saints, veut tant de douleur pour toi, c’est signe que cette douleur a pour but une joie proportionnée à la douleur, c’est-à-dire une joie immense, une joie sans qui arrive à croire fermement que tout ce qui lui arrive a sa source dans l’amour et produit une joie éternelle est en sécurité comme à l’intérieur d’une forteresse. Elle ne peut périr. Elle souffre, mais sa douleur est surnaturelle et porte des fruits surnaturels de un peu de temps et la joie viendra. Encore un peu de temps et je viendrai. Je viendrai sans les limites que je dois imposer maintenant à la rencontre pour l’adapter à ton humanité. Je viendrai de Dieu à l’âme, c’est-à-dire librement, complètement. N’aie pas peur. Tu verras alors combien plus belle est ma demeure que tu ne l’as vue dans tes rêves et imaginée par la pensée. Tu verras alors que t’unir avec moi, laissant un corps qui est un piège pour l’âme et un constant danger, se fera sans perds jamais la foi en ton Jésus. Je suis près de toi et tu le sens. Mais ne refuse aucun des secours que j’ai mis a votre disposition. La voie surnaturelle dans laquelle tu marches ne t’exempte pas de parcourir la voie commune à toutes les créatures qui vivent dans l’ huile t’a délivrée et, d’esclave de l’Ennemi, t’a faite fille de Dieu. Une huile t’a faite milicienne du Christ. Qu’une huile te fasse partager le Royaume. L’âme qui entre dans la gloire devient reine. Et pour les rois, tu l’as lu, il fallait l’ veux que tu effaces même les ternissures des péchés passés. Quand l’heure viendra, tu dois venir à ma rencontre, vierge sage et prévoyante, avec les ornements qui conviennent aux douleur est une grande absolution quand on souffre avec sainteté. Mais, je le répète, même pas ma caresse ne doit te faire penser que tu es exempte des devoirs de tout le monde. La perle cachée, que seul Jésus connaît, ne doit être aucunement différente, aux yeux du monde, de ses sœurs qui sont moins transformées que toi en pierre précieuse par volonté du Seigneur.”Source manifestations actuelles, fruit de la corruption interne et du mauvais usage des dons de DieuLe 31 août 1943 Jésus dit “Il est inutile de se laisser saisir d’horreur face à certaines manifestations actuelles. Elles sont le fruit de votre l’ai dit C’est du cœur que sortent les pensées mauvaises et les mauvais sentiments, et ce sont eux qui contaminent’. J’ai dit aussi que chaque être humain se reconnaît à ses œuvres et que, comme on ne peut cueillir des fruits sucrés sur un prunier sauvage, ainsi on ne peut tirer des actes honnêtes de quelqu’un dont l’intérieur est malhonnête. La malhonnêteté ne consiste pas seulement à voler, à mentir, à nuire au malhonnêteté que de manquer à ses devoirs envers Dieu, de lui voler ce respect aimant que l’être humain doit à son Créateur. C’est malhonnêteté que de se servir de ses dons pour de mauvaises actions. Tous ses dons, et en particulier le don de la vieMaintenant regarde et juge par toi-même le mauvais usage que vous faites de la vie que vous donne le Père. Regarde et juge le mauvais usage que vous faites de votre corps dans lequel respire l’âme, temple réservé à Dieu, où réside l’esprit qui devrait se consacrer à comprendre la Loi de Dieu, comme le cœur devrait s’occuper à l’aimer et à la lieu de cela, que faites-vous ? Vous résistez aux voix du Seigneur, aux souhaits du Seigneur, aux commandements du Seigneur, à la volonté du Seigneur. Tels des béliers sauvages, vous opposez votre dureté et votre révolte — deux cornes bien pointues — à chaque invitation de Dieu. Vous vous ruinez, mais vous continuez à vous vous dites chrétiens ? Non, vous ne l’êtes pas. Moi, le Christ, je ne vous ai pas enseigné la révolte, la désobéissance, la luxure, la cruauté, l’idolâtrie. Je vous ai enseigné tout le contraire. Je vous ai montré comment vous servir de la vie, je vous ai expliqué que vous êtes les temples de Dieu qui veut vivre en vous, qui aime vivre en vous bien plus que dans les temples somptueux, lesquels ne sont faits que de pierre et de Dieu ne veut pas de ces demeures faites par la main de l’homme. C’est vous qu’il veut, vous qu’il a faits de sa main, vous qui êtes des temples de sang et d’âme, vous que mon Sang a revêtus de pourpre immortelle et purifiés comme de précieux autels. Voilà ce que Dieu veut pour revenir vivre dans une paix aimante avec persistez pas sur le dur chemin que vous avez entrepris et qui vous mène à la ruine. Soyez de vrais chrétiens et non des chrétiens en paroles seulement. Que mon signe soit vraiment gravé dans les fibres vivantes de votre cœur, non sur le fronton des temples vides où vous ne venez pas prier ou vous y venez l’âme troublée par toutes vos vaines préoccupations et les fermentations de vos instincts votre cœur à l’Amour, mes enfants. C’est cela qui vous manque le plus. Vous n’avez pas de charité envers Dieu, envers le prochain, envers vous-mêmes. Oui, envers vous aussi, car vous tuez votre jamais que les tentations sont inévitables, mais elles ne font pas le mal. Le mal, c’est vous qui le faites quand vous leur cédez. Et ne dites pas qu’elles sont plus fortes que vous. Non. Le Père donne en fonction de ce que vous pouvez donner. La tentation exige 10 de force pour qu’on y résiste ? Dieu vous en donnera 10 et même plus. Le problème, c’est que vous ne cessez de désirer céder au mal. Et que peut alors Dieu si vous détruisez les forces divines par votre volonté perverse et si vous vous abandonnez au baiser de la tentation ?Ce faisant, vous mettez votre âme dans un étau mortel, et c’est d’une âme malade ou mourante que sortent ces sentiments qui vous étonnent. Mais il n’en peut être autrement. L’odeur fétide de la mort émane d’un corps corrompu. Les manifestations du péché proviennent des âmes corrompues.”Source Christ, Cyrénéen de Maria, et Marie, sa VéroniqueLe 1er septembre 1943 Jésus dit “Non, tu n’es pas seule. Tu as ton Jésus près de toi comme bien peu l’ont, car s’il est vrai que je suis près de tous mes enfants par ma Grâce, c’est auprès d’un très petit nombre que je suis présent de la façon dont je le suis avec toi et que j’ai utilisée en voyant ta très pénible condition générale. Je sais jusqu’où peut aller la résistance d’un être et, étant donné que le fardeau de douleur que tu dois porter est écrasant, j’y ai suppléé par des moyens extraordinaires que je réserve à bien peu d’ me souviens de mon besoin d’aide aux heures tragiques de ma Passion. Et ce que j’ai désiré pour moi alors, je veux que mes deux fois semblables l’aient aussi. Semblables car ils sont mes disciples, semblables parce qu’ils subissent la passion et sont n’es pas seule. Tu m’as pour Cyrénéen et tu as ma mère pour Véronique. Marie est le modèle des orphelines et elle se souvient de tes tourments d’orpheline comme je me souviens des tourments de mon sainteté ne supprime pas la douleur. Marie dans sa sainteté immaculée souffrit cruellement à la mort de ses parents qu’elle ne put consoler de ses baisers. Tu vois comme tu lui ressembles ? Dans son âme si parfaite, que seul Dieu surpasse, Marie sut aimer et souffrir comme nul autre, car la sainteté, étant le perfectionnement de toutes les bonnes sensibilités du cœur, elle apporte une augmentation de la capacité d’aimer et de souffrir, d’autant plus grande que l’âme est plus sainte. Et l’âme de Marie était suprêmement bien, je te donne cette Femme, à qui ne fut épargnée aucune douleur et personne comme elle ne méritait davantage d’en être exemptée, puisqu’elle était immaculée et donc libre du poids de la souffrance causée par la faute d’Adam cette Femme qui a versé tant de larmes pour tant de deuils et qui s’est vu enlever père, mère, époux et Fils par la mort, je te la donne pour Véronique et je te la donne pour le mois du cœur transpercé de Marie et de l’Exaltation de ma Croix. Ne refuse pas d’être semblable à la Transpercée et à l’Immolé.”Source soleil et vigneron de l’âme pour les vendanges divinesLe 2 septembre 1943 Jésus dit “Le raisin est d’autant plus sucré qu’il est plus mûr, et il mûrit d’autant plus vite qu’il reçoit plus de soleil. Le maître de la vigne ne cueille pas son raisin pour en faire du vin s’il n’a pas bien mûri, et pour qu’il mûrisse, il élague et taille ses vignes de sorte que le soleil puisse descendre et circuler parmi les grappes et faire des grains verts et surs autant de perles de sucre le raisin restait comme il est en avril, c’est-à-dire quand la vigne est belle de toutes ses feuilles nouvelles et de ses petites grappes en fleur, ou même comme il est en juin, quand la vigne est pleine de sarments flexibles et de grappes bien formées, il ne servirait à rien, excepté à réjouir la vue. Mais en automne, après beaucoup de soleil et de nombreuses tailles, le raisin est beau d’une autre manière et, en plus d’être beau, il est utile aux suis le soleil et vous, mes chères âmes, vous êtes la vigne où doit se préparer le vin éternel. Je suis le soleil et aussi le vigneron. Je vous entoure et vous inonde de mes rayons et vous mortifie pour que vous donniez des sarments chargés de vrais fruits, et non des vrilles futiles qui ne servent à faut laisser le soleil et le vigneron travailler votre âme à leur guise. Il faut, ma Maria, imiter, imiter beaucoup la grappe qui n' a aucun mot de protestation, ni de gestes de résistance à l’égard du soleil ou du maître de la vigne, mais, au contraire, se laisse découvrir pour mieux recevoir les chauds rayons, se laisse soigner avec les produits appropriés, se laisse arranger sans aucune réaction. Elle devient ainsi toujours plus grosse et plus sucrée, un vrai prodige de jus et de aussi doit désirer le soleil et l’œuvre de l’éternel Vigneron d’autant plus que s’approche pour elle l’heure des divines vendanges. La grappe rétive et malade qui n’a pas voulu devenir mûre saine et sucrée, et qui s’est cachée pour ne pas être soignée, n’est pas destinée à la cuve mystique. Mais, au contraire, la grappe qui n’a pas eu peur des cisailles et des remèdes, et qui a docilement sacrifié ses goûts pour moi, cette grappe-là devient digne de mes suis le Vendangeur et tu es ma grappe. Les vendanges approchent. Augmente tes efforts pour absorber le plus que tu pourras de moi. Je deviendrai en toi liqueur de vie éternelle. Augmente tes actes de générosité pour seconder l’œuvre de ton vigneron aimant. Celui-ci, ton Jésus, ne veut rien d’autre que de faire de toi une grappe digne d’être placée au pied du trône de bien douce chose que d’avoir Jésus pour Maître, Maria, mais une chose qui devient parfaite quand on assimile tout l’enseignement du Maître.”Source Maria” exhortation à prier MarieLe 3 septembre 1943 Jésus dit “Bienheureuses les lèvres et les contrées où l’on dit Ave je te salue. Du plus petit au plus grand, de l’enfant au parent, de l’inférieur au supérieur, tous sont tenus, de par la loi de la courtoisie humaine, de prononcer souvent cette salutation respectueuse, pleine d’égards ou amoureuse selon les circonstances. Mes frères et sœurs ne peuvent refuser cet acte d’amour révérenciel à la Maman parfaite que nous avons au Maria. Je te salue, Marie. C’est une salutation qui purifie les lèvres et le cœur parce qu’on ne peut dire ces mots, de façon réfléchie et sincère, sans se sentir devenir meilleur ! C’est comme si on s’approchait d’une source de lumière angélique et d’une oasis de 1ys en te salue, la parole de l’ange qu’il vous est permis de dire pour saluer Celle que saluent avec amour les Trois Personnes, l’invocation qui sauve, ayez-la toujours sur les lèvres. Mais pas comme un mouvement machinal qui exclut l’âme, mais bien comme un mouvement de l’esprit qui s’incline devant la royauté de Marie et s’élève vers son cœur de vous saviez dire avec un esprit véritable ces mots, même seulement ces petits mots, vous sériez meilleurs, plus purs, plus charitables. Parce que les yeux de votre esprit seraient alors fixés sur Marie, et sa sainteté entrerait dans votre cœur à travers cette contemplation. Si vous saviez les dire, vous ne seriez jamais affligés. Car elle est la source des grâces et de la miséricorde. Les portes de la miséricorde divine s’ouvrent, non seulement sous la poussée de la main de ma Mère, mais à son simple le dis une deuxième fois bienheureuses les lèvres et les contrées où l’on dit Ave Maria. Mais où on le dit comme il se doit. Car s’il est vrai qu’on ne se moque pas de Dieu, il est aussi vrai qu’on ne trompe pas qu’elle est la Fille du Père, la Mère du Fils, l’Épouse de l’Esprit Saint, et que sa fusion avec la Trinité est parfaite. Par conséquent, elle possède la puissance, l’intelligence et la sagesse de son Seigneur. Et elle les possède dans leur plénitude d’aller à Marie avec l’âme souillée par la corruption et la haine. Elle est une Mère pour vous et elle sait panser vos blessures, mais elle veut voir en vous au moins le désir d’en quoi sert de se tourner vers Marie, la Très Pure, si aussitôt que vous avez quitté son autel et fini de prononcer son nom, vous allez commettre le péché de la chair ou proférer des blasphèmes ? À quoi sert de se tourner vers Marie, la Compatissante, si tout de suite après, ou en même temps, vous avez la rancune au cœur et, sur les lèvres, des malédictions envers vos frères et sœurs ? Que peut faire pour vous cette Salvatrice si vous détruisez, de votre volonté perverse, votre salut ?Tout est possible à la miséricorde de Dieu et à la puissance de Marie, mais pourquoi risquer la vie éternelle en attendant d’obtenir la bonne volonté de se repentir à l’heure de la mort ? Ne serait- il pas bon, puisque vous ne savez pas quand vous serez appelés à mes portes, d’être les vrais amis de Marie pendant toute la vie et avoir ainsi la garantie d’être sauvés ?Car, je le répète, l’amitié avec Marie est une source de perfection parce qu’elle inspire et transmet à l’âme les vertus de l’Amie élue, que Dieu n’a pas dédaignées et qu’il vous a accordées comme couronnement de l’œuvre rédemptrice de son Fils. Moi, le Christ, je vous ai sauvés par la douleur et le sang ; Marie, elle, par la douleur et les pleurs, et elle voudrait vous sauver par son amour et son sourire.”Source Seigneur est avec toi” l’union parfaite de Marie avec Dieu Le 5 septembre 1943 Jésus dit “Le Seigneur est avec toi’.Le Seigneur est toujours avec l’âme qui est dans la grâce. Dieu ne s’éloigne même pas quand le Tentateur s’approche. Dieu s’éloigne seulement quand la créature cède au Tentateur et corrompt son âme. Alors Dieu se retire, car il ne peut cohabiter avec l’Ennemi. Il se retire et, comme un Père, non dédaigneux mais affligé, il attend que vienne la contrition dans le cœur de la créature et qu’elle renoue le lien d’amour avec le voudrait toujours être avec vous. Si tous vos anges, aussi nombreux que les étoiles dans le ciel, pouvaient vous saluer avec les paroles Le Seigneur est avec toi’, la joie de votre Seigneur serait complète, puisque nous désirons être avec vous et nous vous avons créés pour était avec Dieu et Dieu était avec Marie. Les deux perfections s’attiraient et s’unissaient dans un incessant mouvement d’affection. La perfection infinie de Dieu descendait, avec une joie inconcevable à vous mortels, pour posséder cette créature. La perfection humaine de Marie, seule fille de parents humains qui ait jamais été parfaite, se lançait à la rencontre de la perfection divine pour trouver le moyen de être avec Dieu était la vie de Marie et, à l’heure atrocement déchirante du Calvaire et du Sépulcre, quand les Cieux se refermèrent sur le Mourant et la Transpercée, la privation de Dieu fut. des sept épées, la plus brûlante et la plus tranchante, touche suprême à l’édifice de douleur exigé par la atteint le sommet de la douleur totale de Gethsémani à la neuvième heure; Marie a atteint le sommet de la douleur, totale en elle aussi, même si elle n’a pas été matériellement crucifiée, du Calvaire au moment de la Résurrection. Et cette suprême douleur n’a qu’une cause la privation de l’union avec devrait être la même chose pour vous aussi. Mais désormais, l’être humain trouve pénible l’union avec nous et il ne sent pas combien il est misérable lorsqu’il est privé de nous. Malheur, cécité, folie, mort, voilà ce qu’est la perte de l’union avec votre Seigneur. Et vous n’y pensez jamais !Si vous perdez quelques monnaies, un objet, la santé, un emploi, un animal, vous vous mettez en branle pour les retrouver et vous employez tous les moyens humains et surnaturels pour y réussir. Oui, pour trouver quelque chose de limité et de caduc, vous savez prier. Mais quand vous perdez Dieu, vous ne le cherchez pas. Vous ne vous adressez pas à mes Saints pour qu’ils vous aident à retrouver la voie de Dieu, vous n’employez pas les soins humains pour freiner vos impulsions. La perte de l’union avec Dieu vous paraît une chose de peu d’importance. Et c’est la chose ne se sépara jamais de Dieu. Leurs esprits restèrent fondus en une étreinte d’amour qui eut son couronnement au Ciel. Cette union fut la principale force de Marie, en tant que fille d’Adam, car elle y trouvait la cuirasse pour se rendre intouchable à la morsure du n’est pas que celui qui est avec Dieu ne voie pas le mal, lequel recouvre, tel un vêtement crasseux ou une maladie répugnante, tant de créatures. le voit, même qu’il le voit avec une plus grande netteté que beaucoup d’autres, mais cette vue ne le corrompt pas. Le mal n’entre pas par les yeux pour chatouiller les instincts qui couvent dans la chair ou les mauvais penchants de l’esprit. Cela n’arrive que chez ceux qui, séparés de Dieu, ont l’Ennemi pour hôte en qui est uni à Dieu est saturé de Dieu, et tout ce qui n’est pas Dieu reste à la surface, tel un petit vent qui ride légèrement la surface de l’esprit et n’entre pas bouleverser l’intérieur. Ce n’est pas tout. Celui qui est uni à Dieu, vraiment uni à lui, au lieu d’absorber l’extérieur en lui, propage son intérieur sur ses proches, c’est-à-dire qu’il propage le Bien, c’est vraiment comme cela celui qui est avec Dieu a un pouvoir de rayonnement, bien plus puissant que celui de beaucoup de corps de l’univers sur lesquels l’esprit humain a peiné et élevé un monument d’orgueil. Et surtout, il a un pouvoir surnaturellement utile, puisque celui qui porte le Saint des saints en soi, et vit de lui, le communique aux autres. C’est cela qui fait dire C’est un saint’.Marie a possédé l’union avec Dieu à la perfection, et elle a tendu de toutes ses forces à se fondre à lui toujours davantage. On pourrait dire que Marie s anéantit en Dieu tant elle vécut seulement de dit Marie trouva en cela la principale force pour se rendre intouchable’. N’allez pas comprendre les choses de travers. Marie, la très humble, n’osait pas le moins du monde se penser la créature parfaite. Elle ignorait son destin et sa nature immaculée. Elle connut le mystère aux paroles de Gabriel et dans l’étreinte nuptiale avec l’Esprit Éternel. Mais, durant sa jeunesse, période pleine de pièges, elle trouva la force, je le répète, dans l’union avec Dieu. Elle voulut la trouver à tout prix car elle aurait préféré mourir cent fois plutôt que de sortir un seul instant du halo de voudrais que mes bien-aimés en particulier, puis les autres, au lieu de s’adonner à un grand nombre de pratiques plus ou moins pieuses, tendent à la pratique souveraine de l’union avec moi. La prière, la vraie, vous serait alors facile, le cœur enflammé, le corps chaste, la pensée honnête tout en vous deviendrait saint et bon, et la Terre connaîtrait des jours nouveaux où les anges pourraient saluer les humains avec ces mots Le Seigneur est avec vous’.”Source entre toutes les femmes” chef-d’œuvre de la création, rédemptrice du genre humain Le 6 septembre 1943 Jésus dit “ Tu es bénie entre toutes les femmes’.Cette bénédiction, que vous dites mal ou pas du tout à Celle qui par son sacrifice a commencé la Rédemption, résonne sans cesse au ciel, prononcée avec un amour infini par notre Trinité, avec une charité brûlante par ceux que notre sacrifice a sauvés et par les chœurs des anges. Le Paradis tout entier bénit Marie, chef-d’œuvre de la création universelle et de la miséricorde si toute l’œuvre du Père pour créer la Terre du néant n’avait servi qu’à accueillir Marie, l’œuvre créatrice aurait eu sa raison d’être, car la perfection de cette créature est telle qu’elle est un témoignage, non seulement de la sagesse et de la puissance, mais de l’amour avec lesquels Dieu a créé le au lieu de cela, la création terrestre ayant donné Adam et k race d’Adam, Marie témoigne de l’amour suprêmement miséricordieux de Dieu envers l’être humain, parce qu’à travers Marie, Mère du rédempteur, Dieu a opéré le salut de genre humain. Je suis le Christ parce que Marie m’a conçu et donné au me direz qu’en tant que Dieu, je pouvais surmonter la nécessité de prendre chair dans le sein d’une femme. Je pouvais tout, c’est vrai. Mais réfléchissez à quelle loi d’ordre et de bonté se manifeste dans mon anéantissement dans une enveloppe faute commise par l’humain devait être expiée par l’humain et non par une divinité non incarnée. Comment la Divinité, Esprit incorporel, aurait- elle pu racheter par le sacrifice d’elle-même les fautes de la chair ? Il était donc nécessaire que moi, Dieu, paye du supplice d’une Chair et d’un Sang innocents, nés d’une innocente, les fautes de la chair et du intellect, mes sentiments, mon esprit auraient souffert à cause de vos fautes de l’intellect, des sentiments, de l’esprit. Mais pour être la rédemption de toutes les concupiscences, inoculées en Adam et sa progéniture par le Tentateur, l’Immolé pour elles devait être doté d’une nature semblable à la vôtre, rendue digne d’être offerte à Dieu en rançon par la Divinité cachée en elle, telle une pierre précieuse d’une valeur surnaturelle infinie cachée sous une gaine ordinaire et est ordre et Dieu ne viole et ne violente pas l’ordre, excepté dans des cas très extraordinaires que son intelligence juge utiles. Ce n’était pas le cas pour ma ne devais pas seulement effacer la faute, du moment où elle fut commise au moment du sacrifice, et annuler les effets de la faute chez ceux qui allaient venir en les faisant naître, comme Adam avant qu’il ne la commît, dans l’ignorance du mal. Non. Je devais, par un sacrifice total, réparer la Faute et les fautes de toute l’humanité, donner à l’humanité déjà disparue l’absolution de la faute, à l’humanité vivant à ce moment-là et à l’humanité future le moyen qui l’aide à résister au mal et à se faire pardonner le mal que sa faiblesse l’induirait à sacrifice devait donc présenter toutes les qualités nécessaires, et ça ne pouvait être que le sacrifice d’un Dieu fait homme,hostie digne de Dieu, moyen compréhensible à l’humain. En outre, je venais apporter la mon humanité n’avait pas existé, comment auriez-vous pu croire, vous, mes pauvres frères qui avez du mal à croire en moi qui vécus pendant trente-trois ans sur terre, homme parmi les hommes ? Et comment pouvais-je apparaître, déjà adulte, à des peuples hostiles ou ignorants, les persuadant de ma nature et de ma doctrine ? Je serais alors apparu aux yeux du monde comme un esprit qui aurait pris l’aspect d’un homme, mais non comme un homme qui fût né et mort en versant du vrai sang par les blessures d’une vraie chair comme preuve de son humanité et cela comme preuve qu’il était Dieu retournant à sa demeure pas plus doux pour vous de penser que je suis votre véritable frère et que je partage le destin des créatures qui naissent, vivent, souffrent et meurent, que de penser que je suis un esprit au-dessus des nécessités humaines ?Il était donc nécessaire qu’une femme m’engendrât selon la chair, après m’avoir conçu au-dessus de la chair, puisque l’Homme-Dieu ne pouvait être engendré d’aucun mariage de créatures, quelque saintes qu’elles fussent, mais seulement de l’union entre la Pureté et l’Amour, l’Esprit et la Vierge créée sans tache afin d’être matrice de la chair d’un Dieu, la Vierge dont la pensée était la joie de Dieu avant même que le temps ne fût, joie du Ciel, salut de la Terre, fleur de la Création plus belle que toutes les fleurs de l’Univers, astre vivant en comparaison duquel semblent éteints les soleils qu’a créés mon soit la Femme pure destinée au soit la Femme désirée de la Trinité qui anticipait par son désir l’instant de se fondre à elle dans l’étreinte du trine soit la Femme victorieuse qui écrase le Tentateur sous la blancheur éclatante de sa nature soit la Vierge qui ne connaît que le baiser du soit la Mère devenue telle par sainte obéissance à la volonté du soit la Martyre qui accepte le martyre par pitié de vous soit la Rédemptrice de la femme et des enfants des femmes, qui annule Ève et s’insère à sa place pour porter le fruit de la vie là où l’Ennemi a semé la bénie, trois fois bénie pour ton oui, ô Mère, qui as permis à Dieu de garder la promesse faite à Abraham, aux patriarches et aux prophètes, qui as réconforté l’Amour, accablé de devoir être punisseur et non sauveur, qui as soulagé la Terre de la condamnation qu’Ève lui avait bénie, bénie pour ta sainte humilité, pour ta charité brûlante, pour ta virginité intouchée, pour ta maternité divine, multiple, éternelle, vraie et spirituelle, Mère qui de ton amour et de ta douleur engendres sans cesse de nouveaux enfants pour le royaume de ton de grâce et de salut, génératrice de la divine miséricorde, génératrice de l’Église universelle, sois éternellement bénie pour ce que tu as accompli, comme tu étais éternellement bénie pour ce que tu allais sainte, sainte Prêtresse qui as célébré le premier sacrifice et préparé avec une partie de toi-même l’Hostie à immoler sur l’autel du sainte, sainte Mère qui ne m’as pas fait regretter le Ciel et le sein du Père, car en toi j’ai trouvé un autre paradis non dissemblable de celui où la Triade accomplit ses œuvres divines; Marie qui fus le réconfort de ton Fils sur la terre et la joie du Fils au ciel, qui es la gloire du Père et l’Amour de l’Esprit.”Source le fruit de tes entrailles” gloire et douleur de Marie Le 7 septembre 1943 Jésus dit Béni soit le fruit de tes entrailles’.La maternité divine et virginale fait que Marie n’est surpassée que par Dieu. Mais ne vous arrêtez pas à contempler uniquement la gloire de Marie. Pensez à ce qu’il lui en a coûté pour obtenir cette gloire. Celui qui regarde le Christ dans la lumière de la résurrection et ne médite pas sur le Rédempteur mourant dans les ténèbres du Vendredi Saint n’est qu’un sot. De même, celui qui pense à la gloire de Marie et ne médite pas sur la façon dont elle parvint à la gloire n’est qu’un sot. Le fruit de son sein, moi, le Christ, Verbe de Dieu, a déchiré son n’allez pas comprendre mes paroles de travers [1]. Je ne l’ai pas déchiré humainement. Elle était au-dessus des misères humaines; sur elle ne pesait pas la condamnation d’Ève, mais elle n’était pas au-dessus de la douleur. Et la grande douleur, douleur insigne, souveraine,absolue, est entrée en elle, avec la violence d’un météore qui fond du ciel, à l’instant même où elle connut l’extase de l’étreinte avec l’Esprit béatitude et la douleur ont serré le cœur de Marie en un seul nœud au moment de son fiat’ suprême et de ses noces très chastes. La béatitude et la douleur se fondirent en une seule chose, tout comme Marie ne faisait plus qu’un avec Dieu. Elle était appelée à une mission de rédemptrice et, dès le premier instant, la douleur surpassa la béatitude. Celle-ci vint à son à l’Esprit de sagesse, son esprit eut la révélation de l’avenir qui était réservé à sa créature et dès lors, il n’y eut plus, pour Marie, de joie au sens habituel de ce chaque heure qui passait, pendant que je me formais, puisant la vie à son sang de vierge-mère — et caché au fond de ses entrailles, j’avais d’inénarrables échanges d’amour avec ma Mère — un amour et une douleur sans pareil se levaient, telles les vagues d’une mer orageuse, dans le cœur de Marie et la fouettaient de leur cœur de ma Mère connut la morsure des épées de la douleur du moment où la Lumière, quittant le centre du Feu Unique et Trin, pénétra en elle, amorçant l’Incarnation de Dieu et la Rédemption de l’humanité; et cette morsure s’accrut, d’heure en heure, pendant la sainte gestation au cours de laquelle le sang divin s’élaborait d’une source de sang humain, le cœur du Fils battait au rythme du cœur de la Maman, la chair éternelle se formait avec la chair immaculée de la douleur fut plus grande au moment où je naquis pour être Lumière dans un monde de ténèbres. La béatitude de la mère qui embrasse son enfant se transforma chez Marie en la certitude de la Martyre qui sait que le martyre soit le fruit de tes Mais à ces entrailles qui méritaient toute la joie destinée à un Adam sans faute, j’ai dû donner toute la douleur. Et pour vous. Pour vous la peine d’affliger Joseph. Pour vous l’accouchement dans une telle désolation. Pour vous la prophétie de Siméon qui lui tourna la lame dans la plaie, renforçant et aiguisant la morsure de l’épée. Pour vous la fuite en terre étrangère, pour vous les anxiétés de toute une vie, pour vous les soucis de savoir que j’évangélisais des castes ennemies qui me persécutaient, pour vous l’effroi de la capture, le tourment des multiples tortures, l’agonie de mon agonie, la mort de ma été recueilli sur le sein qui m’avait porté avec une piété qui ne pouvait être plus grande; mais, en vérité, je vous dis que, entre mon cœur, privé de mouvement vital et lacéré par le coup de lance, et celui de la Mère très affligée qui me tenait sur ses genoux, il n’y avait aucune différence de vie et de mort. Le cœur de Marie et son sein avaient été tués comme moi, l’Innocent, avais été miracles reliés à la Rédemption, connus ou inconnus, manifestes pour tous ou révélés à quelques privilégiés, ajoutez celui-ci le fait que la vie a continué en Marie par œuvre de l’Éternel après que son cœur fut brisé par et pour le genre humain comme celui du Fils, son qui ne connaissez pas et ne voulez pas supporter la douleur, pouvez-vous imaginer quelle fut celle de la Bénie, de l’Immaculée, de la Sainte, de porter en elle un cœur lacéré, mort, abandonné, et de voir replié sur son sein un corps sans vie, martyrisé, ensanglanté, livide, lequel avait été le corps du Fils, la chair de sa chair, le sang de son sang, la vie de sa vie, l’amour de son esprit ?Vous m’avez eu parce que, trente-trois ans avant moi, Marie a accepté de boire le calice de l’amertume. Sur le bord de la coupe que j’ai bue dans des sueurs de sang, j’ai trouvé la saveur des lèvres de ma Mère, et ses pleurs amers étaient mélangés au fiel de mon sacrifice. Et, croyez-moi, la chose qui m’a coûté le plus fut de la faire souffrir, elle qui ne méritait pas la douleur. L’abandon du Père, la souffrance de ma Mère, la trahison de l’ami qui contenait toutes les trahisons futures, voilà les choses les plus atroces de mon atroce supplice de Rédempteur. Le coup de lance de Longin dans un organe désormais insensible à la douleur n’est rien en voudrais que, pour la douleur qui a déchiré ma Mère pour vous, vous lui donniez de l’amour. Un grand amour, très tendre, l’amour des enfants envers la plus parfaite de toutes les mères, la Mère qui n’a pas encore fini de souffrir, pleurant des larmes célestes sur les enfants de son amour, lesquels répudient la maison paternelle et se font les gardiens de bêtes immondes, les vices, au lieu de rester des enfants de roi, enfants de si l’on peut établir une norme, sachez que moi, Dieu, je n’estime pas me diminuer en aimant d’un amour infini, plein de vénération, ma Mère dont je vois la nature immaculée, œuvre du Père. Mais je me souviens aussi de sa vie martyrisée de Co-Rédemptrice sans laquelle je n’aurais pas été Homme parmi les humains et votre Rédempteur éternel.”[1] Comme cela pourrait se produire pour la dictée du 23 de la Vierge souriante et silencieuse Le 8 septembre 1943 Jésus dit “Ceci est pour toi seule. J’ai dit les autres choses pour tous, pour contenter le le monde est trop sourd et trop corrompu pour entendre parler de Marie. Il ne mérite pas ce toi, pour ta fête, je donne l’intuition secrète de la beauté de Marie, son sourire, son silence. Ces choses peuvent sembler de peu de poids. Elles ont une valeur a attiré des millions de créatures par ses armes suaves. Elle a évangélisé avant moi par son silence réservé et son indescriptible sourire. Il lui suffisait d’apparaître pour que s’apaisent les paroles aigres ou impures, pour que tombent les rancœurs et se calment les regard purifiait, son silence élevait, son sourire instruisait. Nazareth en resta longtemps parfumée après son départ. L’Église naissante se consolida en vertu de son silence et de son sourire plus éloquent que tous les mots, car à travers eux transparaissait le visage de Dieu et la vérité de sa ne te demande que de regarder et d’imiter ma Mère qui est aussi la tienne. Grandis en beauté spirituelle afin de lui ressembler, apprends d’elle le silence qui parle à Dieu et de Dieu, et le sourire qui enseigne la foi, la générosité, la toujours ma douce Mère pour la voir nettement à l’heure de la mort. Celui qui meurt en Marie possède Jésus Marie et reçois ma paix. Il ne faut rien d’autre pour être heureux.”Depuis hier, je vois la Vierge, et la beauté de cette vision souriante et silencieuse dépasse la capacité humaine de la le cadeau de Jésus pour ma mission du “petit Christ” aimer et transmettre la Parole Le 10 septembre 1943 L'ecclésiaste 12, 9-1409 Qohèleth ne fut pas seulement un sage, il a encore enseigné son savoir au peuple. Il a pesé, scruté et serti lui-même un grand nombre de Qohèleth a cherché et trouvé de belles sentences, il a écrit des mots justes et Les paroles des sages sont des aiguillons et les recueils de dictons, des clous bien plantés – présents d’un incomparable Prends garde, mon fils, à n’y rien ajouter. Écrire de nombreux livres est une tâche sans fin. À trop étudier, le corps s’ Pour conclure ces paroles, et tout bien considéré, crains Dieu et observe ses commandements. Tout est là pour l’ Dieu mettra en jugement toutes les actions, tout ce qui est caché, bon ou Jésus dit “Ma fille, lisons ensemble les derniers versets de l’Ecclésiaste. S’il était très sage, je suis la Sagesse de Dieu. Donc, infiniment supérieur à lui. Mais comme lui, j’instruis mon peuple. Je l’instruis depuis vingt siècles. J’ai commencé l’instruction par ma Parole et je l’ai continuée à travers la parole de mes serviteurs parmi les plus instruits de mon peuple, j’ai des disciples de prédilection pour qui le Maître devient plus qu’un maître, un ami, et avec les richesses d’un roi, leur ouvre les portes aux trésors des confidences et des révélations. Je prends par la main ces bien-aimés et je les amène avec moi dans le tréfonds des secrets et je les rends aptes à recevoir ma Parole, que je donne avec une ampleur réservée à mes nouveaux petit Jean, je te confie ma Parole. Transmets-la aux maîtres afin qu’ils s’en servent pour le bien des créatures. Elle vient du Pasteur Unique, du bon Pasteur qui a écrit la vérité de sa Parole avec son chef du monde ou un génie de la Terre confient à un fidèle un drapeau sacré ou un précieux secret, lorsqu’ils transmettent une consigne ou la formule d’une invention, avec quel respect sacré le fidèle les porte ou les transmet ! Mais je suis beaucoup plus qu’un chef et qu’un suis Dieu, Verbe et Sagesse du Père, votre Seigneur et Rédempteur. Ma Parole ne sert pas seulement à donner un bien terrestre, mais à donner le bien qui ne meurt pas, la vie éternelle. Il n’y a donc rien de plus sacré et de plus précieux que ma l’âme à genoux, et que ton amour soit l’encens qui purifie ton cœur qui la reçoit, ta main qui l’écrit, ta bouche qui la répète, ton œil qui la lit. Vis en ange et en prêtre, puisque je t’ai accordé d’entendre ce qu’entendent les anges et ce que répètent les prêtres. Et vis de plus en plus en victime, car c’est le sacrifice qui ouvre les oreilles de l’esprit, et c’est le sang qui lave la langue qui parle du Seigneur. En ces jours qui précèdent la fête de la Croix, j’ai un immense besoin d’âmes crucifiées. Fais-moi la charité de souffrir pour moi. Crois en ton Jésus ! Si je pouvais retourner sur la croix pour vous, comme j’y retournerais volontiers ! Mais je ne le peux pas. Et dans tout ce sang ennemi qu’avec une haine fratricide l’homme verse sur la terre, il manque mon Sang que je ne peux plus verser de la croix pour vous. Pendant que je transforme les espèces du pain et du vin en Corps et Sang du Christ sur les autels de la Terre — trop peu nombreux et trop peu entourés d’âmes qui prient vraiment — vous, mes chères petites victimes, chères fleurs de mon jardin, substituez-vous au Rédempteur et donnez-moi votre corps comme hostie de propitiation pour les péchés du monde. Ma fille, ne cherche rien de plus, je dis aussi avec l’Ecclésiaste. Et que veux-tu de plus que la mission d’être un petit Christ à la place de ton Jésus ? Et que désires-tu de plus grand que ma Parole ? Dieu est simple. Plus tu te rapprocheras de Dieu et plus tu deviendras simple. Tu sentiras toujours plus en toi l’ennui et la vanité de la science humaine, même de celle qui se tourne vers Dieu, mais qui est écrite par l’être humain. Plus Dieu te parlera et plus tu souffriras du son aigre et acerbe des paroles humaines comparé au ton très doux et surnaturel de ma Parole. Ne te fatigue pas avec beaucoup de doctrines, ne t’embarrasse pas de trop de règlements. Sois simple et libre. Qu’il n’y ait sur toi que le joug léger qui n’est pas un poids, mais une aile le mien. Il n’y a qu’une chose à faire pour venir à moi sans erreur celle que conseille l’Ecclésiaste, mais que je modifie comme suit Aime Dieu et observe ses commandements’. Je ne dis pas Crains’, je dis Aime’. L’amour est bien au-dessus de la crainte et il est plus sûr pour arriver à son but. La crainte est pour ceux qui sont encore loin de Dieu, pour ne pas s’égarer comme des œillères empêchent la bestialité enfermée en l’humain de prendre le dessus à chaque ombre chimérique qui tente de la séduire. Mais pour ceux qui sont déjà près de Dieu, surtout pour ceux qui sont dans les bras de Dieu, c’est l’amour qui doit servir de guide. Dieu portera en justice toutes vos actions. Mais il est naturel que les actions inspirées par l’amour ne soient jamais complètement mauvaises et telles qu’elles dégoûtent le Seigneur. Elles porteront le signe de vos limitations humaines, mais il sera recouvert de l’emblème resplendissant de l’amour qui annule les fautes et rend les actions des humains agréables à Dieu. Voilà, ma fille. Tandis que le monde est rempli d’un vacarme homicide et que la haine déborde des cœurs, nous deux qui nous aimons, dans le silence et la paix, parlons d’amour. Et rien ne réjouit ton Jésus autant que ces petites Béthanies où je suis le Maître qui se repose et qui enseigne à une Marie amoureuse qui le regarde et l’écoute avec tout son amour. Hier tu n’as pas pu écrire ce que je t’ai dicté ? Ça ne fait rien. Ne te fais pas de souci. La semence de ces paroles est en toi quand même. Quand je le voudrai, je la ferai germer. Et elle sera encore plus belle. Sois toujours bonne et patiente. Je te donne ma paix. Source édition par Anayel le Dim 29 Mai - 1800, édité 1 fois
J’avais faim, et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli. () Amen, je vous le dis : chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait. » Mt 25, 35-40). Des donateurs qui préfèrent rester anonymes Le compte Instagram de la
Le Deal du moment Cartes Pokémon Japon le display ... Voir le deal lGdA Taverne et Marché Taverne +6yann scottLagune [GARDIENS]Pipo Ze Poulp [ [.Q.]Vange10 participantsAuteurMessageVangeMaître des GardiensNombre de messages 401Localisation a l'armurerieDate d'inscription 15/09/2006Sujet Aiur. RP Sam 11 Nov - 1756 voici un topic ou le RP est obligatoire ! un peu d'imagination!les autres messages seront supprimésque vous soyez alliés ou non, visiteur, habitués...parlons ici d'Aiurparlons de nos empires, de nos ennemis, de nos alliés...parlons de nous, grands seigneurs impitoyables, et mesurons le pouvoir de nos noms...j'invite Lagune, fondateur de cette alliance, a ouvrir la danse, peut être en nous parlans d'Aiur... Andrew [.Q.]DiscretNombre de messages 24Age 33Date d'inscription 11/11/2006Sujet Re Aiur. RP Mar 14 Nov - 1418 Andrew Wiggin était assis dans l'immense salle, il attendais avec impatience que son ami Lagune vienne parler de son Dieu, Aiur... ValheruModérateur bavard et Seigneur DragonNombre de messages 1531Age 32Localisation Bah, sur le Forum bien sûr !Date d'inscription 23/04/2006Sujet Re Aiur. RP Mar 14 Nov - 1429 Valheru, le Seigneur Dragon arriva devant la taverne chevauchant son destrier ,Smaug, le dernier Dragon d'or, un fut de bière sur l'épaule et alla s'installé à côté d'un certain Andrew, inconnu à ses yeux remplie d'alcool. Il attendie désormais l'arrivé de le Seigneur DragonJe crois en un seul Dieu Dionysos Dieu de l'alcool et de la fête ! Et je me bats contre son ennemi Poseidon Dieu de l'eau. Pipo Ze Poulp [ IndigesteNombre de messages 485Localisation Paris, son paillasonDate d'inscription 11/05/2006Sujet Re Aiur. RP Mer 15 Nov - 1739 15 faisais quinze jours que le Poulpe dormait dans son bocal attitré, posté pres de l'entrée. Sans prevenir, le Poulpe rouvri les yeux et contempla les lieux... des inconnus etaient entrés et il n'avait pas été là pour les acceuillir. Il sonda les esprits en quete de reseignements un certain yannscott etait passé, et Andrew Wiggin etait toujours Wiggin... l'esprit omniscient du Poulpe explora la galaxie a la recherche de la planete d'origine... Andrew Wiggin... Golum !?Un invité de marque !Ca parlait aussi de dieux et de religion; Aiur, une chapelle dédiée a Babar, Lagune allait arriver, on allait donc entendre parler de Fan...Le Poulpe etait content toute cette foi, cette pieté innocente serai un jour detournée pour le seul benefice de Celui qui Poulpe aurait voulu sourire mais il n'avait pas de bouche pour cela, aussi se contenta t'il de faire des bulles dans son bocal.poulpe Lagune [GARDIENS]Gardien fondateur à la retraiteNombre de messages 1267Date d'inscription 23/10/2005Sujet Re Aiur. RP Sam 18 Nov - 2204 [HRP]Bon, me voilà avec le RP après une semaine de réflexion intense . Il est un peu court mais on fera avec .[/HRP]En train de se promener sur sa planète bien aimée Aiur, Lagune vit le temple BTB, il pensa un temple BTB ? C’est quoi cette histoire ?? Comme si je faisais des temples de FAN !?! Bon, je vais en faire construire une dizaine pour la peine. Je demanderais aux 9 gardiens de garder les 10 temples en priorité absolue… J’me demande comment ils s’en sortiront cette fois-ci… Vange, en sortant du temple s’adresse à Lagune Vange - Grand maître suprême !!Lagune - Bien aimé…- Grand maître suprême bien aimé !!- Oui, gardien ?- Racontez-nous une histoire ! Notre planète est en train de sombrer dans l’oubli, il arrive même à certains d’entre-nous de se demander ce qu’est Aiur et ne plus savoir pourquoi nous la gardons…- INCULTES !!!! Vous voulez réellement savoir comment on recycle un hérétik ? Je vais te prendre comme exemple twisted …- C’est que… Nous avions beaucoup bu et… Nous avons un peu oublié…- Soit ! Je vais vous raconter ce que nous défendons et pourquoi nous le défendons. Aiur est la terre de nos ancêtres. Avant que la décadence n’emporte notre civilisation, tout comme le reste de l’univers, nous étions les plus puissants de celui-ci bon, il y avait nos ennemis, les Terrans et Zergs qui avaient notre niveau. A cette époque là, les Protoss oui, c’est notre race, tu te souviens ?, les Terrans et les Zergs s’entretuaient dans une guerre sans merci... Notre race, bien que plus évoluée et plus ancienne que les autres, finit par se retrancher dans notre monde natal, Aiur. Notre peuple retrouva toute son ardeur au combat pour défendre ces terres qui les ont vu naître oui, un Protoss ça vie très longtemps, la preuve je suis encore là. Nous les avons finalement repoussés. On s’est battu pendant les quelques siècles qui ont suivi, jusqu’à ce que l’univers soit devenu ce qu’il est le grand n’importe quoi. J’ai donc décidé de recruter et de former les Gardiens d’Aiur lGdA pour les intimes. Ces Protoss sont et seront le dernier rempart de notre civilisation si on peu encore l’appeler comme cela.- Ah ouais, on est les plus forts !! Mais, pourquoi nous avoir quitté grand maître suprême adoré ?- Parce que si Aiur est notre Terre, FAN est notre Dieu, c’est lui le créateur des mondes, il était là bien avant les Grandes Guerres… - Ah d’accord… Mais comment en êtes-vous si sûr ?- Tu veux une démonstration ?- Heu… Non ça ira Bon, ton petit temple m’a donné une idée pour vous entraîner. Vous allez ériger 10 temples du Soleil Noir pour les hérétiks c'est le symbole de FAN, un peu partout sur Aiur et, toi et le reste des gardiens vous allez les garder… ValheruModérateur bavard et Seigneur DragonNombre de messages 1531Age 32Localisation Bah, sur le Forum bien sûr !Date d'inscription 23/04/2006Sujet Re Aiur. RP Dim 19 Nov - 235 Valheru sortat en titubant du bar et vit deux ombres informe devant lui. Après quelques minutes de reflexion et quelque bataille avec la soif d'alcool qui le démangeait encore, il reconnut les Seigneurs Vange et Lagune et écouta ce qu'ils se dirent. En écoutant son ancien maître Lagune, il repensat à la bataille des trois armées et se rappella que tous ses Dragons d'or avait péri pour défendre Aiur, il ne lui en restait qu'un, Smaug, qui restat à demi aveugle. Valheru aussi voulait raconté son histoire, mais.....l'alcool qui lui servait de sang l'empechait de parler convenablement et il alla se coucher en laissant un mot dans la taverne disant que lui aussi avait des choses à raconter !_________________Valheru, le Seigneur DragonJe crois en un seul Dieu Dionysos Dieu de l'alcool et de la fête ! Et je me bats contre son ennemi Poseidon Dieu de l'eau. ValheruModérateur bavard et Seigneur DragonNombre de messages 1531Age 32Localisation Bah, sur le Forum bien sûr !Date d'inscription 23/04/2006Sujet Re Aiur. RP Ven 24 Nov - 2055 Valheru entrat dans la salle, le silence ce fut, faut dire qu'il était imposant dans son armure en écailles de Dragon. Il commenca son discours _"En nous retranchant dans notre monde natal, Aiur, pour qu'on puisse protégé toute notre galaxie, tous les Seigneurs dont moi-même et leur armée se séparèrent. Je fut cantonné à protégé la façade Nord-Est de notre galaxie. Les Zergs arrivèrent 2 mois après moi. La bataille se déroula sur le planète Midkémia qui controlait une bonne partie des planètes aux alentours. La première semaine de bataille fut plutôt facile, nous commencions à les repoussés quand les problèmes arrivèrent. Une petite garnison de 100 hommes et de leur Dragons partirent chercher quelques renfort dans les planètes aux alentours pour q'une partie de mon armée puisse se reposé. Quand ils revinrent ils n'étaient plus que deux sur un seul Dragon en piteux états. Je demanda qu'on les soigne et quelques heures plus tard, ils me racontèrent qu'ils avaient été attaqué par une armée d'environ un milliers de chimères qui venaient secourir les Zergs, ils m'apprirent aussi qu'en fuyant le combat il avait aperçut plus loin, une autre armée et ils comprirent que ceux qui les avaient attaqués n'étais qu'une faible partie de l'armée adverse. Ces chimères n'étaient pas les montures normales des Zergs et je compris qu'ils avaient conclu un pacte avec les Mérovés. Une race très puissante qui dominait une bonne partie de l'Est de l'univers. J'envoya un espion en savoir plus, les Dragons étant plus rapides que les chimères il pourra facilement les distancé, à son retour il m'appris qu'environ chimères arrivaient à Midkémia dans 1 semaines. Ils restaient environ Zergs contre nous et nous n'étions que alors que nous étions au départ. En une semaine, nous avons réattaquez les Zergs et recrutés beaucoup de gens du peuple pour nous aidés. Au final nous serions contre environ nous étions donc mal partis. La vraie bataille commenca, nous étions plus rapide mais ils étaient plus puissants. Le jour la bataille fesait rage et les morts dans les deux camps tombaient par milliers tandis que la nuit, nos sorciers submergeaient les ennemis de sorts dévastateurs. Après plusieurs siècles de combats acharnés, l'aube de la dernière bataille arriva. A 250 contre nous étions mal partie. Moi et quatres autres sorciers, nous lançâmes un sort d'autodestruction, nos hommes savaient que c'étaient le seul moyen de protéger Midkémia, une autodestruction de toute la zone de combat. Ils savaient aussi qu'il y avait de faible chance de survie. Chacun pria, se protégea d'un bouclier magique qu'ils savaient inutile et attendirent. Le sort fut lancé je résistat assez longtemps pour entendre des bruits de douleurs autour de moi et je tomba inconscient. Je ne sait par quel miracle mais je me réveilla, blessé de partout, je lança un sort d'autoguérison qui fonctionnat peu à cause de ma faible force et de la douleur. Je me leva péniblement et retomba aussitôt par terre, un os cassé dans le pied et je m'étais démis l'épaule, je me releva cette fois en m'aidant d'une lance ennemie et marchat vers le Sud sans raison après avoir fait quelque pas je reconnus Smaug. Il avait été mon ami déjà tout petit, nous avons grandis ensemble, combattus ensemble. Il avait été mon Dragon, mon ami, mon frère et il était couché, là, un quart de ses écailles étaient tombé à cause de l'autodestruction, les autres étaient brûlé, déchiré, cassés. Je réfléchissait à ce que j'allais faire quand je vis une fiolle de guérison intact sur le sol, la chance me souriait. Je la but, je finis de me guérir par un sort d'autoguérison et cherchait par où allé quand je le ventre de Smaug de leva, je crus que mon esprit hallucinait et en me concentrant et essayat de capté les auras autour de moi, je n'en sentit qu'une, celle de Smaug, il était vivant ! Je mis une semaine à le guérir totalement, un Dragon était plus dur à guérir qu'un humain. Il ne lui restait qu'une blessure inguérrissable, il était désormais aveugle d'un oeil. Voilà, mes amis l'histoire de la Bataille des Trois Armées qui se déroulat au Nord-Est de la galaxie d'Aiur entre les Protoss et l'union des Zergs et des Mérovés. Si vous avez des questions, je suis à le Seigneur DragonJe crois en un seul Dieu Dionysos Dieu de l'alcool et de la fête ! Et je me bats contre son ennemi Poseidon Dieu de l'eau. yann scottDiscretNombre de messages 39Date d'inscription 04/11/2006Sujet Re Aiur. RP Ven 8 Déc - 846 *arrivee de Yann Scott dans la taverne*-Mmmh ?toisant l assemblee , il replia son fidele fusil d assaut G36 un modele de l ancien temps , une epoque ou une terre portait le nom de germanie , ou allemagne pour les moins puristes dans son dos et alla s installer dans un coin pres de la cheminee . "-tiens , un poulpe" pensa t il apres avoir franchi le seuil de l entree . il s asseya , fourbu , cherchant du regard une jolie demoiselle pour lui tenir compagnie . il les aimait de taille moyenne , d un blond naturel , avec des yeux clairs ... mais visiblement , ce n etait pas la , la specialite de la taverne . il hela donc la serveuse . "un scotch s il vous plait . sec" puis replongea dans ses pensees . "ai je bien pense a verouiller la rampe d acces de mon tribuno-cruiser ? mmmh"a cet instant , une voix le sortit de ses reflexions . un etre nomme valheru semble t il , comptait des histoires sur la terre d Aiur ."je connais cela"se dit il ....En effet , Yann se souvient des terribles combat que son peuple , le terran dominion avait mene contre l infamie zerg . il se souvient du general Duke . son nom est reference dans tous les manuels d histoire .Il ecouta donc ce recit epique , interrompu en pleine attention par la serveuse "votre scotch" la remerciant du regard , il remarqua sa subtile beaute , meme si elle ne correspondait pas a ce qu il aime generalement , il n y fut pas insensible . il remit donc au gout du jour une tres ancienne coutume de soldat . en effet dans l ancien temps , lorsqu a l etranger , un soldat tombait sous le charme d une jeune fille , il descratchait le drapeau hornant le haut de sa manche droite symbole d appartenance a une "nation" et l offrait a la fille .Il descratcha donc le symbole de son unite . un croiseur aux couleurs de l empire sur fond de planete bleutee , sa planete d origine , avec l inscription FRR /Force de Reaction Rapide . l unite d intervention la plus en vue de l empire . puis , le tendit a la serveuse qui rougit , le glissa dans sa poche , et deposa un pieux baiser sur les levres du marine .apres 1 minute dans les nuages , il reprit l ecoute du recit de valheru , tout en degustant son scotch qui avait le gout des levres de la jeune fille .*hors RP , wow , je pensais pas faire si long , pour une premiere fois , c est pas mal* ValheruModérateur bavard et Seigneur DragonNombre de messages 1531Age 32Localisation Bah, sur le Forum bien sûr !Date d'inscription 23/04/2006Sujet Re Aiur. RP Dim 17 Déc - 101 Après avoir fini son discourt, le Seigneur Dragon, Valheru, s'inclina devant l'assemblée pour être acclamé. Le Seigneur Vange s'approcha du micro et commenca à parlé de ses propres souvenir ....._________________Valheru, le Seigneur DragonJe crois en un seul Dieu Dionysos Dieu de l'alcool et de la fête ! Et je me bats contre son ennemi Poseidon Dieu de l'eau. yann scottDiscretNombre de messages 39Date d'inscription 04/11/2006Sujet Re Aiur. RP Mer 20 Déc - 1847 Le signeur Yann Scott etait toujours a sa table , se delectant de son scotch .il attendait une autre histoire . visblement le seigneur Vange se fesait attendre . Pour patienter , il sortit son petit carnet et commenca l inventaire des cibles a raider pour ce soir ..."mmmh , tellement de cibles et mes ordinateurs qui commencent a se faire vieux . malheur . il est temps de les remplacer."La serveuse s approcha a nouveau . "je vous sers autre chose" ? yann fouilla dans sa poche pour savoir s il avait assez d argent sur lui . Malheur , il avait oublie de passer au credit intergalacticole pour changer son argent . il n avait sur lui que de la monnaie en vigueur sur asa planete .-"heuuuu , acceptez vous les morganiens ?-non monsieur . mais si vous avez un peu de cristal sur vous , cela ira"par chance , yann en avait sur lui . il savait qu en ces temps de penurie de cristal , en avoir sur soi permettait de faciliter le commerce . Il sortit donc un fragment de sa poche et le donna a la serveuse qui le prit avec un grand sourire .-"avec ca , vous pouvez boire toute la nuit . je vous offre une chambre si vous le desirez"-pourquoi pas , cela me changera de mon tribuno bien , je vais chercher votre badge pour la chambre-merci mademoiselle . serait il possible d avoir un sandwich s il vous plait -bien sur .et elle disparu . ce ui permit yann de se replonger dans ses projets pour ses flottes , en attendant que le seigneur Vanfge prenne la parole ... ValheruModérateur bavard et Seigneur DragonNombre de messages 1531Age 32Localisation Bah, sur le Forum bien sûr !Date d'inscription 23/04/2006Sujet Re Aiur. RP Mer 20 Déc - 2255 Le Seigneur Dragon laissa le micro à VANGE, QUI SE FAISAIT ATTENDRE !!!!!!!!! c'est d'ailleurs lui qui voulait faire ce RPIl alla s'installé à côté du Seigneur Yann Scott mais n'engagea pas la conversation. Une serveuse demanda au barman de lui apporté un fut de bière, malgré qu'elle soit nouvelle, elle savait bien qu'il n'y avait pas besoin de prendre la commande, la réputation de buveur de bière précédait déjà le Seigneur Dragon. Valheru offra de généreux pour-boire aux porteurs et à la serveuse et commança à remplir une chope. La serveuse tenta de lui faire des avances, en vain. La réputation de Valheru disait aussi que peu de filles avait réussi à envahir son coeur. La serveuse rebroussa chemin, Valheru fini sa chope et s'en servi une autre, Yann Scott croquat dans son sandwich, le Poulp cracha un jet d'encre et tous attendirent VANGE !!!!!_________________Valheru, le Seigneur DragonJe crois en un seul Dieu Dionysos Dieu de l'alcool et de la fête ! Et je me bats contre son ennemi Poseidon Dieu de l'eau. Master of puppetsBavardNombre de messages 213Age 35Localisation Sur une autre sphère qu'on apelle la LuneDate d'inscription 21/01/2007Sujet Re Aiur. RP Dim 21 Jan - 1630 Alors que la Taverne était silencieuse si ce n'est les quelques conversations qui se faisaient a voix basse car tous attendaient l'arrivé de Vange et de son récit. La Taverne marchait bien a cet heure la et l'attente de ce seigneur poussaient les clients a commander pour rendre l'attente plus facil. Soudain le porte s'ouvra une lourde porte qui grincaient fortement du a la vieillesse d'une porte qui aurait méritée une longue retraite. Mais alors que cette porte s'ouvrit et que tous levèrent la tête en espérant voir le seigneur tant attendu ils ne virent rien mais sentirent un courant d'air frais plutot surprenant a cause de la chaleur de la nuit. La porte s'ouvrit et se ferma mais personne ne rentra, soudain une voix se fit entendreBonjour a vous voix fit sursauter l'assemblée a qui appartenait-elle? Beaucoup regardèrent leur verres vides sur la table devant eux mais en voyant les autres faire de même ils comprirent que cette voix ne provenait pas de l'état second dans lequel ils avaient été ne pouvez me voir mais certains d'entre vous peuvent me sentir et savent a qui ils ont a effet Valheru avait senti une aura qu'il avait bien connu par le passé l'homme invisible qui leur adressait la parole avait fait partit des armées protosse il avait même combattu pour lui durant la bataille des Trois armées ce n'était autres qu'un Templier Noir. Cependant son aura bien que similaire n'était pas la même qu'autres foi. De même que Valheru Pipo Ze Poulp avait capté la présence de cet inconnu il tenta de sonder son esprit mais une barrière s'imposa devant le Templier Noir devint visible devant tous il se tenait droit d'une taille impressionante, ses habits laissaient paraitre des muscles fin mais ferme. Il avait de longs cheveux noirs qui lui cachaient la moitié du visage, il portait un habit moulant noir qui lui couvrais tout le corps ainsi qu'une cape rouge qui descendait jusqu'a mi-mollet. Il portait a sa ceinture une lame éfilée qui parraissait presque souple. Son visage était fin mais ses traits trahissaient son moi Seigneurs car je vais vous compter mon histoire depuis cette terrible guerre et le sort lancé par nos Magiciens qui modifia toute mon éxistence jusqu'au plus profond de mon être et qui fit de moi ce que je suis mon histoire. Alors que l'armée Zerg se préparaient a l'attaque les Protosse conscient du peu de chance de survie se préparèrent pour la dernière bataille. Nous n'avions pas peur malgré tout, j'étais a ce moment sous les ordres de Zeratul chef de la cohorte des Templiers Noirs. Au petit matin les Zergs fondirent sur nous. Les Templiers Noirs avaient pour mission de contourner les forces Zerg pour les attaquer a revers afin de pouvoir détruire leurs magiciens afin qu'il ne puisse contrecarrer le sort de nos Magiciens. Immediatement apré la chute du dernier Embrouilleur Zerg nous sentirent les Energies converger vers Valheru et ses magiciens. Je me prépara a mourir, a l'instar des autres je n'éleva pas de bouclier car je savais cela inutil j'embrassais mon destin fier de mourir pour la survie de ma race. Je me mis a prier et lorsque la vague destructrice arriva j'étais prêt; elle m'emporta. C'est alors qu'arriva quelque chose que je savais être impossible mais qui arriva malgré tout! Je me réveillais! Je n'avais pas bougé mais quelque chose n'était pas normal. Autour de moi le sol était comme s'il n'y avait jamais eu de guerre aucun corps ne jonchait le sol je voulu retourner ver le temple mais il n'était plus la. Perdu je ne savais que faire alors je me mis a marcher a courir sans but et plus le temps passé plus je sombrais dans la démence. Au bout de plusieur mois de marche dans la solitude la plus complète j'arriva a un village mais ses habitants n'étaient ni Terran ni Zerg ni Protoss. C'est alors que je compris j'avais par je ne sais quel moyen transporté dans une autre dimension une réalité alternative un monde vivant en parallèle de celui que j'avais connu. Le peuple habitant le village me prirent au début pour un envoyé celeste et il me fallut longtemps pour comprendre leur langue et leur faire accepter que je n'avais rien de divin. Je m'immergea alors dans ce nouveau Monde pour en comprendre son fonctionnement. J'appris que les trois races que j'avais connu avaient été détruite pas une nouvelle race qui avait été crée par les zergs mais qu'ils ne purent controller. Cette race n'avait pas de nom car les rescapés des guerres ne pouvaient se résoudre a donner un nom a cette race qui était avide de sang et de guerre désirant être seul maitre de cette univers. Etant conscient de ne pouvoir peut être jamais rentré chez moi je décida d'élever mes capacités je m'entrainais éleva mes capacités physique et intellectuel petit a petit les habitants du village voyant mes forces décuplés voulurent suivre mon entrainement en voyant en moi l'espoir de reprendre ce qui leur avait été volé. Au bout de longues années d'entrainement intensif sans aucun repos je décida qu'il était temps de partir en quête d'autres rescapés de l'ancien temps. Les membres du village qui n'avaient été que de simple paysans s'étaient transformé en véritable guerrier n'ayant qu'un seul objectif prendre leur revanche sur le passé. Ils m'élirent alors comme leur chef c'est ainsi que je devin le Maitre des Poupées ainsi se nommé leur village. Ces soldats que j'avais formés étaient capable de courir sur des milliers de kilomètre d'autres avaient développés des capacités mentales qui leurs permettaient de creer des barriere magnétique indestructibles ils étaients devenus maitres dans le déplacement silencieux ils ne connaissaient plus la faim la soif le seul sentiment qui les habitaient était l'entraide et le désir de revanche. Force et Honneur était leur devise. Je partis donc a la tête de quelques 300 guerriers et une centaine de Mages. Nous parcourumes les univers sur les quelques vaisseaux que nous avions pu construire grâce a la combinaison de nos connaissance. Long fut notre périple mais petit nous trouvâmes des traces de rescapés sur une planète trés éloigné. Alors que nous cherchions sur cette planète et que nous commencions a désespérer un homme sortit de terre et nous aprit que cette planète était l'abris de millions de rescapés qui avaient creer sous terre des villes, tout un empire s'était développé en dehors du rayonnement de pouvoir de ceux que je baptisa les Béhémoths. Nous furent accueuilli comme des sauveurs. Tout l'empire vit en nous aprés quelques démonstrations de nos capacités une chance infime mais une chance cependant de chasser les Béhémoths. A partir de ce jour nous commencâmes a organiser des bataillons des milices des armées. Finalement aprés maintes batailles contre les Béhémoths nous parvinrent jusqu'a leur antre maudites ou nous engagèrent le combat pendant des siècles et des siècles certains hommes ayant engagé le combat a leur majorité mourèrent de vieillesse pendant cette guerre mais le courage de cette armée fut sans faille. Finalement a l'aide d'une centaine de Télépath que j'avais moi même entrainé pendant de longues années nous furent capable de controller ces Bètes et de remporter la victoire. Il nous fallut malgré tout encore des siècles pour maitriser totalement les Béhémoths que nous avons réussi a assujétir. Le Templier Noir fit alors une pause sa voix laissait paraitre que malgré la victoire qu'il avait offerte au peuple des poupées il avait durement souffert de l'éloignement de son peuple mais également des souffrances qu'il avait pu subir pendant ses longues années de guerreAinsi les Poupées ont pu récupéré ce qui leur appartenait. Ma tache était terminé et je décidé de me retirer je retourna au village qui m'avait accueilli mais qui était désert depuis notre départ des siècles au paravant. Quelque temps apré mon retour je vis arrivé ceux qui étaient parti de ce même village avec moi. Sur les 400 soldats qui m'avaient accompagné environ 250 avaient survécus ils avaient apris a surmonter l'épreuve du temps la maladie ne pouvait les atteindre ils étaient endurcis ses soldats avaient été la force majeur des défenses de l'empire on n'avait connu combattant plus loyaux et forts. Ils avaient a eux tout seuls été capable de vaincre des millers de béhémoths ils avaient acqui la sagesse l'honneur les voirs faisait monter en moi un sentiment de fierté je les aimais et dans mon isolement j'étais heureux de les voir, je n'aurais pu accepter autre compagnie que ceux qui m'avaient épaulés pendant tout ce temps. C'est alors qu'ils m'annoncèrent qu'ils pensaient pouvoir me renvoyer dans mon monde. Mon esprit fut troublé! Es que je voulais rentrer chez moi? Mais existait-il encore un chez moi? Qu'était-il devenu de ceux que j'avais connu? Au bout de quelques instants de réflexion je savais que je devais repartir je le voulais ce monde n'était pas le mien je ne lui apartenais pas, l'heure était venu!!!Les Magiciens que j'avais formés m'expliquèrent alors le processus a ce moment je pris conscience reellement de leur capacité je ne compris pas tout mais ils m'expliquèrent qu'une fenêtre avait du être ouverte pour permettre le transfert initial ainsi il fallait retourner a cette fenêtre pour la rouvrir en sen inverse. Nous retournâmes donc a mon points d'arrivée!Alors que je me mis en place le reste de mon armée se mit a mes cotés je compris que s'ils étaient revenus et mavaient proposé de rentrer chez moi c'est qu'ils avaient l'intention de venir avec moi. Je ne dis rien je savais que peut-être qu'un jour ils le regretteraient mais toute discussion aurait été inutil et je le savais ils n'avaient plus rien qui les retenaient dans ce monde ils m'auraient suivi en enfer si j'avais eu une raison d'y commencâmes alors l'incantation...A la fin de l'incantation nous nous sentîmes partir. Je retrouva alors le lieu ou tout avait commencé. Mes sens surdéveloppés confirmèrent ceci je pouvais sentir les âmes tourmentés de ceux qui avaient péris sur ce champ de bataille qui était souillé du sang impur des revenant je fus forcé de constater que rien n'était plus comme avant les protoss avaient été décimmé j'étais perdu, que faire? Les mois passèrent puis nous commencèrent a reconstruire un nouvelle empire car dans le monde qui éxistait aujourd'hui c'était notre seul chance de survivre face aux hordes de seigneurs prêt a détruire touts ceux qu'ils croisaient de moins développés que eux. Les capacités physique de la poignée de soldats que je possédais me permis de reconstruire a une grande vitesse nous avions embarqué avec nous des béhémoths car ces bètes possédaient une force hors du commun une fois ma base construite et mon empire colonisé je délégua mes hommes pour la colonisation de nouvelles pris connaissance une fois ma puissance retrouvé et mon empire reconstruit des différentes alliance composant le monde d'aujourdhui et intégra la BCCN et donc la triforce. Quel fut ma surprise en sentant, alors que je survolais la planète mère de l'alliance la présence d'une aura Protoss que je reconnus comme celle du seigneur Valheru. Ainsi je trouva opportun de me présenter a lui et a tous ceux présent ici même dans cette se termine mon récit Seigneurs j'espère qu'il vous a plus car je vous ai compté l'histoire de ma vie. Master of puppetsBavardNombre de messages 213Age 35Localisation Sur une autre sphère qu'on apelle la LuneDate d'inscription 21/01/2007Sujet Re Aiur. RP Ven 9 Fév - 2304 Et bien Valheru je ne pensais pas que mon arrivé te clouerais la bouche d'une telle manière...La voix du Templier avait résonné parmis l'assemblée et bien que ne l'entendant pas tout le monde sentait sa présence et sentait ses paroles a l'interieur meme de son esprit Pipo Ze Poulp [ IndigesteNombre de messages 485Localisation Paris, son paillasonDate d'inscription 11/05/2006Sujet Re Aiur. RP Ven 9 Fév - 2330 L'apres midi était froid et sec dans la région autour de la résidence hivernale de Pipo Ze Poulp. Un vent sec s'etait levé. Un temps superbe, serein, tres rare sur cette planete, d'ordinaire si moite. Un temps propice au receuillement et a la reflexion au sein d'une nature au maitre était là, sur la terasse comtemplant le paysage, le lac et les cimes de l'autre maitre ne pensait a rien. Oh, rarement un exploit...Un messager brisa le charme de l'instant "Maitre, maitre". Il s'avanca, fronça un sourcil, agita la main devant les yeux du maitre, haussa les épaules, sorti son mouchoir pour essuyer la bave aux commissures des levres et reparti. L'annonce attendrai...Ce n'est qu'avec le soleil couchant que Pipo sorti de son néant spirituel. uniquement possible grace a l'ingestion de bonbons roses, disponibles sur ordonance; Infirmerie La Meule d'Or, derriere le CirqueLes rayons éclarait d'une lumière rouge la scène, comme un augure des temps qui s'annoncaient... Oui ?- Une annonce Annoncez, annoncez... La version courte, s'il vous Les Lions déclarent la guerre à la FAIM, Juste à l'heure de l'avant-souper ? C'est inconvenant... D'autres nouvelles ?- Les LCDO et leur wing se tiennent aux cotés des Non, je voulais dire d'autres nouvelles de cette importance ?- Le Seigneur Zovirax est malade et ne pourra ne joindre comme prévu au Terribles nouvelles en vérité ! Souhaitez lui un prompt rétablissement... Et finissez la lettre en lui souhaitant de trouver l'inspiration, cela le touchera. Vous pouvez messager ne bouga Quoi encore ?- Ben, chef, qu'est ce qu'on fait ?- Un repas Pardon ?- Qu'est ce qu'on fait, un repas frugal, il faut donner l'exemple en ces temps se mit en communication avec le deuxieme personnage de l' Chef. Ce soir, Une endive, du roti, des légumes. Oui, "famélique". Non, je n'en mourrai pas. Oui, un dessert tout de meme, je fais pas la greve de la faim non repas achevé, il était donc l'heure du café. Personne ne s'avisa de déranger le maitre des lieux pendant qu'il attendait que son café soit "refroidu". Pour patienter, Pipo brancha les holo-infos. Il tomba en plein reportage. Citation "...ommes en direct de la salle des fetes du séant HRP, je viens de le voir, ce lapsus est tellement criant de sincérité que j'ai décidé de le conserver tel quel. Maintenant, vous savez tous ce que je fais avec le Sénat Universel, je m'assoie dessus ! Universel pour la grande remise des prix des personnages du mois. Et tout de suite, la cérémonie.*clap clap clap* - Bravo ! - *clap clap clap*A vous Mister S, il a été décidé de vous attribuer la médaille du déshonneur de Pangloss; Bombez le torse et puissez vous la porter fierement en toutes outre, cette decoration donne droit a une tournée gratuite chez Barney's clap clap* - Bravo ! - *clap clap clap*A vous Ange, par l'attitude exemplaire dont vous avez fait preuve et par les vertus qui sont accordées à la *Dynastie Bourbonno-Bâfrolingienne* par St Jack Daniels et Ste Marie Brizzard, nous vous dessernons la médaille de la bravoure, dite de Léonidas le plus, vous bénéficiez d'un accès privilégié au Saint des Saint sur presentation d'une piece d'identité, et sous reserve que vous soyez majeur, Maitresse Ségolange sera peut etre disposée a vous donner des cours de maintien, de savoir vivre et d' HRP -C'est absolument pas des conneries, ce ministère existe bel et bien les cours ou l'on apprends à louer l'amour sous les coups de fouets de la Douce Ségolange sont une faveur dont seuls jouissent tous les sens du terme les plus grands du royaume. "Oh! Oui! Le coussin, encore"Mais attention, seuls les grands du royaume ayant été soit tres sage, soit de vilains garçons peuvent y RP -*clap clap clap* - Bravo ! Oh oui, bravo ! - *clap clap clap*Messieurs, vous etes tous les deux décorés des plus hautes distinctions du Saint Empire Boulimik, puisse ces décorations orner vos signatures respectives.*clap clap clap* - Bravo ! Hip, hip, hip, HOURRA ! - *clap clap clap*Et maintenant messieurs, veuillez posez pour la postérité devant l'appareil de Rackhom, notre fouille-merde en bas de soie.*clap clap clap* - Oooh, ne me touchez pas. Je risquerai d'attraper quelque chooose. - *clap clap clap* Le Poulpe changea de chaine... Oh! La deuxieme partie du reportage sur le Royaume de Gégu; la soirée promettait d'etre interessante. C'était sans compter sur l'insistance du messager, qui choisit ce moment pour revenir à la charge "Chef, qu'est ce qu'on fait ?".- Encore là toi ?- J'attends vos Faites moi porter un citron, du café moulu, une cuillère et un Mais...- Toujours là ? J'ai une montagne de se dirigea vers la bibliotheque pour en sortir un livre, "L'art de la guerre, des origines à nos jours". Notre pauvre messager s'exécuta, visiblement soliloquait désormais "C'est vrai, tout de meme !... Il faut etre seul pour étudier des matières comme celle-ci... Au travail !"Il sorti une bouteille de Vladinskaya du livre, ainsi qu'un verre à soirée allait etre studieuse... Professionel, il quémanda un rapport classé confidentiel pour connaitre toutes les positions des domaines Lions et LCDO. "J'ai plein de nouveaux amis..." et il s'enfila un nouveau un homme changé au matin. En fait, plutot qu'un homme, c'était désormais un déchet. Et c'est son intendant qui découvrit le drame. Il avait les yeux dans le vague, rougis et gonflé. Sur le bureau tronait les reliefs de ses excès des cadavres de vodka, de Jack Daniel's et de Despé un coup whisky, un coup despé... meurtrier ! [HRP] Langue de Pute "J'ai des témoins!" Il jete un coup d'oeil par dessus son épaule, se leche la levre et poursuis "Je cite..." [RP], il y avait également un plein cendrier d'américaines, des reliques d'un passé révolu...- Euh... Maitre, vous pleurez ?- Oui, je pleure sur l'homme que j'ai été... et sur celui que je risque de devenir...- Maitre, que faisons nous ? Vous seul pouvez decider...- On ne fait rien !- Pardon ?- On ne change pas nos habitudes. Je reste à la barre...L'intendant s'inclina et déclara "Une décision courageuse, si vous me permettez." Il s' Une décision à la con, oui !Et il éclata d'un rire jaune. Si ces administrés savaient qu'il avait décidé ça aux dés...-Bien voila, je ne mets pas en MV. Et oui, je l'ai vraiment joué aux dés. Et j'espere avoir fait rire et voyager mes je profite de la tribune que m'offre cette guerre pour passer quelques messages personnels. on se console comme on peut... Ange tout d'abord, car il tient un des premiers roles dans tout Ange, j'ai la pretention de penser que tu me connais Aïe, mes chevilles !. Moi je ne te connais pas, sauf par ce que tu renvois de une chose à te demander, et je te le demande sincèrement...A la nous avons des ambassades je voudrais que tu postes ta déclaration de guerre dedans. Je ne te demande pas un RP, juste une petite attention. C'est important pour une derniere chose a rajouter... Merci d'avoir fait un effort sur l'orthographe de - j'y suis meme, je ne le fait pas. C'est mal, je suis un méchant garçon mais ca me donne le droit d'aller au coin. J'arrive Maitresse Stouff ou Paradigme maintenantT'excuse pas; je sais que ton changement d'ally était prévu depuis que tu as franchir le million de points. Et je sais en l'honneur de qui tu agis. Crevette tu verras, ca ira mieux apres. A nos alliésLa menace psychologique que fait peser Ange a fonctionné. La preuve, j'ai du en menacer certains de nos alliés de leur déclarer la guerre et de les mipper pour qu'ils se tiennent à l'écart. Ce qui par conséquent, en aurai fait, de fait, les alliés des Lions... tordu ? oui...C'est à la fois la tete et le coeur qui parle quand je dis que je ne veux pas que vous soyez entrainé dans cet absurdité...Je comprends les autres qui voudront se mettre en MV lorsqu'ils découvriront la situation; et meme, je les y encouragent. A mes compagnons de lutteJ'ai adressé à quelqu'uns d'entre vous des messages, par divers me snobez pas. Le vent est froid et sec dans les parages... Au reste des posteursJ'ai une question qui me brule, elle s'adresse a tout le monde sur ce supportez vous, comment faites vous, pour réussir à flooder autant sur un forum qui raaaaaaaaaaaame ?C'est vrai, c'est une épreuve de force. Je brosse le sa machine, l'homme guette, il guette le moindre signe que lui renvoie les lumières de son ecran... il attend, anxieux... et soudain, un signe !Oh !...L'homme vérifie l'adresse qu'il a rentré. pourquoi donc tombe t'il sur les pages blanches ? KrichnoukRégent d'AiurNombre de messages 490Age 34Localisation 95Date d'inscription 26/10/2006Sujet Re Aiur. RP Lun 12 Fév - 1843 L'immense salle de réception d'Aiur était comble, elle reflétait bien la puissance passée et, tous les invités l'espéraient, la puissance future de l'alliance. Elle résonnait du discours puissant du maître de l'alliance. Vange, maître des gardiens d'Aiur était en train d'annoncer qu'il allait partir à travers la galaxie afin de découvrir ce que les autres peuples auraient à lui apprendre pour rendre sa puissance à l'alliance. En face de lui, devant le luxueux pupitre, la salle était divisée en 3 partie égales à sa gauche, la délégation des BCCN, à sa droite celle de la FAIM et en face de lui, les membres de la Lgda. La conclusion de son discours fut simple est claire "… En définitive, mes chers alliés et amis, je vous demande qui serait capable à vos yeux d'assurer la Régence de notre alliance, en attendant mon retour? J'ais déjà reçu la proposition de Krichnouk qui se propose d'assumer cette lourde responsabilité, ainsi que celle d'animer notre lieu de discussions et de retrouvailles. Je vous demande de debattre de sa avant de passer au vote."Un leger murmure suivit ses paroles, et un bras se leva, au sein des membres de la Lgda "Maître, ne trouvez vous pas que ce Krichnouk est bien inexpérimenté pour soutenir de telles responsabilités?" Des chuchotements approbateurs circulaient parmi les rangs… "Je demande la parole" Edi, membre de la délégation des BCCN avait une idée. "Je vous en prie, faites" Edi rajusta son micro et les traducteurs instantanés se mirent en route " Je suis d'accord avec le fait que Krichnouk soit trop jeune pour assumer seul de telles charges, aussi je propose qu'il prenne en charge la Régence, mais de laisser la gestion du palais à Valheru " Cette proposition parut plaire à l'assemblée, qui ne manifesta aucune objection quand aux termes du vote."Très bien, les termes du vote sont acceptés, ils ne vous reste plus qu'à voter" ABIGORBavardNombre de messages 155Date d'inscription 08/02/2007Sujet Re Aiur. RP Lun 12 Fév - 2201 En l'an de grâce 2100, au large la planete Terre apres des dizaines de tentatives, l'imble Seigneur, digne décendants des démons supérieur des dynasties fondé depuis les temps nouveau ABIGOR réssucita ; sortit de son monde ancestrale et bien décidé à reprendre ça place. Celle qui lui fu attribué pendant longtemps celle de Commandant des LX Légions InfernalesApres un dur reveil le Seigneur se leva et rejoind la fenêtre du vaisseau mère qui vole pour des "Mais quel est cette magie...que faisont nous dans le ciel et où est mon fier destrier noir?"Officier "Majesté, vous avez dormis bien des siecles, les guerres ont évolués et nos Légions d'Infanteries sont devenu obsoléte ; ne faisant pas le poids à terre contre ces machines, nous nous sommes adapté en attendant votre retour. "Abigor "Sage decision Officier. De quel corps venez vous ?"Officier "Centurion de la Premiere Legion Infernale" Abigor "bien vous serez désormais mon conseillé"Officier "c'est un trop grand honneur Majesté. je ne peux accepter "Abigor, frappant le pont supérieur du Vaisseau Amiral avec son sceptre fis trembler tout le Vaisseau Abigor "oseriez vous désobéir ce n'est pas parce que je ne suis plus tout à fait au faite que je suis moins cruel" Officier " A vos ordres Majesté. Mais vous aurez tout le loisir d'apprendre quand nous serons arrivée à Ilfeheim "Abigor "me reconduiriez vous à mon ancien fief ? "Officier "Exactement Majesté depuis le temps que la populations attend ça. "Abigor "ce ne sont que des simples mortel enfin je verais de quoi ils sont capable. "Durant de longues journée l'Officier apprit tout sa science des combats à sa Majesté. Quand aux bout de 2 Semaines la Flotte arriva à destination sur cette terre qui était sombre d'apparance mais dont le sol est encor plus noir que le charbon et les rivieres ne sont que torrent de "hum ça sent bon je suis enfin de retour chez moi. Soldats quitté vos vaisseaux en avant marche. Que Les Gardes d'Ilfeheim garde ma flotte."L'armée des 360000 Hommes se dirigea vers la grande porte qui était la seul entré possible pour acceder à cette magnifique ville. La porte était bordé d'or ornée du sceau d'Abigor que seul lui pouvait "Messieurs nous rentrons enfin chez nous " Abigor prit son sceptre l'insera dans la serrure et la gigantesque porte s'ouvrit et un cheval arriva au "Ecarlate te voilà mon brave" Le Seigneur grimpa sur sa monture et pris la tete de l'armée et dit "Légionnaires en avant retournons chez nous."Les Légionnaires se mirent machinalement en marche certes leurs équiment avait évolué mais leurs discipline était Corps remonta l'allé principal sans croisé aucune âmes vivante du moins...Officier "c'est tres etrange nous avions prévenue de notre arrivée il y a déjà 2semaines" Abigor "Soldat serrez les rangs "Quand surgit l'Administrateur de la ville Légat et sa garnison de 1000000 Hommes en " Que venez vous faire ici vil Démons, nous n'accepterons aucun ordre d'un chef inexistant désormais Ilfeheim est mienne et ceux depuis des générations. De plus nous sommes 3 fois plus nombreux et mieux armée que vous"Abigor eclatant de rire "3 fois plus nombreux. Vous allez me rendre sur le champs mes terres et mon fief avant que je ne m'enerve et vous en profiterez pour dire à votre Millions d'hommes de déposer les armes avant qu'il ne comprenent rien à ce qu'ils meurent betement."Légat "Soldats n'obéissez pas et souvenez vous de notre derniere bataille..." Les Soldats vinrent se placer derrieres le Légat et mirent fusils à l'épaules. Abigor "Vous voulez une bataille je vous la livrerais venez donc à l'exterieur de ma Cité misérables mortels" Légat "Cela me va"Les armées sortirent et se mirent en Légionnaires armées de leurs simple glaive et bouclier se mirent en quinquonce autour des batteries de gauss le même temps l'armée du Légat avait doublé c'était désormais 2 Millions de soldats armées de Fusil laser à baïonnette et de nombreuse batteries d'artilleries gauss ainsi qu'une division blindé plasma. Les Légionnaires se diviserent en LX Légions et aux cris de "Combattont pour notre Terre" avancerent. XXXLégions se ruhérent, plus rapide que le vent plus agile que les ombres sur l'armée ennemies. Le Légat ordonna de tirer à Gauss firent feu sur les XXX Légions et aucun légionnaire tomba l'ennemi n'était plus qu'à 20 pas quand un pluie de laser s'abattu sur les braves qui à couvert derriere leur bouclier avancerent plus lentement mais avancerent toujours. Dégainant leurs glaives dont la note si stridente fit frémir toutes les armées. Il ne restait plus que 10 pas...5 pas quand le Légat donna l'ordre de sonner la charge. Les Légionnaires d'eurent aucune hésitations et bondirent dans les lignes ennemis. Le combat faisait rage quand les X Légions s'engagèrent dans les Vaisseaux et eurent pour objectif prendre le controle de la flotte ennemie, qui commença à se faire voir à l'horizon. Le Légat voyant son infanterie se faire tailler en piece par les glaives des Légionnaires qui étaient désormais couvert de sang. Le son de la corne se fit entendre à des Kilometres, les Fidels du Légat se remplièrent dans la ville et les Blindés essayèrent mais peine perdu II Légions sauterent sur les Véhicules massacrerent les content de lui hurla "la Bataille n'est pas fini suiver moi !" Il prit son sceptre et son Epee démesuré qu'il maniait avec ce temps le Légat faisait l'état des pertes....sur les 2 Millions d'hommes déployés ils avaient 1 Millions 50000 morts 300000 Bléssés plus ou moins grave. Legat " Combattons nous finirons par vaincre !"Les Survivants "c'est impossible ils ne sont pas humains! " Un Cavaliers suivie de la Premiere Légion arriva sur la place "Tuer le Cavalier"Abigor "tuer les tous sauf le Légat"Les Légionnaires entreprirent leur massacre...les corps des fidels étaient disloqué, déchiré par les lames des têtes roulèrent loin des corps ; la place était rouge. Abigor poursuivi le Légat jusque dans les ruels les plus étroites et se rua sur lui et le fendit de part en part le Légat eut juste le temps d'hurler avant de s'effondré en 2 morceaux. La Flotte d'Ilfeheim se rendit et les derniers Fidels déposerent les armes avant d'être décapité sans aucune pitié. Les Habitants réapparurent et le soir même un grand banquet fut donné au coeur du fief pour fêter le retour d' foule l'aclama et Abigor redevint le grand Seigneur tout puissant qu'il était et décidé à reprendre sa place celle de Démon j'espere que vous vous etes bien amusé à lire Master of puppetsBavardNombre de messages 213Age 35Localisation Sur une autre sphère qu'on apelle la LuneDate d'inscription 21/01/2007Sujet Re Aiur. RP Mar 13 Fév - 902 Mes Amis!!!La voie du seigneur Templier avait puissament résonné assommant les plus atteint par l'alcool et attirant l'attention des plus sobresJe vous annonce que j'ai décidé de quitter mes frères BCCN et de me rattacher a la LgDa en effet en raison des difficultés rencontrés en ce moment par cette alliance j'ai décidé de leur préter mes mines afin de leur permettre un prompt rétablissement. Cela ne changera pas grand chose étant toujours membre de la Triforce. Mon chemin est celui qui permettra a notre Alliance de devenir la plus puissante possible. Que la Terre tremble car la LgDa a un nouveau Gardien et est en phaze de devenir une des Alliances les plus redouté de l'univers!!!Seigneur Krishnouk je plege allégiance a votre empires et jure de défendre son intégrité quoi qu'il en. Par ce serment je me mets sous vos ordres et vous jure allégeance. Que mon épée foudroie mon adversaire au nom de la LgDa a qui j'ai désormais juré fidélité! KrichnoukRégent d'AiurNombre de messages 490Age 34Localisation 95Date d'inscription 26/10/2006Sujet Re Aiur. RP Mar 13 Fév - 2035 Le Comte Krichnouk était assis dans la petite salle juste àcôté de la grande salle. Il était en effet de coutume sur Aiur qu'un prétendantà un vote quel qu'il soit ne soit pas présent dans la salle. Il consulta samontre 04H27, les tractations et les débats traînaient, ce qui n'était pasbon signe. Nerveux, il se leva et fit les 100 pas dans la petite pièce quicontrastait singulièrement avec le faste de la salle de cérémonie. Troisminutes plus tard, un huissier entra "Monsieur le Comte, le vote estterminé et l'Assemblée souhaite que vous en preniez connaissance."Anxieux, Krichnouk s'avança à la suite de l'huissier. Il savait ce qu'il avaità faire, aussi rejoignit il directement Vange sur l'estrade. " Krichnouk,la Triforce constituée en Assemblée a décidée de vous confier la Régenced'Aiur. Puissiez vous exceller dans cette tâche." Le résultat s'affichaalors sur l'écran de la salle. Il était sans appel, il avait gagné à 947 voiscontre 53"Vous allez maintenant prêter serment." Vange sortit del'ordinateur un vieux discours rédigé jadis lors de la passation de pouvoir deLagune à Hamstel qui alla s'inscrire sur l'écran géant. "Krichnouk, comptede Cadia, jurez vous de maintenir dans cette alliance toutes les grandeorientations décidées par son fondateur, telle que la démocratie? Jurez vousfidélité et loyauté envers votre alliance? Jurez vous enfin de tout faire pourmaintenir les bonnes relations qui existent au sein de la Triforce?" LeComte s'avança, régla son micro et commença son discours. Il l'avait longuementpréparé, mais il y croyait. "Je le jure sur la Terre d'Aiur, je jure fidélitéà l'alliance et à ses principes, je jures que je maintiendrais les relations dela Triforce ! Cela, je le jure sur Aiur, mais devant cette assemblée, je jurede faire tout ce qui est en mon pouvoir pour rendre sa puissance passé etlégitime à notre alliance, et je remercie solennellement tous les membres de laTriforce qui ont déjà opérés avec moi pour éviter la disparition pure et simplede l'alliance ! Je jure de tout faire pour que ma Régence ; car il s'agit bien là d'une Régence,rappelons le, le Maître des Gardiens est toujours le Seigneur Vange ; soit lecommencement d'un âge d'or pour nous ! Je vous remercie."Un tonnerre d'applaudissement vint ponctuer son discours,Krichnouk sentit monter en lui l'ivresse de l'ovation qui accueillit sondiscours. Les pouvoirs qui lui ont étés conférés étaient très importants, maisil mesurait à présent la quantité de travail nécessaire à la satisfaction deces promesses éléctorales. ValheruModérateur bavard et Seigneur DragonNombre de messages 1531Age 32Localisation Bah, sur le Forum bien sûr !Date d'inscription 23/04/2006Sujet Re Aiur. RP Ven 16 Fév - 1744 Je ne fut pas tous le temps nommé Valheru et je ne fut pas non plus Seigneur Dragon dès ma naissance. Je vais donc vous raconter comment je suis devenu celui que je suis. A ma naissance, je m'appelait Pug. Je naquit dans une ferme perdue appartenant à la ville de Krondor. Pas très riche, mes parents déménagèrent et allèrent habiter dans Krondor même. Je ne puis allé à l'école car l'argent que mon père réussissait à gagner nous servait à payer les taxes et le peu de nourriture qu'on pouvait. A l'age de 15 ans, alors que je me promenait je vit un autre enfant de mon age poursuivit par une meute de villageois en colère, je me mit dans une petite ruelle invisible de la rue et attendit quelque instant, quand le poursuivit passa je l'attrapa et l'attira vers moi et ensuite derrière une pile de tonneau. Quelques secondes plus tard, la meute de villageois passa. Le garçon, surprit, me dit avant de filer _La Guilde des Voleurs t'es reconnaissant désormais. Quand tu voudras nous rejoindre, viens dans les Bas Fonds de Krondor et met un brassard noir à ton bras. Quelqu'un t'ammènera à nous. Je ne put même pas répondre, il partit à toute allure sur le même chemin qu'avait pris les villageois et prendre une ruelle semblable à la mienne quelques maisons plus loin. Après avoir réfléchis pendant quelques jours, je me rendis dans les Bas Fonds munit de mon brassard noir autour de mon bras. Je marchait dans les ruelles du Bas Fonds depuis plus heure et je n'avait rencontré personne, pas même un clochard, il avait peur de cet endrois et moi aussi je ne me sentait pas très rassuré. J'entendit un bruit derrière moi, je me retournat précipitament, mais rien, pas un rat. Je n'eu pas le temps de me retourné à nouveau quand un tonneau me tombat dessus et m'emprisonnat, le tonneau se retourna et je me trouva tête en bas dans ce maudit tonneau. On mit le couvercle sur le tonneau et je me retrouva dans le noir. Le tonneau tourna plusieurs fois sur lui même, et se dirigat dans tellement de direction pendant tellement longtemps que je ne su même plus où je me trouvait. Je commençait à avoir des courbatures partout et des bleus par dizaine quand le tonneau s'arrêta. Enfin. On m'ouvra le tonneau. Je sortit péniblement, cligna des yeux pour m'habitué à le lumière et distinguat devant moi le même voleur qu'il y a quelques jours. Il souriait et me tendit un verre d'eau. Je le but péniblement et il m'emmena à son chef. J'arriva dans une petite salle, peu éclairée avec pour seul mobilier une table, deux chaise et une bougie sur la table. Une personne était déjà assise sur une des chaise. Je ne pouvait voir son visage car il était caché par une capuche noir et la bougie n'éclairait pas assez pour que j'en distingue les traits. Le voleur m'indiqua l'autre chaise de l'autre côté de la table et s'en alla. Je m'installa sur la chaise libre et le chef des voleurs commença à parler _Il y a quelques jours tu as sauvé mon fils de cette bande de villageois et je t'en suis sincèrement reconnaissant. Pour te remercier, je te propose de te joindre à nous dans la Guilde des Voleurs. Nous t'apprendrons toutes les moyens de voler, toutes les ficelles du métiers. Nous avons enquêté sur vous entre le moment où vous avez sauvé mon fils et maintenant. Nous avons découvert que votre famille avait des problèmes d'argent, vous croulez sous les dettes. Nous vous proposons de remboursez toutes vos dettes. Qu'en dites-vous ? Je mis peu de temps à réfléchir, les problèmes d'argent de mes parents commençait vraiment à être important. J'accepta et on commença à m'initier dès aujourd'hui. Je rentras chez moi, heureux, j'allais dire la nouvelle à mes parents quand ma mère se tourna vers moi en pleurant de joie _Ton père a réussi à t'inscrire dans la Guilde des Guerriers et quand je suis allé à la banque, tous nos problèmes d'argent avait disparu, ça doit être eux ! Es-tu content ? Je ne savais pas quoi dire, j'étais heureux et en même temps je me posait plein de question, je fit un sourrire, enlaçat ma mère, remerçiat mon père et alla dans ma chambre.*Qu'allait-je faire ? Je n'allait pas dire à ma mère que c'est la Guilde des Voleurs qui a remboursé nos dettes, ni que j'en faisait partie. Elle était si ravie. En plus la Guilde des Guerriers est l'ennemi juré de la Guilde des Voleurs. J'ai vraiment la poisse. Va falloir que je jongle entre les deux Guildes.* On était en fin d'après midi et je m'assoupis déjà sur mon lit. Je rêvas. J'étais un magicien et j'envoyais des sorts, je m'amusait à soulever des objets par la pensée. Quand soudain j'entendit un !!!! Je me réveillat en sursaut en entendant la voix de ma mère. J'ouvrit les yeux et je vit ma table de nuit, ma bougie et mon épée en bois qui planait dans la pièce. Je secoua ma tête pour reprendre mes esprits et les objets retombèrent sur le sol. Ma mère, choqué, laissa tombé le petit plateau repas qu'elle m'avait apporté et s'en alla dans la cuisine. Elle me prépara à manger, il était déjà tard le soir et eux avait déjà soupé. On se coucha tous très tôt, sans un bruit, personne ne parla. Le lendemain matin, ma mère était déjà partit, surement au marché et mon père était partit travailler. Je me rendit à la Guilde des Guerriers et m'entraina toute la journée. Le soir, je rentra à la maison fier de moi, on m'avait donné une épée et une pièce de bronze pour ma première journée. Quand j'arriva à la maison, ma mére était assise sur une chaise à côté de la table, un gros livre avec des symboles bizares. Je mis l'épée et la pièce sur la table avec un sourrire et m'assis en face d'elle sur l'autre chaise. Après quelques minutes de silences, elle commençat à parler _Ce que tu as fait hier soir pendant ton sommeil m'as surpris. Je suis allé voir la Guilde des Mages pour leur en parler. Ils m'ont dit que ce phénomène était déjà arrivé qu'une seule fois à un non initié à la magie. L'autre garçon s'appelait Peter. Au même âge que toi il fit la même chose que toi pendant son sommeil. Ses parents l'inscrivire à la Guilde des Mages et il était déjà membre de la Guilde des Guerriers grâce à son père et de la Guilde des Voleurs où il avait réussi à rentrer seul. Tu ne le connais pas sous le nom de Peter mais je crois que celui-ci te marqueras plus. ?_Oui, Murmandamus, le magicien noir, celui qui combat le royaume depuis plus d'un siècle et qui est toujours en suivre ....._________________Valheru, le Seigneur DragonJe crois en un seul Dieu Dionysos Dieu de l'alcool et de la fête ! Et je me bats contre son ennemi Poseidon Dieu de l'eau.Dernière édition par le Dim 11 Mar - 2115, édité 1 fois KrichnoukRégent d'AiurNombre de messages 490Age 34Localisation 95Date d'inscription 26/10/2006Sujet Re Aiur. RP Ven 16 Fév - 1934 Le templier s'était avancé vers Krichnouk pour lui preter allégence"Rellevez vous Seigneur, pas de soumision d'aucune sorte ici"Le Templier se releva, il s'avera qu'il était bien plus grand que Krichnouk, qui faisait deja pourtant un taille respectable"Ici, ce n'est pas à moi qu'il faut preter serment, mais à la Terre d'Aiur, benis soit Elle. Je ne suis que le Régent de cette alliance, néanmoins, les pouvoirs qui incombent à cette tâche m'autorisent, et même me donne le devoir, d'accepter parmis nous un membre aussi puissant que vous. Je vous remercie de votre aide, seigneur." bdmArrivantNombre de messages 17Date d'inscription 20/02/2007Sujet Re Aiur. RP Ven 23 Fév - 232 -"10222...10223...10124...10125"La route était bel est bien aussi longue que dans ses souvenirs les plus fous. Le seigneur bdm se retranchait chaque année dans les colines d'Alandai. C'était pour lui une façon de s'évader loin de tous les soucis des champs de bataille. C'est donc dans cette optique qu'il traversait champs et bois pour rejoindre sa maison natale; au pied des colines sauvages. Son enfance avait mêlé la nature et la solitude, ce qui expliquait facilement l'étrange caractère du personnage. Un léger filet d'air lui carressait le visage; il était si léger qu'un papillon ne s'y serait pas risqué, de peur de perturber l'harmonie du Enfin..."Il y était. Rien n'avait changé depuis un an, si ce n'est le lierre qui montait à présent jusqu'à la toiture du les horizons, le seigneur bdm prit le temps d'inspirer une large bouffée de l'air pur qui l'entourait. Il s'avança vers l'abris qui servait autrefois d'enclos aux chevaux. La paille jonchait encore un sol souillé par les sabots. -"Aah, il est loin ce temps où l'on se baladait encore sur ces braves bêtes".Il se figea là quelques secondes, quelques minutes même, submergé par la nostalgie. Il enjamba la barrière qui lui barrait la route, et alla s'affaler sur le banc en bois que son père avait sculpté spécialement pour lui. Il resta là assis là toute la avait regardé le soleil se noyer derrière les montagnes depuis l'aube, et à présent la nuit tombait. La mer d'herbe oscillait, et s'agitait au grès du vent en prenant la couleur de l'argent. Ce paysage aux environs de la frontière entre le rêve et l'inconscient ne pouvait pas être unique, il en était persuadé. Un endroit onirique comme celui-ci devait exister alors que, dans une lueur éblouissante, apparut ce qui paraissait être un hologramme. La lueur ne semblait pas vouloir s'appaiser, et le seigneur bdm dû se résoudre à tourner la tête, rendant ainsi impossible l'identification du FAN [...]". La voix raisonnait dans sa aura de mystère planait autour de ce curieux personnageSans qu'ils n'aient eu besoin de bouger les lèvres, les deux interlocuteurs purent dialoguer. Après quelques minutes de silence, la lueur s' Je n'en ai jamais entendu parler... Après tout, une invitation ne se refuse pas. Si les gens sont aussi accueillants que le prétend ce Nettoyeur des Mondes, il n'y a pas de souci à se s'ils avaient de beaux paysages vierges comme ici?"[HRP]Voilà, j'vous avez promis un p'tit RP. Chose dûe, chose faite. J'ai dû bacler la fin, c'est assez flagrant d'ailleurs. Mais je prendrai plus de temps une prochaine aurez reconnu là la chère invitation de Rincevent [/HRP] Contenu sponsoriséSujet Re Aiur. RP Aiur. RP Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumlGdA Taverne et Marché TaverneSauter vers
J'avais faim et vous m'avez donné à manger" 27 décembre 2009 "J'avais faim et vous m'avez donné à manger" Plongée au coeur de l'association cannoise "J'avais faim". Depuis plus de trente ans, elle propose aux plus démunis un repas chaud servi le midi et le soir, exclusivement en hiver. Elle survit grâce aux dons de particuliers et de la mairie. Au total, 42.000 € lui sont
Accueil Spiritualité Témoignages J’avais faim, et vous m’avez donné à manger… » Matthieu 25 35 Texte présentation Images alarmantes de longues files d’attente qui se forment dans les rues, devant les associations qui distribuent de l’aide alimentaire. La crise sanitaire de la Covid-19 a considérablement augmenté la pauvreté et plongé dans la misère des milliers de personnes. Image à la une Nom, prénom témoignage Pierre-Jean Soler, Détail sur la personne Aumônier et accompagnant spirituel salutiste Blocks Redacteur Texte Dans la Bible, chacun est invité à accueillir l’étranger, la veuve et l’orphelin Que de situations dramatiques vécues par ces sans-abri, ces mal-logés, ces mères de famille, ces étudiants, travailleurs précaires, ou encore par ces personnes âgées… Aujourd’hui, de plus en plus d’hommes, de femmes et d’enfants vivent dans une grande précarité. Les besoins sont là. Il convient d’agir. Soupe, Savon, Salut» tel était le mot d’ordre de William Booth, fondateur de l’Armée du Salut en 1878. Derrière ces trois mots s’exprimait la volonté d’apporter un repas chaud et l’hygiène nécessaire, pour que les personnes en difficulté puissent rencontrer Dieu et trouver le salut. Dans la Bible, chacun est invité à accueillir l’étranger, la veuve et l’orphelin. Les repas et les grands festins sont nombreux et sont signes d’hospitalité. Block Texte + Image Texte L’Évangile de Matthieu nous montre l’importance de prendre soin des plus faibles. Jésus dit En effet, j’ai eu faim et vous m’avez donné à manger ; j’ai eu soif et vous m’avez donné à boire ; j’étais étranger et vous m’avez accueilli ; » Matthieu 25 35 Les justes lui répondront Seigneur, quand t’avons-nous vu affamé et t’avons-nous donné à manger, ou assoiffé et t’avons-nous donné à boire ? » Et Jésus répondra Je vous le dis en vérité, toutes les fois que vous avez fait cela à l’un de ces plus petits, c’est à moi que vous l’avez fait. » Matthieu 25 37 Nourrir son corps est essentiel pour vivre. Mais n’y a-t-il pas un autre besoin vital ? Dans l’Ancien Testament, il est dit L’Homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toutes paroles de Dieu… » Deutéronome 8 3. Jésus reprendra cette citation lorsque Satan le tentera dans le désert. Luc 4 4 Texte La Bible nous invite à prendre soin du plus faible dans toutes ses dimensions Jésus a dit encore Je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n’aura jamais faim, et celui qui croit en moi n’aura jamais soif. » La Bible nous invite à prendre soin du plus faible dans toutes ses dimensions. Puissions-nous être animés par cette volonté d’accueillir et de restaurer l’Autre, dans son âme et dans son corps.
Jai eu faim et vous m'avez donné à manger j'ai eu soif et vous m'avez donné à boire j'étais étranger et vous m'avez recueilli ; j’étais nu et vous m'avez vêtu j'étais malade et vous m'avez visité j'étais en prison et vous êtes venus vers moi. Ils répondirent “Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu ? tu avais donc
Jésus parlait à ses disciples de sa venue Quand le Fils de l’homme viendra dans sa gloire, et tous les anges avec lui, alors il siégera sur son trône de gloire. Toutes les nations seront rassemblées devant lui ; il séparera les hommes les uns des autres, comme le berger sépare les brebis des chèvres il placera les brebis à sa droite, et les chèvres à sa gauche. Alors le Roi dira à ceux qui seront à sa droite Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la création du monde. Car j’avais faim, et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ; j’étais nu, et vous m’avez habillé ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi !’ Alors les justes lui répondront Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu…? tu avais donc faim, et nous t’avons nourri ? tu avais soif, et nous t’avons donné à boire ? tu étais un étranger, et nous t’avons accueilli ? tu étais nu, et nous t’avons habillé ? tu étais malade ou en prison… Quand sommes-nous venus jusqu’à toi ?’ Et le Roi leur répondra Amen, je vous le dis chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.’ Alors il dira à ceux qui seront à sa gauche Allez-vous-en loin de moi, maudits, dans le feu éternel préparé pour le démon et ses anges. Car j’avais faim, et vous ne m’avez pas donné à manger ; j’avais soif, et vous ne m’avez pas donné à boire ; j’étais un étranger, et vous ne m’avez pas accueilli ; j’étais nu, et vous ne m’avez pas habillé ; j’étais malade et en prison, et vous ne m’avez pas visité.’ Alors ils répondront, eux aussi Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu avoir faim et soif, être nu, étranger, malade ou en prison, sans nous mettre à ton service ?’ Il leur répondra Amen, je vous le dis chaque fois que vous ne l’avez pas fait à l’un de ces petits, à moi non plus vous ne l’avez pas fait.’ Et ils s’en iront, ceux-ci au châtiment éternel, et les justes, à la vie éternelle. » Matthieu 25, 31-46 Cet évangile dérange toujours, mais il est l’un de ceux auxquels j’attache le plus d’importance. Et c’est pour cette raison que je me sens très mal à l’aise dans la théologie du “tout miséricorde” largement répandue ces dernières décennies. Il m’est même arrivé, à une fête du Christ Roi où il est lu une année sur trois, de voir le prêtre omettre de lire le dernier verset. Trop dérangeant quand on a une spiritualité nourrie dans le renouveau charismatique… On aboutit ainsi parfois à une contradiction qui affadit totalement le sens de l’Evangile, et de la première lecture qui nous est proposée aujourd’hui Lévites 19, 1-2. 11-18. Il y a 100 ans, l’Eglise parlait beaucoup trop de l’enfer, terrorisant nos grands-mères. Mais depuis, on a basculé dans l’extrême inverse. Il se développe une conception d’un Jésus doucereux nous contemplant toujours avec bienveillance quels que soient les actes que l’on pose. Et on nous rassure à longueur d’homélies Dieu pardonne tout, absolument tout, on peut avoir la vie la plus abjecte, il suffira de jeter un petit regard attendri sur le crucifix au fond de notre prison ou à l’instant de notre mort et le tapis rouge nous sera déroulé pour entrer dans le Royaume des Cieux. Professant cela, ne sommes-nous pas en contradiction totale avec l’Evangile lu aujourd’hui ? Car enfin, notre société occidentale n’est-elle pas saturée de gens qui mangent toujours à leur faim, jettent leur surplus et ne daignent pas participer aux oeuvres de charité car “on ne sait pas où va l’argent” ? Certains catholiques qui s’estiment les plus observants ne se répandent-ils pas en propos racistes sur le parvis des églises ? N’avons-nous pas pris l’habitude, avec le développement des sites de revente sur internet, de revendre les vêtements que nous ne portons plus plutôt que de les donner à qui est dans le besoin ? Ne sommes-nous pas de ceux qui se frottent les mains quand une personne atteinte de maladie psychique est hospitalisée à la demande d’un tiers en service fermé, et que nous allons bien nous garder de nous souiller à lui rendre visite dans un lieu pareil ? Que chacun s’examine… Et quand je lis la première partie de cet évangile, je me dis que nombreux sont ceux qui le mettent en application sans même le savoir. Les mères de tous les temps n’ont-elle pas nourri, abreuvé, habillé, soigné leurs enfants sans en attendre une récompense en retour ? Ont-elles conscience, toutes les aides-soignantes, les infirmières, les puéricultrices, les aides aux personnes à domicile, les gardiennes d’enfants, les personnels de cantines scolaires, les éducatrices spécialisées, qu’elles vivent au quotidien les commandements fondamentaux des Ecritures ? Comme elles sont en outre parmi les plus mal payées dans la société, je me dis que si leur récompense ne vient pas du monde, Dieu, lui, saura le moment venu les mettre à part des “chèvres” qui ont passé une vie entière à nuire à leur prochain… Image Le jugement dernier Cathédrale de Bourges
Carj'avais faim, et vous ne m'avez pas donné à manger; j'avais soif, et vous ne m'avez pas donné à boire; j'étais un étranger, et vous ne m'avez pas accueilli; j'étais nu, et vous ne m'avez pas habillé; j'étais malade et en prison, et vous ne m'avez pas visité.' Alors ils répondront, eux aussi: 'Seigneur, quand est-ce que nous t'avons vu avoir faim et soif, être nu, étranger
35 Car j'avais faim, et vous m'avez donné à manger ; j'avais soif, et vous m'avez donné à boire ; j'étais un étranger, et vous m'avez accueilli ; 36 j'étais nu, et vous m'avez habillé ; j'étais malade, et vous m'avez visité ; j'étais en prison, et vous êtes venus jusqu'à moi !' Voir le passage complet Une analyse attentive des trois premiers versets nous a permis d'éviter le dualisme bons / méchants. Elle semble confirmée plus loin 34 recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la création du monde. 41 Allez-vous-en loin de moi, maudits, dans le feu éternel préparé pour le démon et ses anges. Le Royaume est pour nous, les brebis, tandis que le feu éternel n'est que pour le démon et ses anges. Peut-être après un arrachement difficile à certains démons intérieurs auxquels nous tenons... Mais il y a un "car" qui sonne comme une condition. N'allons-nous pas devoir revenir en arrière, et distinguer ceux qui remplissent cette condition et ceux qui ne la remplissent pas ? Regardons de plus près cette sextuple "condition" répétée quatre fois. Le sens littéral Une charité active est décrite de six manières qui font penser aux restos du coeur. On peut donc prendre ce texte comme un encouragement à s'engager dans des oeuvres caritatives. Il n'y a pas à critiquer cette manière d'entendre le texte au premier degré elle est juste pour certains, pour un temps. Mais elle peut être ressentie comme insuffisante La misère du monde est un abîme sans fond. Pourquoi me demander l'impossible ? Si ma charité est guidée par la peur de l'enfer, elle est intéressée. Je serai stressé par le doute en fais-je assez ? Je n'ai peut-être pas les capacités ou le temps de m'engager ainsi aux service des pauvres. Le salut serait-il pour les riches qui peuvent donner ? L'attitude du pharisien satisfait de sa générosité est condamnée par Jésus Lc 18,9-14 Des sens symboliques Prenons la première image j'avais faim, et vous m'avez donné à manger. S'il ne s'agit pas seulement de faim physique, qu'est-ce que cela peut évoquer ? Quand la Bible parle-t-elle de faim, de nourriture ? La Manne donnée aux hébreux dans le désert Ex 16. Les tentations aux déserts Ce n'est pas seulement de pain que l'homme doit vivre, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu Mt 4,4. La multiplication des pains L'eucharistie Jésus prit du pain, prononça la bénédiction, le rompit et le donna à ses disciples, en disant Prenez, mangez ceci est mon corps » Mt 26,26 La faim pourrait être une faim de Parole, la faim du Verbe qui se donne en nourriture. Le texte m'inviterait à "évangéliser" ? mais qui suis-je pour croire que j'ai la vérité et que je dois la porter aux autres ? Et puis, le Christ est le "pain", c'est lui qui nourrit. Comment pourrait-il avoir faim... de sa propre Parole ? De question en correspondance, je continue à chercher. Lors de la multiplication des pains, Jésus dit à ses disciples Donnez-leur vous-mêmes à manger » Mt 6,37. Les disciples que nous sommes forment l'Église, le corps du Christ. Donner à manger, serait-ce se donner à manger ? Nous serions à la fois convives et nourriture ? Au risque de se perdre Dans ma recherche, je risque de dévier vers des idées délirantes. Comment rester dans "le droit chemin" ? En restant dans la Bible telle qu'elle est, et non pas dans mes idées. Un moyen peut-être de m'intéresser aux passages rebutants, ceux qui semblent contredire ce que je pense. Mes idées seront secouées, première étape d'une "conversion". D'autres seront plus sensibles à la musique, à la poésie du texte et "ne se prendront pas la tête". En partageant la Parole avec d'autres, en cherchant avec d'autres. L'Eucharistie est un lieu privilégié pour cela, il faudrait que les homélies soient dialoguées... Certaines lectures peuvent être profitables, dans la mesure où elles me renverront à un travail sur le texte biblique lui-même. Mais si elles disent ce qu'il faut croire, elles resteront stériles. Quand je crois avoir trouvé la bonne explication, attention ! je risque de ne plus cheminer. Je peux alors chercher dans le texte ce qui va contre mon interprétation. Et humblement, me remettre en marche. "Ne demande jamais ton chemin à quelqu'un qui le connaît, car tu pourrais ne pas t'égarer". Aphorisme de Rabbi Nahman de Bratslav Des sens existentiels Ils sont bien sûrs infinis, chacun est sensible à telle ou telle harmonique du texte. Peut-être un écho se fera-t-il avec un évènement extérieur, la rencontre d'un pauvre... Quand le texte est travaillé, qu'il m'habite, l'assise en zazen aide à "descendre" pour ne pas rester superficiel. Lâcher les idées, le mental, l'envie de trouver... Nettoyer les parasites, lâcher même les plus belles pensées. Les laisser brûler au feu de l'Amour. Rejoindre la Présence dans mes entrailles. Serait-ce Lui, le pauvre ? Le germe divin qui a faim. L'étranger, dont la Parole est pour moi tellement étrange, et qui voudrait simplement être accueilli tel qu'il est. Celui que je rends malade de tout ce que j'avale. Celui qui reste emprisonné dans mes passions. Simplement le visiter. Demeurer avec Lui. M'ajuster à Lui... et voilà que la brebis prend dans le texte le nom de "juste". Les justes ignorent leur justesse, ils s'étonnent Seigneur, quand est-ce que nous t'avons vu... ? Comme peut-être l'abbé Pierre, ils ne comptent pas leurs mérites. Ils regardent ceux Celui qui sont encore mal logés. Ils ne sont plus dans la connaissance du bien et du mal. Ils sont délivrés du souci de "gagner le paradis" ils le goûtent déjà. Les pauvres, vous les aurez toujours avec vous Mt 26,11Si la charité ne sert ni à vaincre la pauvreté, ni à entrer au paradis, à quoi sert-elle ? A rien. L'amour utile n'est plus de l'amour. Aimer ne sert à rien.
Etil avait dit aussi : J’avais faim, et vous m’avez donné à manger. Pourquoi ne travaillons-nous pas, nous aussi, sur la terre, de telle sorte que par la foi, l’espérance, la charité, grâces auxquelles nous nous relions à lui, nous reposerions déjà maintenant avec lui, dans le ciel ? Lui, alors qu’il est là-bas, est aussi avec
Distribution alimentaire sur le parvis de l’église St-Bernard de la Chapelle Paris 18ème. Sur le parvis de l’église Saint-Bernard de la Chapelle, à Paris 18ème, l’évangile selon saint Matthieu est mis en pratique chaque jour J’avais faim, et vous m’avez donné à manger; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli » Mt 25, 35. Michel Antoine, de l’association Solidarités St-Bernard, témoigne de cette action indispensable. Le Vicariat pour la Solidarité du diocèse de Paris a fait appel aux fidèles fin mars. Plus de 1600 personnes se sont inscrites pour prêter main forte. Ainsi, 27 paroisses sont devenues centres de distribution de proximité ». Saint-Bernard de la Chapelle fait partie des quatre églises du XVIIIème arrondissement de Paris mobilisées tous les jours à 12h. Approvisionnée au départ par le centre géré par l’association Aurore, situé tout près, boulevard Barbès, c’est désormais la cantine du collège Stanislas 6ème qui régale, sur financement du diocèse. La paroisse peut compter sur 30 volontaires, âgés de 18 à 69 ans. Ils se relaient chaque jour pour distribuer 400 repas froids et autant de bouteilles d’eau. Fin mars, ceux-ci contenaient une petite salade piémontaise au poisson, une pomme ou une orange, du pain ou pas, un morceau de fromage, un yaourt et des gâteaux secs. 850 calories, cela ne suffisait pas », commente Michel Antoine. Depuis, les repas ont été agrémentés d’aliments plus caloriques. Car, pour la plupart des personnes accueillies, ce repas constitue l’unique repas de la journée. On ne croise plus que les gens de la rue » Engagé dans l’association depuis 2016, il est fonctionnaire retraité depuis 2017. Sur son trajet matinal depuis la Place de Clichy, il ne voit plus ni vendeurs de cigarettes ni dealers, devenus discrets. Bus et rames de métro sont pratiquement vides. Dans ce quartier populaire, où les gens vivent dans la rue », on ne croise plus que les gens de la rue ». Les établissements autorisés et leurs files d’attente qui s’étirent le long des vitrines sont les nouveaux lieux de mendicité. L’ancien administrateur, qui conseillait les députés à l’Assemblée nationale, a le sens du service mais aussi le sens pratique Les sans-abri ne savent plus où se laver, où manger, où boire ». Il bouillonne intérieurement contre une belle carte en ligne qui recense les points d’eau situés dans des parcs… inaccessibles et des toilettes publiques… condamnées car les employés du prestataire ont exercé leur droit de retrait. Pour celles et ceux qui vivent en foyer, il explique que la faim se fait sentir car il est devenu beaucoup plus difficile de trouver la nourriture quotidienne indispensable. De nombreuses structures d’aide sociale ont en effet dû réduire leur activité ». Les plus touchés ne s’approchent pas nous allons vers eux, en petit groupe de deux ou trois personnes. Les femmes vont vers les femmes. Et il faut leur parler » ajoute-t-il. Des bénévoles plus jeunes, la relève ? Michel Antoine multiplie les constats alarmants moins de points de distribution alimentaires, des quantités insuffisantes, une pénurie de bénévoles en raison du confinement qui cloître à la maison les plus de 70 ans. De quoi se réjouir alors ? De nouveaux bénévoles se sont manifestés et ils sont jeunes ». Il voudrait pérenniser un état d’esprit de coopération intergénérationnelle ». Si certains ont des convictions religieuses fortes », d’autres sont des personnes de bonne volonté qui vivent l’Evangile plus concrètement que beaucoup de paroissiens ». Pour le monde d’après », l’homme d’action et de réflexion insiste sur la nécessité de trouver les moyens pour que chacun puisse vivre dans la dignité », afin de rendre notre société plus humaine ». Claire Rocher SNPMPI Michel Antoine, association Solidarités St-Bernard ». Heureux les pauvres » Mt 5, 3 Ne restez pas dans votre bulle, osez regarder autour de vous et surtout ayez confiance », encourage-t-il. Autrement dit, s’ouvrir au monde et aux autres, oser la rencontre », comme l’y invite inlassablement le pape François, une référence de première catégorie » pour lui.
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j avais faim et vous m avez donné à manger